Comment je suis devenu stupide
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Roman lu en 2003, quand les start-ups n'étaient pas encore toutes mortes et qu'on roulait encore en Z3 dans les quartiers branchouille de Paris.
Encore d'actualité, surtout depuis les événements étudiants récents.
Encore d'actualité, surtout depuis les événements étudiants récents.
Récupéré ce soir au PC. Merci Magmot.
Le commentaire de Amazon.fr
"L'intelligence ne fait pas le bonheur… Antoine, vingt-cinq ans, cultivé, fin et bardé de diplômes aussi exotiques qu'inutiles en fait l'amère constatation. Loin de le rendre heureux, son sens aigu de l'observation et sa fâcheuse tendance à l'analyse ont fait son malheur. Une bonne dose de stupidité l'aiderait sans aucun doute à davantage "participer à la vie". Notre doux-dingue décide donc de se noyer dans les vapeurs de l'alcool. Non sans s'être au préalable copieusement documenté et s'être choisi un professeur expérimenté. Devenir alcoolique d'accord, mais intelligemment et méthodiquement. Comme on ne peut pas être génial en tout, Antoine échoue lamentablement. Il faut se rendre à l'évidence, l'alcoolisme n'est pas son rayon, pas plus que le suicide. La solution, car il y en a une, s'appelle Heurozac : deux petites pilules par jour et l'apprenti stupide peut ingurgiter des Big Mac, s'enrichir en boursicotant, s'offrir un loft branché et une grosse voiture sans culpabiliser. Bref, la vraie vie, enfin ! À trop tenter le diable, Antoine le rêveur ne sombrera-t-il pas doucement mais sûrement dans la bêtise et la médiocrité ? "
Un livre pour ne pas oublier d'être nous-même et pour nous aider à sortir du troupeau de moutons.
"L'intelligence ne fait pas le bonheur… Antoine, vingt-cinq ans, cultivé, fin et bardé de diplômes aussi exotiques qu'inutiles en fait l'amère constatation. Loin de le rendre heureux, son sens aigu de l'observation et sa fâcheuse tendance à l'analyse ont fait son malheur. Une bonne dose de stupidité l'aiderait sans aucun doute à davantage "participer à la vie". Notre doux-dingue décide donc de se noyer dans les vapeurs de l'alcool. Non sans s'être au préalable copieusement documenté et s'être choisi un professeur expérimenté. Devenir alcoolique d'accord, mais intelligemment et méthodiquement. Comme on ne peut pas être génial en tout, Antoine échoue lamentablement. Il faut se rendre à l'évidence, l'alcoolisme n'est pas son rayon, pas plus que le suicide. La solution, car il y en a une, s'appelle Heurozac : deux petites pilules par jour et l'apprenti stupide peut ingurgiter des Big Mac, s'enrichir en boursicotant, s'offrir un loft branché et une grosse voiture sans culpabiliser. Bref, la vraie vie, enfin ! À trop tenter le diable, Antoine le rêveur ne sombrera-t-il pas doucement mais sûrement dans la bêtise et la médiocrité ? "
Un livre pour ne pas oublier d'être nous-même et pour nous aider à sortir du troupeau de moutons.