Transatlantic
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Le sixième roman de McCann, et le plus maîtrisé, est un vibrant hommage à sa terre natale irlandaise, cette terre si glaiseuse, lyrique et complexe, ainsi qu'une ode aux liens unissant l'Irlande et l'Amérique, du XIXe siècle à nos jours. Le livre débute avec trois traversées de l'Atlantique, chacune étant une histoire dans l'histoire : le voyage de Frederick Douglass en Irlande en 1845 ; le vol de deux aviateurs britanniques, Alcock et Brown, en 1919 et la tentative de George Mitchell, ancien sénateur américain, d'instaurer une paix durable en Irlande du Nord en 1998. McCann nous ramène ensuite en 1863 pour nous raconter la saga de ces femmes croisées dans la première partie du roman. Il nous présente Lily Duggan, une jeune bonne irlandaise, dont l'échappée audacieuse d'une Irlande déchirée ouvrira les portes du monde à sa fille et à sa petite-fille. L'écriture est riche, pressante, tranchante et précise ; parfois langoureuse, parfois cinétique. Le style est par moment poétique ou rêveur. Les phrases tronquées, ne contenant que quelques mots. Le tout décrit dans des tableaux renversants, découpés. Sombre mais rempli d'espoir. La fin du roman est une scène mélancolique tissant toute l'histoire--une lettre non ouverte, "transmise de fille en fille, à travers une successions de vies", devient le mystérieux fil rouge du roman, un symbole d'un monde devenu plus petit. McCann nous rappelle la dureté de la vie, cette vie qui reste un miracle, le tout gorgé d'espoir.
Le sixième roman de McCann, et le plus maîtrisé, est un vibrant hommage à sa terre natale irlandaise, cette terre si glaiseuse, lyrique et complexe, ainsi qu'une ode aux liens unissant l'Irlande et l'Amérique, du XIXe siècle à nos jours. Le livre débute avec trois traversées de l'Atlantique, chacune étant une histoire dans l'histoire : le voyage de Frederick Douglass en Irlande en 1845 ; le vol de deux aviateurs britanniques, Alcock et Brown, en 1919 et la tentative de George Mitchell, ancien sénateur américain, d'instaurer une paix durable en Irlande du Nord en 1998. McCann nous ramène ensuite en 1863 pour nous raconter la saga de ces femmes croisées dans la première partie du roman. Il nous présente Lily Duggan, une jeune bonne irlandaise, dont l'échappée audacieuse d'une Irlande déchirée ouvrira les portes du monde à sa fille et à sa petite-fille. L'écriture est riche, pressante, tranchante et précise ; parfois langoureuse, parfois cinétique. Le style est par moment poétique ou rêveur. Les phrases tronquées, ne contenant que quelques mots. Le tout décrit dans des tableaux renversants, découpés. Sombre mais rempli d'espoir. La fin du roman est une scène mélancolique tissant toute l'histoire--une lettre non ouverte, "transmise de fille en fille, à travers une successions de vies", devient le mystérieux fil rouge du roman, un symbole d'un monde devenu plus petit. McCann nous rappelle la dureté de la vie, cette vie qui reste un miracle, le tout gorgé d'espoir.
Relais de l'été 2013! Bonne lecture!
Bonjour, je suis désolée, je pensais avoir laissé un mot suite au relais. Je viens de commencer la lecture de ce roman.
J'ai abandonné ce livre à la 140ème page.
La première partie est consacrée à Alcock et Brown qui réalisent un exploit en avion en 1919.
Dans la seconde partie, Colum McCann dresse le portrait d'un esclave en fuite en Irlande. Douglass gravite dans la société irlandaise pour apporter son témoignage contre l'esclavagisme (1845-1946).
Dans la troisième partie, c'est un focus sur un certain Mitchell. J'ai abandonné la lecture à ce moment là car les histoires s'arrêtent les unes après les autres, pour faire des bonds vers le présent (1998 et 2012).
De plus, au bout d'une centaine de pages, il n'y a pas de liens directs, ni d'indices donnés entre les trois histoires. Je me suis rapidement ennuyée.
La première partie est consacrée à Alcock et Brown qui réalisent un exploit en avion en 1919.
Dans la seconde partie, Colum McCann dresse le portrait d'un esclave en fuite en Irlande. Douglass gravite dans la société irlandaise pour apporter son témoignage contre l'esclavagisme (1845-1946).
Dans la troisième partie, c'est un focus sur un certain Mitchell. J'ai abandonné la lecture à ce moment là car les histoires s'arrêtent les unes après les autres, pour faire des bonds vers le présent (1998 et 2012).
De plus, au bout d'une centaine de pages, il n'y a pas de liens directs, ni d'indices donnés entre les trois histoires. Je me suis rapidement ennuyée.
Journal Entry 5 by ashentie at Libération contrôlée, -- By post or by hand/ in person -- France on Thursday, August 28, 2014
Released 9 yrs ago (8/28/2014 UTC) at Libération contrôlée, -- By post or by hand/ in person -- France
CONTROLLED RELEASE NOTES:
Livre choisi pour le relais de l'été 2014
Journal Entry 6 by ashentie at Libération contrôlée, -- By post or by hand/ in person -- France on Thursday, August 28, 2014
Released 9 yrs ago (8/28/2014 UTC) at Libération contrôlée, -- By post or by hand/ in person -- France
CONTROLLED RELEASE NOTES:
Livre choisi pour le relais de l'été 2014
Tour du monde : Dublin 6° 16' 03"
Je retrouve le commentaire d'Ashentie, et je dois dire que je suis assez d'accord :
il est difficile de s'y retrouver. Le lien n'est pas fait entre les différentes parties de l'histoire avant la fin. On ne voit pas toujours de quoi il s'agit. Le style est assez sec, les phrases, hâchées. Les descriptions sont parfois ennuyeuses, ça manque un peu de vie tout ça, de vie et d'émotion.
Bref, c'est quand même une déception pour moi qui avais tellement aimé "Les saisons de la nuit".
Je retrouve le commentaire d'Ashentie, et je dois dire que je suis assez d'accord :
il est difficile de s'y retrouver. Le lien n'est pas fait entre les différentes parties de l'histoire avant la fin. On ne voit pas toujours de quoi il s'agit. Le style est assez sec, les phrases, hâchées. Les descriptions sont parfois ennuyeuses, ça manque un peu de vie tout ça, de vie et d'émotion.
Bref, c'est quand même une déception pour moi qui avais tellement aimé "Les saisons de la nuit".