Un objet en souffrance
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4ème de couverture :
L'un, Simon, vendeur de jouets dans un grand magasin, est désespéré de ne pouvoir donner d'enfant à sa femme. L'autre, François, hommes d'affaires impitoyable au pouvoir immense, a toujours refusé d'être père.
Quelle relation s'établit entre ces deux hommes que tout sépare, et qui n'auraient jamais dû se rencontrer ?
Comment et pourquoi François va-t-il échouer dans un obscur hôpital de la Creuse, devant une pile de Playboy et un paquet de Kleenex, pour venir en aide à Simon ? Telle est l'étrange histoire que nous conte Didier van Cauwelaert dans cette comédie féroce et bouleversante.
L'un, Simon, vendeur de jouets dans un grand magasin, est désespéré de ne pouvoir donner d'enfant à sa femme. L'autre, François, hommes d'affaires impitoyable au pouvoir immense, a toujours refusé d'être père.
Quelle relation s'établit entre ces deux hommes que tout sépare, et qui n'auraient jamais dû se rencontrer ?
Comment et pourquoi François va-t-il échouer dans un obscur hôpital de la Creuse, devant une pile de Playboy et un paquet de Kleenex, pour venir en aide à Simon ? Telle est l'étrange histoire que nous conte Didier van Cauwelaert dans cette comédie féroce et bouleversante.
Excellent Cauwelaert pour la fan que je suis ! Personnages très attachants comme d'habitude, une belle leçon de vie !
" On est digne de posséder les choses que si l'on est capable de les prendre."
" Je sais très bien que j'appelle "respect de moi-même" l'admiration que je portais à mon père. Je sais bien que je me suis raconté des histoires. Qu'il n'était qu'un flambeur merveilleux, un magicien à trois sous qui ne pouvait faire illusion que sur un enfant de cinq ans, un historien que sa désinvolture, pendant la guerre, avait transformé en héros, pour faire de lui, en temps de paix, un escroc. Quel réseau d'amitiés maquisardes avait pu soutenir ses tours de passe, faire de ce jongleur brouillon un figurant du pouvoir, un clown blanc pour caisse noire ? Pourquoi la guerre s'arrête-t-elle, si c'est pour transformer les rebelles en tricheurs, les victoires aériennes en détournements de fonds, la gloire en circonstances atténuantes ? Pourquoi se survit-on ? "
" On est digne de posséder les choses que si l'on est capable de les prendre."
" Je sais très bien que j'appelle "respect de moi-même" l'admiration que je portais à mon père. Je sais bien que je me suis raconté des histoires. Qu'il n'était qu'un flambeur merveilleux, un magicien à trois sous qui ne pouvait faire illusion que sur un enfant de cinq ans, un historien que sa désinvolture, pendant la guerre, avait transformé en héros, pour faire de lui, en temps de paix, un escroc. Quel réseau d'amitiés maquisardes avait pu soutenir ses tours de passe, faire de ce jongleur brouillon un figurant du pouvoir, un clown blanc pour caisse noire ? Pourquoi la guerre s'arrête-t-elle, si c'est pour transformer les rebelles en tricheurs, les victoires aériennes en détournements de fonds, la gloire en circonstances atténuantes ? Pourquoi se survit-on ? "