Tsili
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souram
of Genève, Genève Switzerland on 10/25/2015
This Book is Currently in the Wild!
souram of Genève, Genève Switzerland on 10/25/2015 This Book is Currently in the Wild!
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En Bucovine, lors de la Seconde Guerre Mondiale, la jeune Tsili, une fille considérée comme un peu simplette, doit lutter pour survivre. La confiture de poire, à un moment, représente pour Tsili un rêve improbable.
Par Aharon Appelfeld.
Par Aharon Appelfeld.
Journal Entry 2 by souram at Parc des Franchises in Genève, Genève Switzerland on Saturday, October 31, 2015
souram at Parc des Franchises in Genève, Genève Switzerland on Saturday, October 31, 2015
Released 8 yrs ago (10/31/2015 UTC) at Parc des Franchises in Genève, Genève Switzerland
WILD RELEASE NOTES:
Il ne t'est jamais donné de rêve sans le pouvoir de le réaliser. (Richard Bach)
Profitez du présent, n'attendez pas après-demain.
Roseraie. Sur un banc au centre.
Le Parc des Franchises est tapissé de feuilles mortes. Malgré le ciel couvert, je me suis baladé de chez moi aux Franchises - en passant par la rue de Bourgogne - et du parc vers sa sortie Vieusseux. Des promeneuses emmenaient leur chien dans un espace clos exprès pour que les chiens puissent y courir, enfin je crois que c'était cela le principe. D'aucunes parlaient de canidés placés chez des gens, donc de chiots, de bouledogues etc. Il n'y avait pas grand-monde. Une cabane estivale était fermée avec en guise d'écriteau une ardoise où on avait écrit "réouverture au printemps". Je suis allé au Bouchet, et ensuite, en tramway 18 jusqu'à Meyrin-Village.
Dans la boîte d'échanges de Meyrin-Village près de la salle Verchère, il y a quelques livres. Je n'en ai mis aucun.
Profitez du présent, n'attendez pas après-demain.
Roseraie. Sur un banc au centre.
Le Parc des Franchises est tapissé de feuilles mortes. Malgré le ciel couvert, je me suis baladé de chez moi aux Franchises - en passant par la rue de Bourgogne - et du parc vers sa sortie Vieusseux. Des promeneuses emmenaient leur chien dans un espace clos exprès pour que les chiens puissent y courir, enfin je crois que c'était cela le principe. D'aucunes parlaient de canidés placés chez des gens, donc de chiots, de bouledogues etc. Il n'y avait pas grand-monde. Une cabane estivale était fermée avec en guise d'écriteau une ardoise où on avait écrit "réouverture au printemps". Je suis allé au Bouchet, et ensuite, en tramway 18 jusqu'à Meyrin-Village.
Dans la boîte d'échanges de Meyrin-Village près de la salle Verchère, il y a quelques livres. Je n'en ai mis aucun.
