
Sans foi ni loi
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Le bookcrossing fait voyager des livres. Partout où c'est permis.

Pas un achat. Récupéré dans la cabine téléphonique de théâtre (pas une vraie, une création de gens de la petite paroisse Saint-Charles Borromée) située à Avusy, au Creux-du-Loup. Tome assez gros, pas format de poche du tout.
Et donc à nouveau Karin Slaughter.
Et donc à nouveau Karin Slaughter.

Prochain mariage avec Zoran Feric, Croatie. La mort de la petite fille aux allumettes.

Macabre découverte...

Karin Slaughter se fait plaisir, là. On avance tranquillement, et à la lecture, il faut être patient et se dire: ok nous arriverons bientôt au coeur du sujet, n'est-ce pas ? Jeffrey, flic, et Sara, s'entendent plus ou moins comme chien et chat. A un moment, la femme trébuche. Cela frôle l'affrontement: J. l'a-t-il poussée ? Pour qu'elle tombe, exprès ? Si c'était si simple...
On sait que 60 et quelques pourcent des affaires de violence impliquent un lien entre assaillant et victime (marital, familial, pro...) Mais là cette chute est un accident. Un bout de tuyau qui dépassait. A l'autre bout du tuyau apparaît quelque chose d'horrible...
Vers les pages 180 j'aime bien, finalement (du moment qu'on admet cette narration qui prolonge le suspense) le dialogue bizarre chez les bigots, à la ferme où vit entre autres Esther. Esther, la mère d'Abigail "Abby".
On sait que 60 et quelques pourcent des affaires de violence impliquent un lien entre assaillant et victime (marital, familial, pro...) Mais là cette chute est un accident. Un bout de tuyau qui dépassait. A l'autre bout du tuyau apparaît quelque chose d'horrible...
Vers les pages 180 j'aime bien, finalement (du moment qu'on admet cette narration qui prolonge le suspense) le dialogue bizarre chez les bigots, à la ferme où vit entre autres Esther. Esther, la mère d'Abigail "Abby".

Une nouvelle preuve qu'il faut être patient. Au début l'intrigue a l'air de s'enliser. Mais ensuite... L'enquête devient de plus en plus prenante et il y a peut-être bien un homme qui sait quelque chose... sur Abby (Abigail, la fille qui a péri de façon horrible)
Je ne lis pas très vite. En un sens, c'est tant mieux. Je trouve qu'en 2025 j'entre davantage dans ce que je lis, assez curieux de constater cela pourtant.
Je ne lis pas très vite. En un sens, c'est tant mieux. Je trouve qu'en 2025 j'entre davantage dans ce que je lis, assez curieux de constater cela pourtant.

Faithless. C'est le titre en v.o. de ce polar qui, jusqu'au bout, se sera révélé à la hauteur des attentes. Que d'intensité dramatique ! Dans le comté Grant et dans le comté voisin se trament des histoires privées camouflées derrière une apparence sociale pieuse. Abigail disparaît... et on la retrouve morte. Et Terri est une victime elle aussi, Teresa Eugenia. "L'Eternel est mon berger" ? Cela n'a pas effacé les moutons noirs.
Je le redis autrement. Ce livre est un pavé, mais il faut tenir bon, le lire jusqu'à la dernière goutte de larme ou de sang.
623 pages.
Vu l'environnement humain de ce livre, c'est une facétie du destin que je l'aie trouvé dans la boîte à livres d'une paroisse :) au Creux-du-Loup dans le sud-ouest du canton de Genève.
Je le redis autrement. Ce livre est un pavé, mais il faut tenir bon, le lire jusqu'à la dernière goutte de larme ou de sang.
623 pages.
Vu l'environnement humain de ce livre, c'est une facétie du destin que je l'aie trouvé dans la boîte à livres d'une paroisse :) au Creux-du-Loup dans le sud-ouest du canton de Genève.

Journal Entry 8 by
souram
at Rue des Allobroges in Genève, Genève Switzerland on Thursday, February 13, 2025


Released 1 mo ago (2/13/2025 UTC) at Rue des Allobroges in Genève, Genève Switzerland
WILD RELEASE NOTES:
Il ne t'est jamais donné de rêve sans le pouvoir de le réaliser. (Richard Bach)
Dans une caissette. Là où on ne met des journaux que le dimanche.
Dans une caissette. Là où on ne met des journaux que le dimanche.