Marthe ou les amants tristes
by Jean Freustié | Literature & Fiction | This book has not been rated.
ISBN: Global Overview for this book
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Le bookcrossing fait (re)découvrir le monde.
Aucune idée de cet auteur. Jamais entendu parler. Livre récupéré dans une boîte à troc.
Jean Freustié né en 1914, mort en 1983.
Aucune idée de cet auteur. Jamais entendu parler. Livre récupéré dans une boîte à troc.
Jean Freustié né en 1914, mort en 1983.
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Des amants tristes ? De nos jours, aucun motif de tristesse d’avoir eu un pouvoir de séduction, en ce monde morose.
Notre propre expérience d’amoureux.euse peut inclure des hauts et des bas, néanmoins. A un moment, j’ai coursé des filles, alors que j’étais encore à l’école primaire, vers 1976 ou 1977, dans mon quartier. Dans ma rue. Mais ça n’a pas dégénéré. Je les ai perdues de vue. Une anecdote assez curieuse : à douze ans ½ je fantasmais sur mon… mariage avec une camarade de classe. (Je ne l’ai pas épousée par la suite.) D’autres camarades de classe étaient-ils amoureux en même temps que moi ? Je ne crois pas, pas à douze ans. « J’ai rêvé que S. sautait d’un plongeoir dans 10 centimètres d’eau », raconta une fille lors d’une semaine de ski en Valais (1977). Qui était-ce ? F. C. ? L. C. ? J’ai un doute sur le prénom maintenant après tant d’années… S. était dans ma classe. « Elle tue tous ceux qu’elle aime », me susurra S., une réplique qui résonnait curieusement en 5e primaire. On entend rarement ça à onze ans. F. (ou L. ?) avait été la cible d’une parodie de chanson des Charlots, « Si tu n’veux pas – Payer d’impôts – Cache ton piano – cache ton banjo… » et cache ton banjo était suivi du nom de famille de F. (ou L. ?) qui commençait par la syllabe /ka/. Je ne savais pas que c’étaient les Charlots, à l’époque, qui avaient fait connaître ce tube comique. L’année précédente, en semaine de neige, j’en étais encore à lire « Le Clan des sept et la grange aux loups » que m’avait prêté H. (A un moment, 4e primaire ? il y eut 3 Isabelle dans ma classe.) J’ai appris à retardement que ma feue mère fredonna une chanson des Charlots sans dire d’où venait l’air, et ce régulièrement sur des années : « Et les fraises et les framboises – Et le bon vin que nous avons bu – Et les belles villageoises – Nous ne les reverrons plus. » Internet m’a appris donc l’origine charlotesque de la chanson.
Des amants tristes ? De nos jours, aucun motif de tristesse d’avoir eu un pouvoir de séduction, en ce monde morose.
Notre propre expérience d’amoureux.euse peut inclure des hauts et des bas, néanmoins. A un moment, j’ai coursé des filles, alors que j’étais encore à l’école primaire, vers 1976 ou 1977, dans mon quartier. Dans ma rue. Mais ça n’a pas dégénéré. Je les ai perdues de vue. Une anecdote assez curieuse : à douze ans ½ je fantasmais sur mon… mariage avec une camarade de classe. (Je ne l’ai pas épousée par la suite.) D’autres camarades de classe étaient-ils amoureux en même temps que moi ? Je ne crois pas, pas à douze ans. « J’ai rêvé que S. sautait d’un plongeoir dans 10 centimètres d’eau », raconta une fille lors d’une semaine de ski en Valais (1977). Qui était-ce ? F. C. ? L. C. ? J’ai un doute sur le prénom maintenant après tant d’années… S. était dans ma classe. « Elle tue tous ceux qu’elle aime », me susurra S., une réplique qui résonnait curieusement en 5e primaire. On entend rarement ça à onze ans. F. (ou L. ?) avait été la cible d’une parodie de chanson des Charlots, « Si tu n’veux pas – Payer d’impôts – Cache ton piano – cache ton banjo… » et cache ton banjo était suivi du nom de famille de F. (ou L. ?) qui commençait par la syllabe /ka/. Je ne savais pas que c’étaient les Charlots, à l’époque, qui avaient fait connaître ce tube comique. L’année précédente, en semaine de neige, j’en étais encore à lire « Le Clan des sept et la grange aux loups » que m’avait prêté H. (A un moment, 4e primaire ? il y eut 3 Isabelle dans ma classe.) J’ai appris à retardement que ma feue mère fredonna une chanson des Charlots sans dire d’où venait l’air, et ce régulièrement sur des années : « Et les fraises et les framboises – Et le bon vin que nous avons bu – Et les belles villageoises – Nous ne les reverrons plus. » Internet m’a appris donc l’origine charlotesque de la chanson.
Journal Entry 3 by souram at Rue du Vieux Canal in Carouge, Genève Switzerland on Saturday, February 27, 2021
Released 3 yrs ago (3/1/2021 UTC) at Rue du Vieux Canal in Carouge, Genève Switzerland
WILD RELEASE NOTES:
Il ne t'est jamais donné de rêve sans le pouvoir de le réaliser. (Richard Bach)