Cette traque dans le bush australien sera pour mon défi des Ecrivains du monde 2022

J'ai aimé cette lecture qui donne pas mal d'informations sur les conséquences de la présence des animaux féraux "importés". Je ne savais pas qu'on appelait comme cela les espèces domestiques retournées à l'état sauvage, ni qu'il y avait de si grands marais en Australie.

Je propose ce livre à Berna54 !
8.8.22 : Lu et apprécié.

Ce livre a fait une étape chez nous .
Je te le confie Indy2012, son voyage continue entre vos mains.
Chausse tes bottes, prends ton chapeau et Bonne lecture !

Oh, il vient d'arriver en très bonne compagnie ! Merci tout plein, Ydam. Sans doute ma prochaine lecture.

Que ce soit sous forme de comédie ou de tragédie, Kenneth Cook a l'art de restituer une ambiance authentique dans ses écrits. "La bête" ne fait pas exception, avec en plus un coté thriller très réussi. Monothématique comme son titre, cet opus sanglant refroidira les opposants à la chasse, mais fera réfléchir les défenseurs des animaux, pointant sans concession les nuisibles et les dégâts qu'ils causent. Au-delà du problème connu des lapins, je ne connaissais pas celui posé par les chèvres ou les sangliers/les cochons sauvages. Sans oublier que le premier importateur de nuisibles en Australie, c'est l'homme.
Quelques lignes prophétiques page 150 :
"En fin de compte, si la sécheresse dure assez longtemps, comme c'est prévu statistiquement, les seuls animaux capables de survivre dans la région du centre seront les chèvres et quelques chameaux."
Et hop, dans la BBV des écrivains du monde.

La bête choisie dans la BBV reprend sa route dès cet après-midi, je la déposerai à la poste en sortant du boulot. Bon voyage, et bonne lecture !

Arrivé à bon port, merci !

Jamais déçue par Kenneth Cook. La bête, pratiquement lu d'une traite, s'est révélé tout à fait à la hauteur de mes espérances.