Le garçon qui voulait dormir
Registered by C-Maupin of Saint-Rémy-lès-Chevreuse, Ile-de-France France on 12/16/2017
This Book is Currently in the Wild!
3 journalers for this copy...
Journal Entry 1 by C-Maupin from Saint-Rémy-lès-Chevreuse, Ile-de-France France on Saturday, December 16, 2017
Je ne l'ai pas lu.
Journal Entry 2 by C-Maupin at Saint-Rémy-lès-Chevreuse, Ile-de-France France on Saturday, December 16, 2017
Released 6 yrs ago (12/16/2017 UTC) at Saint-Rémy-lès-Chevreuse, Ile-de-France France
CONTROLLED RELEASE NOTES:
Joyeux Noël !
De passage chez les Maupin, je récupère enfin le BCID de ce roman reçu à Noël. J'avais perdu la petite carte mignonne accompagnant ce cadeau inattendu...
La JE vient donc avec 7 mois de retard. "Normal" pour une Mariesg...
Merci beaucoup beaucoup pour ce livre de ma liste de souhaits. Cette liste est longue mais ce roman figurait parmi ceux que j'attendais le plus.
C'est le prochain dans ma pàl. Je l'attaque une fois de retour dans ma chère Auvergne, au milieu des cerfs et des lapins (et même des moustiques... ouin !).
:-)
La JE vient donc avec 7 mois de retard. "Normal" pour une Mariesg...
Merci beaucoup beaucoup pour ce livre de ma liste de souhaits. Cette liste est longue mais ce roman figurait parmi ceux que j'attendais le plus.
C'est le prochain dans ma pàl. Je l'attaque une fois de retour dans ma chère Auvergne, au milieu des cerfs et des lapins (et même des moustiques... ouin !).
:-)
Finalement, d'autres livres sont passés avant celui-là et c'est au milieu des pigeons parisiens que je l'ai lu.
Je ne sais pas réellement quoi en dire d'ailleurs.
Je ne suis pas réellement entrée dans le propos du livre. Dans la façon dont il est composé. Dans sa subtilité. Et encore moins dans sa conclusion.
J'ai trouvé très violent le destin qui est construit à ces garçons sortis vivants de la guerre et des camps, qu'on prépare militairement à défendre Israël et qui passent seulement d'une guerre à une autre, pour construire un nouveau monde mais en étant obligés de laisser derrière eux leurs racines, de les renier, même, en quelque sorte (on abandonne sa langue maternelle et ses rituels religieux) sans même savoir ce que sont devenus leurs parents (au sens large).
Mais je suppose que c'est effectivement comme ça que cela s'est passé pour beaucoup d'entre eux.
En fait, j'ai lu le livre en entier, ce qui prouve qu'il m'a tout de même touchée. Mais j'ai eu l'impression de survoler l'histoire, de la regarder de haut sans jamais parvenir à me poser dedans. C'est dommage.
Malgré tout, j'ai aimé le regard si humain et bienveillant qu'Erwin pose sur ses compagnons (Beno, Robert, Edouard et Yehiel en particulier).
Voilà. Je repose ce livre et j'espère qu'il creusera son chemin en moi. J'attends que se fasse son oeuvre dans le silence de mon coeur.
Nous verrons cela dans quelques semaines ou quelques mois.
Je ne sais pas réellement quoi en dire d'ailleurs.
Je ne suis pas réellement entrée dans le propos du livre. Dans la façon dont il est composé. Dans sa subtilité. Et encore moins dans sa conclusion.
J'ai trouvé très violent le destin qui est construit à ces garçons sortis vivants de la guerre et des camps, qu'on prépare militairement à défendre Israël et qui passent seulement d'une guerre à une autre, pour construire un nouveau monde mais en étant obligés de laisser derrière eux leurs racines, de les renier, même, en quelque sorte (on abandonne sa langue maternelle et ses rituels religieux) sans même savoir ce que sont devenus leurs parents (au sens large).
Mais je suppose que c'est effectivement comme ça que cela s'est passé pour beaucoup d'entre eux.
En fait, j'ai lu le livre en entier, ce qui prouve qu'il m'a tout de même touchée. Mais j'ai eu l'impression de survoler l'histoire, de la regarder de haut sans jamais parvenir à me poser dedans. C'est dommage.
Malgré tout, j'ai aimé le regard si humain et bienveillant qu'Erwin pose sur ses compagnons (Beno, Robert, Edouard et Yehiel en particulier).
Voilà. Je repose ce livre et j'espère qu'il creusera son chemin en moi. J'attends que se fasse son oeuvre dans le silence de mon coeur.
Nous verrons cela dans quelques semaines ou quelques mois.
Journal Entry 5 by Mariesg at Tea-room Le Délice - rue de Bourg in Lausanne, Vaud Switzerland on Saturday, March 9, 2019
Released 5 yrs ago (3/9/2019 UTC) at Tea-room Le Délice - rue de Bourg in Lausanne, Vaud Switzerland
WILD RELEASE NOTES:
Rencontre brunch à Lausanne.
Bonjour ami (désormais) bookcrosseur !
Il est temps de penser à faire un tour sur le forum pour discuter de tes lectures ou participer à des échanges de livres et
pour tout savoir sur le BookCrossing, son fonctionnement et les événements qui lui sont associés.
Bonne lecture !
Bonjour ami (désormais) bookcrosseur !
Il est temps de penser à faire un tour sur le forum pour discuter de tes lectures ou participer à des échanges de livres et
pour tout savoir sur le BookCrossing, son fonctionnement et les événements qui lui sont associés.
