
La langue maternelle
3 journalers for this copy...

j'étais contente de découvrir un auteur grec et j'ai plutôt bien aimé le début, mais au bout d'une centaine de pages , l'ennui a pointé le bout de son nez. Je me suis rendue compte que l'histoire ne m'intéressait pas vraiment. Je l'ai donc abandonné. Ce livre a quand même reçu le prix Médicis en 1995.

Journal Entry 2 by Tamsine at Le Marché Bar in Strasbourg, Alsace France on Wednesday, February 1, 2023
Pour notre rencontre de février

Attrapé avec plusieurs autres lors d’une rencontre bookcrossing.

Le titre de ce roman est parfaitement choisi.
On se sent un peu perdu au début de sa lecture, mais petit à petit un rythme se met en place, et on voit le chemin qui se parcourt.
On a alors envie d’accompagner le narrateur, qui ressemble sans doute beaucoup à l’auteur lui-même, jusqu’au bout de cette histoire.
C’est un retour au pays, avec, pour aider à s’y ancrer de nouveau, une quête impossible sur l’énigme d’une lettre, le epsilon majuscule (E), autrefois suspendue au temple de Delphes, dont le narrateur cherche de quel mot il peut être le début et qui lui fait remplir un petit cahier avec quarante mots qui lui sont donnés ou qu’il découvre au long de sa quête.
C’est aussi un livre sur la mère, perdue mais qui revient régulièrement à l’esprit, la famille et les relations amoureuses.
Il y a une foison de détails, on peut y apprendre du vocabulaire grec, mais aussi des éléments de la mythologie, de l’histoire grecque, notamment de la différence et des points communs entre la culture grecque antique et moderne. Il y est aussi question de politique.
En fait, c’est un peu comme s’il ne se passait pas grand chose, et pourtant en fait plein de petites choses, qui construisent la mémoire et l’attachement ; c’est un peu la vie, finalement, dans un rythme tranquille, je dirais méditerranéen.
Un livre que je suis plutôt content d’avoir lu.
On se sent un peu perdu au début de sa lecture, mais petit à petit un rythme se met en place, et on voit le chemin qui se parcourt.
On a alors envie d’accompagner le narrateur, qui ressemble sans doute beaucoup à l’auteur lui-même, jusqu’au bout de cette histoire.
C’est un retour au pays, avec, pour aider à s’y ancrer de nouveau, une quête impossible sur l’énigme d’une lettre, le epsilon majuscule (E), autrefois suspendue au temple de Delphes, dont le narrateur cherche de quel mot il peut être le début et qui lui fait remplir un petit cahier avec quarante mots qui lui sont donnés ou qu’il découvre au long de sa quête.
C’est aussi un livre sur la mère, perdue mais qui revient régulièrement à l’esprit, la famille et les relations amoureuses.
Il y a une foison de détails, on peut y apprendre du vocabulaire grec, mais aussi des éléments de la mythologie, de l’histoire grecque, notamment de la différence et des points communs entre la culture grecque antique et moderne. Il y est aussi question de politique.
En fait, c’est un peu comme s’il ne se passait pas grand chose, et pourtant en fait plein de petites choses, qui construisent la mémoire et l’attachement ; c’est un peu la vie, finalement, dans un rythme tranquille, je dirais méditerranéen.
Un livre que je suis plutôt content d’avoir lu.

Journal Entry 5 by fryderyk at Le Marché Bar in Strasbourg, Alsace France on Wednesday, March 1, 2023
Libéré avec plusieurs autres lors d’une rencontre bookcrossing.

Choisi lors de notre sympathique rencontre de mars.