Quatrième de couverture
Automne 1942 : depuis deux ans déjà Bertrand Renaud de Thorenc, Geneviève Villars, Myriam Goldberg et tant d'autres autour d'eux résistent.
Grâce à eux, il est désormais certain que, malgré « l'ombre et la nuit » de la défaite, « la flamme ne s'éteindra pas » . Pourtant, chaque jour, la vie des uns et des autres se fait plus dangereuse. La Gestapo resserre son étau : arrestations, tortures, déportations, fusillades d'otages. Thorenc, Geneviève Villars et leurs proches vont payer « le prix du sang » .

RELEASE NOTES: 10 rue Campra. Dans la petite salle du fond.

Je risque de mettre du temps à le lire, mais cela a l'air intéressant. Merci !

il paraît que ce livre va me raconter des souvenirs... à lire !

Je déclare forfait. Ca me rappelle peut-être bien trop de souvenirs, justement. Je préfère passer à autre chose.

Récupéré !

Thorenc ne peut supporter l'idée que Myriam Goldberg ait pu être prise et torturée par la Gestapo. Il organise son évasion. L'étau se resserre autour de la plupart des Résistants. Ce que voulait la Gestapo, qu'ils se soupçonnent les uns et les autres d'avoir parlé, qu'ils se soupçonnent de déloyauté, est en train de se produire. Les multiples arrestations de Thorenc, le fait qu'il manque son attentat contre Dossi, le fait qu'il réussisse les évasions des femmes qui lui importent commencent à parler contre lui. Les traîtrises et les exécutions des traîtres limitent le champ d'action des Résistants.
Le plus grave est que Max (Jean Moulin) est en train d'être noyauté et que le filet le cueille à la fin du roman...

Sera proposé lors de l'ABC (soirée de BookCrossing) ou laissé, faute de participant intéressé, sur les étagères à livres de ce superbe café équitable.