4ème de couverture
Le camping-car nous a emmenés au Portugal, en Grèce, au Maroc, à Tolède, à Venise. Il était pratique, génialement conçu. Il m’a appris à être libre, tout en restant fidèle aux chemins de l’exil. Par la suite, j’ai toujours gardé une tendresse pour les voyages de mon enfance, pour cette vie bringuebalante et émerveillée, sans horaires ni impératifs. La vie en camping-car.
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Pour icila, qui, si elle n'est pas sur le podium, a été celle qui a cherché sans relâche et trouvé la majorité des lieux au concours photo dédié à C-Maupin sur le thème du patrimoine. Pour cela, elle reçoit ce livre qui figurait sur sa liste de souhaits.

Merci Mistigree, tu es trop gentille. C'est moi qui te remercie pour le plaisir que j'ai pris à mener cette enquête qui m'a rappelé notre jeu pendant le confinement, en compagnie de C-Maupin.

J'ai eu envie de le lire tout de suite.
Je comprends pourquoi il est recouvert d'une jaquette car il faut se fier à l'image des combis VW et pas au titre. Rien à voir avec les camping-cars "classiques", bien au contraire.
Je ne comprends pas pourquoi ce titre.
J'ai apprécié tout ce qui se rapportait à l'esprit du van.
Après c'est une étude psychosociale de ce mode de vacances dans les années 80 et je dois dire que je ne comprends pas le ressenti de l'auteur concernant les reflexions, réelles ou perçues, de son entourage social à l'époque. Mon expérience est diamétralement opposée.
Beaucoup de grain à moudre quant à l'analyse qu'il fait des motivations émotionnelles supposées de son père.