Tim

by Colleen Mc Cullough | Literature & Fiction | This book has not been rated.
ISBN: Global Overview for this book
Registered by wingsouramwing of Genève, Genève Switzerland on 7/30/2021
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Journal Entry 1 by wingsouramwing from Genève, Genève Switzerland on Friday, July 30, 2021
Le bookcrossing fait (re)découvrir le monde.
Rejoignez-nous ! Votre vie ne sera plus tout à fait la même, après.

Mary Horton, une femme d'une cinquantaine d'années, mène une vie austère dans sa villa au bord d'une plage de Sydney. Cloîtrée dans la solitude, elle a depuis toujours étouffé ses aspirations de femme...Un jour, elle fait la rencontre de Tim Melville, jeune homme de 25 ans, d'une grande beauté, mais dont les yeux bleus trahissent le désespoir. Et, en dépit de son âge, il a conservé une âme d'enfant.Quand Tim devient le jardinier de Mary, une étrange relation se noue entre ces deux êtres égarés : ils s'entendent immédiatement, et la richesse de leurs échanges illuminent leur existence. Mais, s'ils semblent enfin sur le point de trouver le bonheur, ni l'un ni l'autre ne paraît prêt à s'y abandonner totalement...

Journal Entry 2 by wingsouramwing at Chemin Edouard Sarasin in Le Grand-Saconnex, Genève Switzerland on Friday, July 30, 2021

Released 2 yrs ago (7/30/2021 UTC) at Chemin Edouard Sarasin in Le Grand-Saconnex, Genève Switzerland

WILD RELEASE NOTES:

Il ne t'est jamais donné de rêve sans le pouvoir de le réaliser. (Richard Bach)

Ce qui suit ne raconte rien du livre. Ou alors c'est que quelqu'un l'a réécrit pendant la nuit.
Un peu d’amour en ce monde disloqué où des groupes entiers tirent de leur côté. Amour, alternative à la débandade. Imaginons : 30 juillet 2023, G… - Les autorités sanitaires ont annoncé qu’on pouvait de nouveau se cajoler et se câliner. « Pas trop tôt ! » songèrent le narrateur et sa muse (dont l’identité n’a pas été révélée). Le narrateur de l’histoire advenue en 2023 raconta (je résume, je n’ai pas le texte avec moi en entier) qu’enfin, oui, ils purent s’étreindre. Le récit se déroule plus ou moins ainsi : Lara et Adrien s’enlacèrent, une première depuis que le hasard les avait rapprochés à l’entrée d’un parc où se tenait une expo en plein air. Après presque deux ans de prudente distance (ardue à vivre au jour le jour en situation de relation amoureuse, pour parler selon le nouveau paradigme) A. serra enfin (enfin dans le plein sens du mot, comme une enseigne au néon ENFIN au-dessus d’un café face à la gare après plein de kilomètres de ballast, tunnels, aiguillages et grincements, promesse de soleil méridional) L. fort contre lui. Délicieuse pression de ses puys géminés et par surcroît, il perçut les battements de son cœur à elle. La sécheresse estivale avait changé les pelouses en steppe hérissée de brindilles jaune pâle, cela sentait un mélange de pin et de citron mais des larmes jaillirent de leurs yeux en ce moment décisif. Les gouvernements rouvraient le chemin des câlins, une première depuis mai 1968. Ne manquaient plus que la sono et un « Assurez-vous de n’avoir rien oublié dans votre histoire amoureuse ». Ah les câlins mais on ne les a pas oubliés juste suspendus. L’étrange carrelage urbain de la place de la gare fut vite foulé aux pieds de nos tourtereaux. Direction la terrasse. Deux condamines-orange pétillantes. (En 2021 on n’a pas encore inventé la condamine-orange mais qui nous dit qu’on ne créera pas autre chose après les monacos ? Patience dans l’azur, on a encore 2 ans devant nous avant de pointer les erreurs de prédiction de l’auteur.) Au-dehors, devant le fort polygonal, il se mit à taper une chaleur digne de l’entrée du palais du Portulan un jour de plan canicule. Une expo de vieilles affiches de cinéma s’y tenait, ça ne pouvait pas ne pas les tenter. Le Fils du Cheik l’incita, elle, à trouver qu’il avait un petit air de Rudolf Valentino. Possible, le narrateur étant de la même région que V. en ligne paternelle après tout (en remontant à 1890). Je suis décontaminé.e. je bois la condamine, plastronnait une pancarte promo derrière les deux touristes. L’Atlantide mettait en valeur sur une affiche la Napierkowska, actrice qui ôtait le sommeil aux spectateurs et qui mourut sans qu’on s’en aperçût le 11 mai 1945 à Paname. Les cloches de la Victoire, l’attente des retours obnubilèrent le public qui ne guetta point le corbillard de la Napa. La Napiska. La Napoléonne. De retour à l’osteria Adrien et Lara (ou, brouillon autographe, Gisèle et Julien ?) testèrent la coque de Cupidon. Une chaise composite, Lara assise à l’envers, ventre contre le dossier. Celui-ci étant échancré à la base. (Une note marginale : « OK qu’ils.elles se débrouillent pour rêver le reste de cette scène d’amour, l’écrivain économisera en crudités. ») Le dossier pas très haut, sans appuie-tronche (style chaise de Büro 3e choix) Lara n’était pas protégée jusqu’aux épaules mais hissait son buste assez haut au-dessus du dossier pour (note en marge : « Non je ne te ferai pas un dessin ») Commentaire du narrateur : cela va toujours très vite avec moi. J’ai une délicieuse raison d’aller vite après tout, dit-il à Lara chamboulée (comme lui le fut). C’est que voilà ils n’étaient plus des jeunots. Elle lui avait dit qu’elle n’était plus… depuis peu. Ce qui libère de la crainte de… selon la presse qu’on achète sur les aires d’autoroute ou dans les gares. Pleurèrent encore. Le trop-plein. Trois ans et demi de rétention de câlins (deux pour eux) qui prennent fin d’un coup par décret gouvernemental cela secoue. Le Daladier du décret-loi sur les cajoleries avait dégainé son glaive d’amour. Tu la berçais ? Tu la berceras de nouveau.







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