Quatrième de couverture :
Harada, célèbre scénariste de séries télévisées, est séparé de sa femme et de son fils. Il vit maintenant seul, a quarante-sept ans, dans son appartement professionnel situé dans une résidence abritant des bureaux, déserte la nuit. Cet isolement volontaire au cœur de Tokyo, au cours de cet été torride, marque pour lui le début d'une errance intérieure qui le conduit à renouer avec son passé. Dans ce repli du temps, propice aux dialogues avec l'invisible, quand dans un rêve éveillé les fantômes de ses parents disparus le retiennent vers un paradis perdu, chimère ou réalité, seul l'amour de Kei qui tente de le ramener à la vie dissipera les dernières illusions de la nuit.

Une figure imposée par mon Défi ABC 2009 et au final une bonne surprise que cette lettre 'Y' dénichée il y a peu chez un libraire.
C'est avec un intérêt soutenu que l'on suit Harada qui à la sortie d'un spectacle rencontre un couple qui ressemble étrangement à ses parents disparus alors qu'il n'était encore âgé que de douze ans. Le problème, c'est que le héros approche aujourd'hui de la cinquantaine alors que ses parents retrouvés arborent à peine la trentaine… Il ne faudra pas bien lontgtemps pour conclure qu'il est en présence de fantômes mais, bien que cela semble avoir des conséquences désastreuses sur sa santé physique, il ne peut se soustraire à l'envie de les rencontrer de nouveau. Parallèlement à cela, une jeune femme rencontrée peu après son divorce, tente de le ramener à la réalité…

Ça fait très longtemps que je n'ai pas libéré de livre et je ne me suis pas foulé pour relâcher celui-là. Je l'ai laissé sur les boîtes aux lettres dans le hall des locaux de ma société au numéro 44 de la rue de Strasbourg.
Si vous voulez venir le récupérer, il vous faudra attendre que quelqu'un entre dans l'immeuble ou bien résoudre la mini-énigme suivante pour deviner le code d'entrée : « CHAI1 ».