Achetée dans la foulée de 2 autres polars de Markaris! Quand on aime, on ne compte pas!

Pas de chance pour le commissaire Charitos et sa femme, partis en vacances à Istanbul ( Constantinople pour les Grecs…): à peine arrivé, un homme le branche sur la disparition d’une femme grecque nonagénaire qu’il connaissait enfant et qui disait « voulait revoir Constantinople avant de mourir »…Peu après, c’est son chef qui le contacte, lui demandant d’enquêter sur cette même femme, accusée par la police turque d’avoir assassiné son frère. C’est qu’il s’agit d’une femme grecque, et qu’en aucun cas son supérieur hiérarchique n’a envie que la police turque s’occupe de l’affaire ou que l’on en arrive à l’incident diplomatique.
Dans ce polar, l’auteur va soulever certains différends entre Turcs et Grecs, notamment la cause des Roums, communauté grecque orthodoxe chassée de Constantinople ( d’où le changement de nom de la ville pas vraiment digéré par certains Grecs…) mais aussi l’adhésion de la Grèce – et non de la Turquie- à l’Union Européenne, et ses retombées. Et puis, comme d’habitude dans les livres de Markaris, on « vit avec les Charitos » : les parents sont atterrés en apprenant que leur fille Katérina ne veut ni se marier devant le pope, ni mettre une robe blanche… !
Quand au voyage en lui-même, il est loin d’être serein, avec des membres du groupe bien pénibles…alors que, côté enquête, finalement partagée avec un jeune policier turc, elle va se passer de façon constructive et plutôt agréable…Comme quoi…
Bref, on a droit à tous les états d’âme du Commissaire….dans sa vie perso, sa vie professionnelle…Quant à l’enquête, à la poursuite de la nonagénaire qui arrive habilement à leur filer entre les pattes, elle va dévoiler que la mamie empoisonnait bien son petit monde avec sa tyropita, l’un des plats qu’elle réussissait si bien… !
Pas forcément l’enquête de Charitos que je préfère…Un petit peu trop gros, cette mamie qui arrive aussi longtemps à échapper à la police.

Libéré ce soir au Marché bar, lors de notre rencontre BC du mois.

Quelle chance que Signette ait été séduite par le commissaire Charitos !

Je l'ai lu avec plaisir et j'ai été intéressée par l'histoire des Grecs d'Istanbul.

Attrapé au Marché Bar lors de notre rencontre mensuelle

Le sympathique commissaire Charitos se fait rattraper par une enquête alors qu'il est en vacances avec son épouse Adriani, qui lui fait bien comprendre que ce ne sont pas des vacances comme elle les imaginait. Une agréable découverte d'Istanbul !

Libéré le 2 octobre lors de la rencontre mensuelle, le premier mercredi du mois, au Marché Bar à Strasbourg

attrapé lors de la réunion mensuelle, fort sympathique, du BC Strasbourg.

Le sympathique commissaire nous entraîne, avec sa femme Adriani, dans une enquête imprévue lors d'un voyage à Istanbul.
On y découvre l'existence d'une petite communauté grecque, "Les Roums", qui désigne les "Romains" ou plutôt les descendants de l'empire romain d'autrefois, boucs émissaires de querelles entre Ankara et Athènes sur la question chypriote.
Son homologue local, quasi "immigré" dans le pays de ses parents (il est né en Allemagne), l'accompagne et nous emmène visiter Istanbul.
Une intrigue policière un peu légère, mais l'intérêt du roman est ailleurs, au portes de l'Orient, à Istanbul.

Libération lors de la réunion mensuelle du BC Strasbourg

Attrapé lors de notre sympathique rencontre du mois de novembre !!!