Another real story about concentration camp in WWII: touching and very emotive one.

Enjoy !!

Florence’s generosity makes my ToBeRead mountains grow further. Thank you for this book, which promises to be an interesting and emotionally challenging read.

Backcover blurb:

One of the outstanding classics to emerge from the Holocaust, Man’s Search for Meaning is Viktor Frankl’s story of his struggle for survival in Auschwitz and other Nazi concentration camps. Today, this remarkable tribute to hope offers us an Avenue to finding greater meaning and purpose in our lives.

This was a quite extraordinary read. Viktor E. Frankl’s descriptions of concentration camps let’s the reader experience a fraction of the harsh life there, have a glimpse at the reality of what was going on.
I would like to highlight one inspiring phrase that struck me while reading:
“They may have been few in number, but they offer sufficient proof that everything can be taken from a man but one thing: the last of the human freedoms - to choose one’s attitude in any given set of circumstances, to choose one’s own way.”
His take on how we create meaning in our lives is a way of thinking I can appreciate and it provided me with inspiration.
The second part dealing more with his psychological school of psychology was not so much of interest to me, but it did broaden my knowledge.
Overall, an inspiring and difficult read.

For someone interested in the time period discussed.

La Mère Noël est venue jusque chez moi, avant Noël, me déposer un magnifique cadeau : livres et papillotes pour me rendre la vie plus douce.
Je ne connais pas ce livre. Je trouve sa couverture magnifique. Mais les quelques mots sur la couvertures me font froid dans le dos.
C'est effectivement un sujet autour duquel je butte et reviens souvent.
Merci beaucoup d'avoir pensé à moi, feuille de petite fleur.
:-)

I know I should write in english but it's very difficult for me to say precise things in another language. So I will write in french. Sorry.

J'ai trouvé ce livre très intéressant et en même temps perturbant. Parce qu'il offee quelque chose de très différent de ce qu'on trouve généralement dans les témoignages sur la vie dans les camps d'extermination. Bien sûr, on retrouve toutes ces horreurs abominables commises par des hommes sans humanité. On en découvre même toujours de nouvelles, ce qui paraît à chaque fois impossible tellement on pense toujours avoir touché le fond du fond.
Mais ce qui est nouveau, c'est cette façon d'analyser la psychologie des camps. Des détenus comme des nazis ou des capos. Sans jugement, quasiment.
On pourrait imaginer une colère, une douleur, un accablement, et ce serait justifié quand on pense à ce qu'a vécu Viktor E. Frankl et au moment où il a écrit ce livre. Mais ses propos sont mesurés et remplis de compassion, d'empathie même envers ceux qui n'ont pas été justes envers lui.
Je pense par exemple à ce moment où il décrit la soupe. Il y a ceux (très rares) qui versent des portions justes. Chaque détenu reçoit la même chose. Et puis la grande majorité de ceux qui en donnent plus à leurs amis : un peu plus et surtout un peu plus épais. Cela devrait inciter à la colère. Mais Viktor E. Frankl explique sereinement que c'est normal. Dans une période où cette soupe est une question de vie ou de mort, c'est normal de favoriser les gens qu'on aime.
Alors que la plupart des détenus auraient débordé de colère (absolument justifiée), il fait preuve de pondération et d'empathie, de compassion même, envers ces personnes qui ont pu le léser et le laisser quasiment à l'agonie.
Je trouve cela absolument incroyable. Je pense que cet homme est réellement un homme hors du commun.
Il est évident que fournir une analyse psychologique des camps et de leur fonctionnement, a été pour lui une façon de trouver du sens et donc de survivre. Mais je trouve absolument extraordinaire cette capacité d'emparhie qu'il montre, cette absence de jugement envers ceux qui détruisent (détenus ou détenants, une fois encore).
Je lui tire mon chapeau, très sincèrement.
On voit aussi cette emparhie dans le passage que je vais citer en bas de cette note. Beaucoup de gens qui ont vécu l'indicible s'enferment dans des bulles en mode "ce que nous avons vécu est horrible, personne ne peut comprendre etc" (et c'est tout à fait compréhensible). (On voit d'ailleurs cette "exception" ressentie vers la fin, quand un de ses codétenus libéré se met à détruire de jeunes plans de blé au motif qu'après ce qu'il a vécu, il ne va quand même pas s'imposer des interdits.) Ils ne peuvent pas comprendre, après l'enfer des camps, qu'on puisse souffrir d'un amour perdu, d'une disparition, d'une situation professionnelle tendue... bref, des mauvaises farces de la vie. Alors que Frankl, là encore, est épatant d'empathie.
Vraiment, je trouve cet homme admirable (du moins ce qu'on en voit entre les pages de ce témoignage).

Pour ce qui est de la deuxième partie, j'avoue que je l'ai seulement survolée. Je n'avais pas tellement envie de lire un cours de psychologie en sortant du coup de poing de la première partie.

Page 55 :
A man's suffering is similar to the behavior of gas. If a certain quantity of gas is pumped into an empty chamber, it will fill the chamber completely and evenly, no matter how big the chamber. Thus suffering completely fills the human soul and conscious mind, no matter wheter the suffering is great or little. Therefore the "size" of human suffering is absolutly relative.
It also follows that a very trifling thing can cause the greatest of joys.

Un très très grand merci pour ce cadeau reçu pendant mon premier covid et terminé pendant le second.

Déposé dans l'étagère à livres du Crédit Mutuel.
J'espère très sincèrement qu'un lecteur aura envie de le lire.


Bonjour ami (désormais) bookcrosseur !

Il est temps de penser à faire un tour sur le forum pour discuter de tes lectures ou participer à des échanges de livres et
pour tout savoir sur le BookCrossing, son fonctionnement et les événements qui lui sont associés.

Bonne lecture !

Le livre n'avait pas bougé depuis que je l'avais libéré, alors je l'ai repris.
Il va attendre que j'aie une meilleure idée pour lui.

Donné à Vacker dans le cadre d'une chouette rencontre BC.