Expressions désuètes
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Le bookcrossing fait voyager des livres.
Chacun et chacune voient midi à leur porte. D'ailleurs tout le monde voit midi à sa 🚪 porte.
C'était souvent un.e domestique qui tenait la chandelle pendant que ses maîtres faisaient des galipettes.
Autrefois les manches étaient amovibles. On pouvait échanger ses manches par amitié et alors se pourvoir d'une autre paire de manches. Littéralement.
En résumé, il y a à boire et à manger dans le filet à bagages*.
Graisser la patte, être aux anges, ça fait la rue Michel etc. Pas repéré de tournures régionales. Typo qui se veut séduisante, avec des fonds colorés, des paragraphes imprimés en orange (ou abricot) des dessins (une tour Eiffel) Cela me rappelle un peu les 150 expressions (désuètes vraiment ?) que notre prof de français hors-normes nous avait fait apprendre mais j'aime mieux ces 150 expressions.
*d'où les tournures voir la lumière au bout du tunnel, avancer à toute vapeur, c'est le cocu qui se moque du chef de gare, e' pericoloso sporgersi/nicht hinauslehnen/ne pas se pencher au-dehors/do not lean out, éloignez-vous de la bordure du quai, changer à Paris/Lyon Part-Dieu/Berne/Lausanne/Montpellier-Saint-Roch/Lille-Europe/Saint-Gall/Coire etc.
De la littérature de gare. Un roman de gare. La Fille du train n'est pas un roman de gare. La Modification est entre autres un roman de gares, Roma Termini et Paris-Gare de Lyon mais pas seulement. La Madone des sleepings de Maurice Dekobra a été un genre de roman de gare. Le lever du jour dans un train de nuit n'est pas le pire; le pire, c'est le lever du voyageur, moche, mal rasé, quand on se touche le visage on croirait s'être métamorphosé en hérisson, ou en fugitif style pas-le-temps-de-me-raser-fuyons, on a en général mal dormi (dans un véhicule en mouvement de surcroît) alors rasage cauteleux avant l'arrêt à...
Je préfère La Puce à l'oreille de Claude Duneton
L'héritage révolutionnaire: un.e bureaucrate - c'est toujours ça de pris (à l'ennemi) - nous n'allons pas nous laisser manger la laine sur le dos - la jeunesse dorée - je m'en f... comme de l'an quarante.
Chacun et chacune voient midi à leur porte. D'ailleurs tout le monde voit midi à sa 🚪 porte.
C'était souvent un.e domestique qui tenait la chandelle pendant que ses maîtres faisaient des galipettes.
Autrefois les manches étaient amovibles. On pouvait échanger ses manches par amitié et alors se pourvoir d'une autre paire de manches. Littéralement.
En résumé, il y a à boire et à manger dans le filet à bagages*.
Graisser la patte, être aux anges, ça fait la rue Michel etc. Pas repéré de tournures régionales. Typo qui se veut séduisante, avec des fonds colorés, des paragraphes imprimés en orange (ou abricot) des dessins (une tour Eiffel) Cela me rappelle un peu les 150 expressions (désuètes vraiment ?) que notre prof de français hors-normes nous avait fait apprendre mais j'aime mieux ces 150 expressions.
*d'où les tournures voir la lumière au bout du tunnel, avancer à toute vapeur, c'est le cocu qui se moque du chef de gare, e' pericoloso sporgersi/nicht hinauslehnen/ne pas se pencher au-dehors/do not lean out, éloignez-vous de la bordure du quai, changer à Paris/Lyon Part-Dieu/Berne/Lausanne/Montpellier-Saint-Roch/Lille-Europe/Saint-Gall/Coire etc.
De la littérature de gare. Un roman de gare. La Fille du train n'est pas un roman de gare. La Modification est entre autres un roman de gares, Roma Termini et Paris-Gare de Lyon mais pas seulement. La Madone des sleepings de Maurice Dekobra a été un genre de roman de gare. Le lever du jour dans un train de nuit n'est pas le pire; le pire, c'est le lever du voyageur, moche, mal rasé, quand on se touche le visage on croirait s'être métamorphosé en hérisson, ou en fugitif style pas-le-temps-de-me-raser-fuyons, on a en général mal dormi (dans un véhicule en mouvement de surcroît) alors rasage cauteleux avant l'arrêt à...
Je préfère La Puce à l'oreille de Claude Duneton
L'héritage révolutionnaire: un.e bureaucrate - c'est toujours ça de pris (à l'ennemi) - nous n'allons pas nous laisser manger la laine sur le dos - la jeunesse dorée - je m'en f... comme de l'an quarante.
Journal Entry 2 by souram at Arrêt de bus Parc de la Mouille in Veyrier, Genève Switzerland on Saturday, August 3, 2024