Bonne lecture !
Les JE se succèdent en direct sur le site après le brunch du 9 mars 2019 :)
Un roman d'Appelfeld que je n'ai pas encore lu.
Hasard des livres, je me rappelle être arrivé à la gare de Lausanne (lors du brunch précédent en deux mille combien ? 2014 ? ma mémoire des dates est toujours aussi performante… ) avec un livre d'Aharon Appelfeld que j'avais continué à lire dans le train. Lu de lui une histoire de clandestinité en Ruthénie, entre autres.
Un roman d'Appelfeld que je n'ai pas encore lu.
Hasard des livres, je me rappelle être arrivé à la gare de Lausanne (lors du brunch précédent en deux mille combien ? 2014 ? ma mémoire des dates est toujours aussi performante… ) avec un livre d'Aharon Appelfeld que j'avais continué à lire dans le train. Lu de lui une histoire de clandestinité en Ruthénie, entre autres.
Dois-je y trouver une signification cachée ? Du brunch du 9 mars 2019 à Lausanne, j'ai rapporté:
- Le livre qui vous endort
- La Dormeuse de Naples
- Le garçon qui voulait dormir
Trois livres de chevet :)
- Le livre qui vous endort
- La Dormeuse de Naples
- Le garçon qui voulait dormir
Trois livres de chevet :)
Je n'en suis encore qu'au début. Le "garçon qui voulait dormir" est un adolescent de seize ans qui, en effet, au cours d'une migration (vers la Méditerranée ? comme certains Juifs arrivés à Gagliano del Capo ?) passe beaucoup de temps à dormir. A un moment, il est enrôlé par un activiste sioniste qui éloigne une partie des réfugiés - les jeunes - de la masse des déracinés.
Ce besoin de dormir peut être bien réel. Spécialement dans l'adolescence. J'ai moi-même connu cela. Me coucher à 20h35 me permettait de quitter la scène des faux-semblants de la journée, quand j'avais 16 ou 17 ans.
Ce besoin de dormir peut être bien réel. Spécialement dans l'adolescence. J'ai moi-même connu cela. Me coucher à 20h35 me permettait de quitter la scène des faux-semblants de la journée, quand j'avais 16 ou 17 ans.
Arrivée du "garçon" en Israël. Ce n'est que là qu'on apprend qu'il s'appelle Erwin et qu'un nouveau prénom lui est attribué, Aharon. Marc, lui, ne supporte pas l'idée de changer de nom: ce qui l'achève, en quelque sorte. Voilà un moment sinistre de ce roman. Imposer cette tabula rasa, par idéologie, permet de réécrire l'histoire de ces jeunes, d'effacer la vie d'avant.
L'enrôlement, le devoir de perdre la langue maternelle (l'allemand, le hongrois…) au profit de l'hébreu moderne marquent une pause… à l'hôpital. Le narrateur est blessé aux jambes. Mais ce qui reste récurrent dans ce roman c'est la capacité du narrateur à rêver. Son mythique sommeil revient de temps en temps. Il "revit" l'avant-guerre, rencontre ses parents, même un mort récent lui "parle" en songe. Cela devient donc aussi prévisible.
Terminé. Eh bien, j'aurai en partie été intéressé, davantage au début qu'ensuite. La convalescence du narrateur m'a paru bien longue (la mienne l'a été en 2014*). Beaucoup de réflexions, sans doute trop. Pas le meilleur Appelfeld.
*après ma chute en pleine rue sur un dallage lisse sous la pluie; à un moment du roman (ou: d'un morceau autobiographique d'Aharon A. ?) les roulettes caoutchoutées de la chaise roulante m'ont fait penser à d'autres roues, celles roulant dans les couloirs de l'hôpital à Genève quand on m'emmenait à la radio, ou je ne sais plus où, aux plâtres même si techniquement je n'ai pas été "plâtré"... Brr ! Pas bon pour le moral ce bouquin. Je préfère Grossman.
*après ma chute en pleine rue sur un dallage lisse sous la pluie; à un moment du roman (ou: d'un morceau autobiographique d'Aharon A. ?) les roulettes caoutchoutées de la chaise roulante m'ont fait penser à d'autres roues, celles roulant dans les couloirs de l'hôpital à Genève quand on m'emmenait à la radio, ou je ne sais plus où, aux plâtres même si techniquement je n'ai pas été "plâtré"... Brr ! Pas bon pour le moral ce bouquin. Je préfère Grossman.
Journal Entry 12 by souram at Cité Universitaire de Champel in Genève, Genève Switzerland on Friday, April 5, 2019
Released 4 yrs ago (4/5/2019 UTC) at Cité Universitaire de Champel in Genève, Genève Switzerland
WILD RELEASE NOTES:
Il ne t'est jamais donné de rêve sans le pouvoir de le réaliser. (Richard Bach)
Eh bien, vous avez découvert quelque chose...
Un livre abandonné exprès !
N'ayez pas d'hésitation: donnez votre avis, ou racontez votre découverte, cela nous plaît de savoir ce que deviennent les livres "libérés" ainsi.
Arrêt de bus Crêts de Champel, caissette du Matin.
Eh bien, vous avez découvert quelque chose...
Un livre abandonné exprès !
N'ayez pas d'hésitation: donnez votre avis, ou racontez votre découverte, cela nous plaît de savoir ce que deviennent les livres "libérés" ainsi.
Arrêt de bus Crêts de Champel, caissette du Matin.