Tartarin de Tarascon

by Alphonse Daudet | Literature & Fiction |
ISBN: Global Overview for this book
Registered by wingsouramwing of Genève, Genève Switzerland on 9/3/2021
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Journal Entry 1 by wingsouramwing from Genève, Genève Switzerland on Friday, September 3, 2021
Le bookcrossing fait (re)découvrir le monde.
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Dans l'un de ses livres, Jean-Didier Urbain réhabilite Tartarin. Il explique que ce dernier ne "ment" pas, qu'il fait ce qu'il a annoncé: aller en Afrique et tuer un lion. Mais pas comme imaginé.

A l’école primaire, nous avons lu Tartarin je crois bien. A son retour à Tarascon (bassin rhodanien) T. est fêté tel un héros. Cela prouve que peut-être le public n’a pas besoin d’exploits mirifiques pour s’enthousiasmer. Ou que T. a beaucoup de soutiens dans sa ville. Du moment que l’on y croit de bout en bout, on agit avec conviction – même si les standards d’excellence ne sont pas respectés – et ainsi il y a peu de risques que l’on s’aliène le public. Les tueurs d’idées auraient eu tort de prophétiser que ça ne plairait pas au public. Ledit public n’a pas forcément les attentes des spécialistes du safari. S’il avait été de Tarascon-sur-Ariège, T. aurait sans doute cherché à abattre un ours. - Miroska, êtes-vous… (Je ne la prends pas en entier, je crois qu’elle n’est pas libre de droits.) - Que contient le… - … un minuscule exemplaire de poche de Tartarin de Tarascon. (Mir et Miroska, ou Myr et Myroska, courage, les enfants, l’orthographe va bientôt être abolie.) André Myr et Marie-Charlotte Baron se fréquentèrent dans le sud-ouest et jouèrent leur fameux numéro de magie mentaliste de 1945 à 1983 environ. André Myr s’appela Myr sous le chapiteau, et MCB prit le nom de scène de Miroska ou Myroska. La der des Myr eut lieu au Festival du cirque de Monte-Carlo. En revanche je ne crois pas qu’ils aient parlé de Tartarin en scène. Je ne me moque point d’eux. Il faudrait être bien stupide pour se moquer de Myr et Myroska. Ils méritent tout notre respect. Ils ont fini leur vie loin du sable et des projecteurs au début du XXIe siècle à Castets-en-Dorthe tandis que notre monde qui les avait oubliés accentuait sa folie et ses radicalités. Petit jeu de salon : y avait-il un truc ?

Journal Entry 2 by wingsouramwing at Place des Charmettes in Carouge, Genève Switzerland on Friday, September 3, 2021

Released 2 yrs ago (9/3/2021 UTC) at Place des Charmettes in Carouge, Genève Switzerland

WILD RELEASE NOTES:

Il ne t'est jamais donné de rêve sans le pouvoir de le réaliser. (Richard Bach)

Pour toi Impératrice je n’irai pas flinguer un lion, je sais que l’on ne te charmerait pas avec un projet pareil. (Je peux bien m’adresser fictivement à l’Impératrice. Ni Joséphine ni Eugénie. Cette Impératrice-là a illuminé une partie de mon été 1989 sur l’Ile Emeraude, celle des leprechauns, banshees et caractères ogham. Je n’ai pas terminé mon processus de délivrance. Il me faut continuer à évoquer ma super-amie de Baile Atha Cliath encore un moment pour alléger peu à peu mon cœur.) Viser des cousins du lièvre ne te siérait pas non plus. - Well, on se le boit ce Bailey’s ? C’était, oh, it is un projet en suspens entre nous, Impératrice. Tu t’en souviens forcément. Ni toi ni moi n’oublions aisément. Osé-je (soyons lyrique, pratiquons l’euphonie de la 1ère personne interrogative du présent, hommage à Samuel Roller) t’inclure dans un pronom commun nous ? La crème irish est en attente en cas de retrouvailles. Celles-ci doivent-elles demeurer dans le tiroir aux utopies ? J’aime à me faire miroiter un horizon où nous convergerions, puisque j’en suis à la 1ère personne du pluriel. (Image, un Gael souffle dans une espèce de trompe irlandaise debout dans Phoenix Park ou à Galway, Gaillimh en irlandais.) Je pense t’avoir vue en photo sur la Toile. Voici : tu es assise dans une salle, des personnes sont près de toi, vous avez été photographiés en plein débat, là-haut dans la ville de *** (je tais son nom comme dans certains romans français du XIXe siècle). Bien sûr que c’est toi au centre. - Et le narrateur est certain d’avoir reconnu son ancien béguin ? – Oui. – A quoi ? A quels détails ? Le narrateur : Je reconnais tes yeux vifs perçants, tes cheveux que tu as continué à entretenir de la même longueur qu’à l’époque, ni hyper-ras ni super-longs, tes pommettes, la forme de ta tête c’est toi, à moins d’une ressemblance extraordinaire avec une autre femme. (Une autre info : le narrateur, désigné par l’alias Souram, se rappelle le serre-tête de l’Impératrice en juillet de l’année du 200e de « Sire c’est une révolution ») Tu as peu changé avec les années, Impératrice. Sur la photo elle (3e personne maintenant) porte un haut bicolore, on ne sait pas en quelle saison c’est, il n’y a aucune fenêtre visible. Soit il n’y en a pas (sous-sol éclairé à l’électricité) soit on ne la voit pas s’il y en a une. Ces scènes, les photos et tout, la crème irlandaise alcoolisée, sont-elles romanesques ou réelles ? – La réalité tient parfois du roman. – Mais encor ? – Si vous les voulez vraies on vous les fera prendre pour de la réalité. Mais l’Impératrice existe, même si j’en tirais un roman, tiens, c’est une idée, je ne l’aurais pas complètement inventée. Le narrateur aime jouer sur la frontière entre réalité et fiction. Il se pourrait que ce paragraphe soit le fruit de son imagination. Ou pas ou fort peu.







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