Les sirènes de Bagdad
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Cadeau de Noël 2009 de ma belle-famille :-)
Après les "hirondelles de Kaboul" et "l'attentat" se passant en Israël, Yasmina Khadra clôt sa trilogie du "dialogue de sourds qui oppose l'Orient et l'Occident" par un voyage dans un Irak dévasté lors de l'invasion américaine. Vivant pourtant dans un petit village loin de l'actualité, un jeune Bédouin va être atteint comme d'autres par la guerre, suite à des bavures américaines. Il n'en faudra pas plus pour qu'ils basculent du côté de la violence, mais la violence envers qui ? Arrivé à Badgad, le jeune Bédouin découvrira que les attentats terroristes, comme les obus américains, tuent sans distinction Irakiens, civils, musulmans sunnites, humanitaires...
Pour Dagmar... et revenu.
Réservé pour Rivax.
Réservé pour Rivax.
(Bientôt) prêté à Rivax.
Je n'ai lu que des polars de Khadra. Je n'ai pas beaucoup aimé la forme mais le fonds en était captivant.
Je me demande ce que réserve cet opus...
Merci Tof pour la découverte.
Je me demande ce que réserve cet opus...
Merci Tof pour la découverte.
Malgré un bon pitch "comment on devient kamikaze", malgré une narration agréable, malgré un éclairage intéressant sur l'occupation américaine en Irak lors de la deuxième guerre du Golfe...j'ai beaucoup aimé ce livre sur les deux premiers tiers et je me suis profondément ennuyé par la suite.
Parce que le narrateur (le kamikaze) ne m'a pas convaincu, parce que la cause de son engagement, de sa révolte (lors d'une perquisition, il voit les génitoires de son géniteur) est totalement crétine et que son obsession à vouloir s'engager là-dessus est désolante d'immaturité, parce que même si on passe outre, il ne se passe rien pendant une grande partie du roman, et lire des pages et des pages d'attente, çà lasse.
Et surtout, je trouve que, comme "l'attentat" du même auteur, çà n'est pas très profond.
Parce que le narrateur (le kamikaze) ne m'a pas convaincu, parce que la cause de son engagement, de sa révolte (lors d'une perquisition, il voit les génitoires de son géniteur) est totalement crétine et que son obsession à vouloir s'engager là-dessus est désolante d'immaturité, parce que même si on passe outre, il ne se passe rien pendant une grande partie du roman, et lire des pages et des pages d'attente, çà lasse.
Et surtout, je trouve que, comme "l'attentat" du même auteur, çà n'est pas très profond.