Une nouvelle traduction de l’œuvre de ce suisse de langue allemande qui, fils de famille de grande bourgeoisie, se voit diagnostiquer un cancer qu’il estime n’être que la conclusion évidente de l’éducation qu’il a reçue.
Il en mourra peu de temps après l’écriture de ce livre.
Être « bien comme il faut », respectueux de l’harmonie, être face à la vie et non dans la vie, l’a rendu incapable d’amitié, en particulier de relation amoureuse ou sexuelle.

Libéré avec quelques autres lors d’une rencontre bookcrossing.

Attrapé au Marché Bar lors de notre rencontre mensuelle