American rigolos : Chroniques d'un grand pays
4 journalers for this copy...
une série de chroniques parues en 1998 dans un magazine. Certaines peuvent paraîtres un peu datées, surtout celles reprenant des statistiques ou traitant de politique, mais l'ensemble est plutôt drôle, comme toujours.
Journal Entry 2 by Tamsine at Troc' Café - Rue du Faubourg de Saverne in Strasbourg, Alsace France on Thursday, November 6, 2014
Released 9 yrs ago (11/6/2014 UTC) at Troc' Café - Rue du Faubourg de Saverne in Strasbourg, Alsace France
WILD RELEASE NOTES:
En général, Bryson trouve toujours preneur
Comment résister ??? Un Bill Bryson !!!!!! Tamsine a encore tapé dans le mille !!!!!!!! Merci !
Journal Entry 4 by mirajeu at Troc' Café - Rue du Faubourg de Saverne in Strasbourg, Alsace France on Thursday, June 4, 2015
Released 8 yrs ago (6/4/2015 UTC) at Troc' Café - Rue du Faubourg de Saverne in Strasbourg, Alsace France
WILD RELEASE NOTES:
J'ai picoré ces chroniques comme des friandises.
Sera proposé lors de notre rencontre mensuelle. S'il ne trouve pas de lecteur intéressé, ce livre attendra sur l'étagère le passage d'un bookcrosseur voyageur !
Je n'allais pas repartir les mains vides, alors j'ai craqué. En me demandant si je découvrirais grâce à cette lecture l'usage particulier de la pince à épiler chez les Américains. Ou pas.
Quel bon moment de détente, qui mériterait un commentaire plus détaillé.
Journal Entry 7 by Indy2012 at Troc' Café - Rue du Faubourg de Saverne in Strasbourg, Alsace France on Friday, July 24, 2015
Released 8 yrs ago (7/24/2015 UTC) at Troc' Café - Rue du Faubourg de Saverne in Strasbourg, Alsace France
WILD RELEASE NOTES:
Pour la rencontre exceptionnelle de juillet 2015, j'ai le plaisir d'enfourcher mon dada et de libérer ce livre un peu saugrenu, truffé de calembredaines.
Ne pas se fier à sa couverture (l'habit ne fait pas le moine, comme le dit le sage), qui représente en pleine lumière une Américaine un tantinet grotesque, levant le pied dans un maillot de bain suranné comme pour éviter un poisson gélatineux.
Il s'agit en fait de chroniques, parfois amphigouriques, propres à enquiquiner l'Américain moyen qui mène une vie de patachon, ou du moins à venir gratouiller son ego. Car l'auteur s'amuse à faire son Schtroumpf grognon et lance des piques à tire-larigot, qu'il s'agisse de malbouffe (hamburger contre ratatouille !) ou de publicité télévisuelle.
De quoi passer un bon moment estival, il suffit de ramasser le livre et de l'emporter.
J'imagine la scène. Un futur lecteur le découvre en promenant son chien clopin-clopant. Chapeau et lunettes de soleil, il restera peut-être anonyme ou choisira de courtiser à son tour le monde ambarique du bookcrossing, susceptible de réunir dans un meet-up spectaculaire Jules Vernes et Nelson Mandela devant un repas frugal, ou Amélie Nothomb avec sa pince à épiler et Michael Connelly couteau ensanglanté à la main :
[Ebaubi et ébaudi] Le futur lecteur :
- Mais que voici que voilà, un livre-voyageur, et même pas flétri ? Quelle chance ! Bien sûr que je l'emporte !
(La didascalie étant d'importance, il convenait que je la misse en valeur).
Et à présent trêve de verbiage, laissons le livre à son voyage et la parole à son futur lecteur !
Ne pas se fier à sa couverture (l'habit ne fait pas le moine, comme le dit le sage), qui représente en pleine lumière une Américaine un tantinet grotesque, levant le pied dans un maillot de bain suranné comme pour éviter un poisson gélatineux.
Il s'agit en fait de chroniques, parfois amphigouriques, propres à enquiquiner l'Américain moyen qui mène une vie de patachon, ou du moins à venir gratouiller son ego. Car l'auteur s'amuse à faire son Schtroumpf grognon et lance des piques à tire-larigot, qu'il s'agisse de malbouffe (hamburger contre ratatouille !) ou de publicité télévisuelle.
De quoi passer un bon moment estival, il suffit de ramasser le livre et de l'emporter.
J'imagine la scène. Un futur lecteur le découvre en promenant son chien clopin-clopant. Chapeau et lunettes de soleil, il restera peut-être anonyme ou choisira de courtiser à son tour le monde ambarique du bookcrossing, susceptible de réunir dans un meet-up spectaculaire Jules Vernes et Nelson Mandela devant un repas frugal, ou Amélie Nothomb avec sa pince à épiler et Michael Connelly couteau ensanglanté à la main :
[Ebaubi et ébaudi] Le futur lecteur :
- Mais que voici que voilà, un livre-voyageur, et même pas flétri ? Quelle chance ! Bien sûr que je l'emporte !
(La didascalie étant d'importance, il convenait que je la misse en valeur).
Et à présent trêve de verbiage, laissons le livre à son voyage et la parole à son futur lecteur !