4e de couverture: personne ne savait d'où sortait cette affreuse bête errante, haute sur pattes, très maigre, d'un jaune sale, qui apparaissait toujours sur les lieux d'un nouveau crime. Concarneau avait peur. Un petit groupe de notables surtout, dont la vie semblait menacée par une série d'attentats mystérieusement orchestrés.
Dans une salle du café de l'Amiral, Maigret attendait, questionnait, tendait des pièges, tirait sur sa pipe. A sa manière, il semblait peser les âmes, celles des puissants et des bourgeois, celles des humbles et des vagabonds. "Je ne crois rien", disait-il à sn habitude, mais il n'était pas difficile de deviner où allait sa sympathie.

Oups, j'ai oublié de faire la journal entry pour ce livre ! L'oubli est réparé : livre attrapé au dernier meet-up niçois. A lire... (un bon vieux Simenon des familles ;-)

J'aime bien les livres de Simenon ! Je ne suis pourtant pas une grande fan de romans policiers, mais les enquêtes de Maigret se passent souvent dans des villes de province à l'atmosphère "poisseuse" : pluie, grisaille, vieux murs épais qui abritent les secrets odieux des "notables locaux"... Et "Le chien jaune" colle tout pile à cette descritpion ! (particulièrement vilain et inattendu, le secret)
Bref, j'ai passé un bon moment (court, car l'histoire se lit vite). Merci Vaeni !

RELEASE NOTES:

Au croisement de l'avenue de Valrose et de la rue Joseph Cadei, derrière la grosse "boîte" EDF beige (à gauche du garage).