Quatrième de couverture :
"Rien ne va plus dans la vie de Simon Crown. A 35 ans, il est déjà divorcé. La station de radio dont il est propriétaire est au bord de la faillite. Pas la moindre trace d'opale dans la mine où il a investi. Pire, il réside dans une petite ville où il faut habiter des maisons troglodytes pour survivre à la chaleur. Ici, on court au pub le plus proche, peu importe l'heure, pour se poser la seule question existentielle : bière ou whisky ?
Soudain pris d'une irrésistible envie d'en découdre, Simon se retrouve empêtré dans une succession de situations absurdes, dangereuses, et parfaitement réjouissantes."

Quel conteur, que ce Kenneth Cook. Son narrateur fait partie de ces perdants magnifiques qui enchantent le lecteur. Il tient remarquablement et incroyablement bien l'alcool, supporte mal la chaleur, est rempli de scrupules, et survit à toutes les tuiles.
Quant à l'action, elle se situe dans un coin paumé dans les environs (au sens australien du terme) de Coober Pedy, et elle m'a permis - ô joie - de revoir des paysages découverts lors de mon périple australien de 2012, ce qui fait un bail, mais il reste les photos. Les mines d'opales, les maisons troglodytes, le désert rouge, sacrée ambiance dans ce bouquin. Moins sombre que dans "Cinq matins de trop" toutefois, car là, il y a de l'humour.
A découvrir via la BBV des écrivains du monde.

Un petit parfum d'outback et de terre rouge qui se déplace via la BBV des écrivains du monde, avec les maisons troglodytes de Coober Pedy.
Bon voyage, bonne lecture !

Un kangourou aborigène dans ma boîte aux lettres avec une autruche à l'intérieur !
Merci Indy je vais me régaler.