La rose de la mer
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Le bookcrossing fait (re)découvrir le monde.
Drame en mer. Bien aimé ce roman lu voilà plusieurs années. L'écrivain a eu une longue vie et a publié de nombreux romans, dont des fictions dans le milieu de la chasse à courre.
Drame en mer. Bien aimé ce roman lu voilà plusieurs années. L'écrivain a eu une longue vie et a publié de nombreux romans, dont des fictions dans le milieu de la chasse à courre.
Journal Entry 2 by 
souram
at Boîte à livres - La Croix-de-Rozon in Bardonnex, Genève Switzerland on Friday, August 7, 2020
souram at Boîte à livres - La Croix-de-Rozon in Bardonnex, Genève Switzerland on Friday, August 7, 2020
Released 3 yrs ago (8/7/2020 UTC) at Boîte à livres - La Croix-de-Rozon in Bardonnex, Genève Switzerland
WILD RELEASE NOTES:
Il ne t'est jamais donné de rêve sans le pouvoir de le réaliser. (Richard Bach)
Cette année, il y a 50 ans que j'ai vu la mer pour la 1ère fois, cela se passa en Italie, province de Grosseto, à Principina a Mare. Le patelin se situe dans une zone assez largement protégée de pinèdes et de reliefs, les Monti dell'Uccellina, les Monts de la petite oiselle. L'aire préservée forme le parc naturel de la Maremma. Non loin de Principina se blottit Talamone, ancien pays étrusque. Eh bien nous étions quatre en bord de mer arrivés en voiture de Genève via le tunnel du Mont-Blanc et une étape en un Motel Agip (il n'y en a plus) sans doute à Sarzana. Pins, aiguilles, odeur de pins, résine, sable, chaleur et poussière, soleil et paillettes de lumière crépusculaire sur la Mer Tyrrhénienne furent au rendez-vous. "La couleur de la photo !" s'écria ma mère sur la plage en fin de journée, tandis que mon père se reposait dans une chaise longue étiquetée PETITE EUROPE PRINCIPINA en majuscules jaunes. A Cala Violina, coin plus agreste, il "faisait 40 degrés", témoigna ma mère. Une photo subsiste, on me voit en maillot de bain sur ce site. Dans le parc travaillaient des butteri, sortes de gardians. On y trouvait des vaches à grandes cornes "vatussis", watussis, je ne sais plus comment on doit dire ni écrire. Nous y sommes retournés en 1972.
Cette année, il y a 50 ans que j'ai vu la mer pour la 1ère fois, cela se passa en Italie, province de Grosseto, à Principina a Mare. Le patelin se situe dans une zone assez largement protégée de pinèdes et de reliefs, les Monti dell'Uccellina, les Monts de la petite oiselle. L'aire préservée forme le parc naturel de la Maremma. Non loin de Principina se blottit Talamone, ancien pays étrusque. Eh bien nous étions quatre en bord de mer arrivés en voiture de Genève via le tunnel du Mont-Blanc et une étape en un Motel Agip (il n'y en a plus) sans doute à Sarzana. Pins, aiguilles, odeur de pins, résine, sable, chaleur et poussière, soleil et paillettes de lumière crépusculaire sur la Mer Tyrrhénienne furent au rendez-vous. "La couleur de la photo !" s'écria ma mère sur la plage en fin de journée, tandis que mon père se reposait dans une chaise longue étiquetée PETITE EUROPE PRINCIPINA en majuscules jaunes. A Cala Violina, coin plus agreste, il "faisait 40 degrés", témoigna ma mère. Une photo subsiste, on me voit en maillot de bain sur ce site. Dans le parc travaillaient des butteri, sortes de gardians. On y trouvait des vaches à grandes cornes "vatussis", watussis, je ne sais plus comment on doit dire ni écrire. Nous y sommes retournés en 1972.
