Le pouvoir
Registered by Indy2012 of Strasbourg, Alsace France on 9/13/2024
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Aux quatre coins du monde, en Europe comme outre-mer, les femmes découvrent qu'elles détiennent "le pouvoir". Du bout des doigts, elles peuvent infliger une douleur fulgurante, et même la mort. Soudain, les hommes comprennent qu'ils deviennent "le sexe faible". Mais jusqu'où iront les femmes pour imposer ce nouvel ordre ?
"Electrisant", selon Margaret Atwood.
"Electrisant", selon Margaret Atwood.
Bon, bon, bon. Je dois avouer que je suis un peu déçue. Non par la thématique ou l'idée, formidables. Mais par l'écriture, simpliste, souvent familière, et la manière d'aborder les choses.
Le simple effet miroir est en effet brutal et violent : ce que les femmes subissent, les hommes vont le subir. Faiblesse, dépendance, viol, soumission...La dénonciation passe par la violence, et quelque part, ça me dérange.
Par contre inutile de nier que le récit a le mérite de pousser à la réflexion, et tourne autour de la question du pouvoir. « Le pouvoir tend à corrompre, le pouvoir absolu corrompt absolument », disait Lord Acton. Ce roman l'illustre parfaitement.
Le simple effet miroir est en effet brutal et violent : ce que les femmes subissent, les hommes vont le subir. Faiblesse, dépendance, viol, soumission...La dénonciation passe par la violence, et quelque part, ça me dérange.
Par contre inutile de nier que le récit a le mérite de pousser à la réflexion, et tourne autour de la question du pouvoir. « Le pouvoir tend à corrompre, le pouvoir absolu corrompt absolument », disait Lord Acton. Ce roman l'illustre parfaitement.
Journal Entry 3 by Indy2012 at Le Marché Bar in Strasbourg, Alsace France on Tuesday, October 1, 2024
Une thématique féministe qui aurait pu entrer en résonance avec d'autres livres que j'ai aimés. Attirée par la recommandation de Margaret Atwood, j'ai plutôt été déçue. Mais peut-être que d'autres lecteurs l'apprécieront davantage. Libéré à l'occasion de la rencontre mensuelle des bookcrosseurs strasbourgeois.
Voilà ce qui est génial dans le bookcrossing : on découvre des livres devant lesquels on aurait pu passer sans s'arrêter, et c'est magique.
Et donc, bienvenue à toi, nouveau lecteur qui a découvert celui-ci !
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Des questions ? De nombreux bookcrosseurs prêts à te répondre sur le forum :
https://www.bookcrossing.com/forum/17
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Attrapé avec quelques autres lors de la rencontre bookcrossing.
« Ces femmes font ça parce qu’elles le peuvent, voilà tout. »
Ce livre développe ainsi la thèse que le sexe le plus fort (physiquement) sera forcément celui qui aura le pouvoir et dominera l’autre.
Mais enfin on voit surtout de la colère, de la folie.
Bien qu’essayant de suivre plusieurs personnages, donc plusieurs points de vue, le tout semble tout de même effectivement bien simpliste.
Et puis, je trouve que les personnages n’ont pas vraiment de densité, qu’ils sont finalement assez vides.
Reste que ça se lit assez bien, même si la fin me semble particulièrement bâclée.
Le récit qui l’enveloppe est aussi assez maladroit (on nous parle de Facebook ou autre site actuel, dans une œuvre supposée être écrite... (attention spoiler)... au moins cinq mille ans plus tard, après un effondrement complet de la civilisation actuelle puis une reconstruction dans laquelle ces réseaux n’ont aucune raison d’exister).
Enfin, ce récit enveloppant essaie de développer la thèse que le genre n’est qu’un point de vue... alors que le contenu est presque totalement binaire ; n’est-ce pas contre-productif ?
Mais dans l’idée, c’est intéressant, et peut être source de réflexion.
Ce livre développe ainsi la thèse que le sexe le plus fort (physiquement) sera forcément celui qui aura le pouvoir et dominera l’autre.
Mais enfin on voit surtout de la colère, de la folie.
Bien qu’essayant de suivre plusieurs personnages, donc plusieurs points de vue, le tout semble tout de même effectivement bien simpliste.
Et puis, je trouve que les personnages n’ont pas vraiment de densité, qu’ils sont finalement assez vides.
Reste que ça se lit assez bien, même si la fin me semble particulièrement bâclée.
Le récit qui l’enveloppe est aussi assez maladroit (on nous parle de Facebook ou autre site actuel, dans une œuvre supposée être écrite... (attention spoiler)... au moins cinq mille ans plus tard, après un effondrement complet de la civilisation actuelle puis une reconstruction dans laquelle ces réseaux n’ont aucune raison d’exister).
Enfin, ce récit enveloppant essaie de développer la thèse que le genre n’est qu’un point de vue... alors que le contenu est presque totalement binaire ; n’est-ce pas contre-productif ?
Mais dans l’idée, c’est intéressant, et peut être source de réflexion.
Journal Entry 6 by fryderyk at Le Marché Bar in Strasbourg, Alsace France on Wednesday, November 6, 2024
Libéré avec quelques autres lors d’une rencontre bookcrossing.
Court passage à la maison avant de repartir.
Pour une bookcrosseuse (occasionnelle) de passage.