J'ai dû rêver trop fort
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Une hôtesse de l'air a l'impression de revivre les mêmes choses que vingt ans plus tôt. Et puis, ce ne sont pas des hasards, finalement, car c'est une petite cachotière.
D'abord, il faut reconnaître que le roman se lit tout seul. L'héroïne, bien que mariée avec des enfants, est une femme libre, comme quelques hommes savent l'être. Pourtant, la psychologie des personnages m'a mise très mal à l'aise : la femme qui part en voyage plutôt que rester au chevet du musicien, la mari qui ne s'aperçoit de rien, l'enfant-cadeau, la fille du musicien qui choisit ce mode d'action... Et l'"happy end" avec tout le monde qui est plein de bons sentiments ne m'a pas semblé crédible. Quelle déception !
D'abord, il faut reconnaître que le roman se lit tout seul. L'héroïne, bien que mariée avec des enfants, est une femme libre, comme quelques hommes savent l'être. Pourtant, la psychologie des personnages m'a mise très mal à l'aise : la femme qui part en voyage plutôt que rester au chevet du musicien, la mari qui ne s'aperçoit de rien, l'enfant-cadeau, la fille du musicien qui choisit ce mode d'action... Et l'"happy end" avec tout le monde qui est plein de bons sentiments ne m'a pas semblé crédible. Quelle déception !