Le bookcrossing fait voyager des livres. Partout où c'est permis.
Lu il y a plusieurs années. Cela m'avait plu dans une certaine mesure. Si je transpose dans ma langue maternelle (qui n'est pas celle de Nick Hornby) alors je peux me rappeler telles ou telles paroles. Appréciées ou pas du tout. Feu ma mère glissait des paroles de chansons comme y a l'téléphon qui son de Nino Ferrer ou mais t'es très beau comme ça, le plus beau pour aller danser, qui détournait Sylvie Vartan. Petit garçon j'ai eu déboulé dans la cuisine en chantant (pas comme un choriste de Conservatoire !) Noir c'est noir, il n'y a plus d'espoir (Johnny, de l'américain) sans comprendre le sens.

Il ne t'est jamais donné de rêve sans le pouvoir de le réaliser. (Richard Bach)


Banc bascule et jeux enfants.
Qu'on fasse ou non partie de la foule sentimentale brocardée par Alain Souchon. Et reprise par d'autres (multiples covers).
Dérision de nous, dérisoire...