Intéressant mais un peu trop gentillet à mon goût
Les films vus en 2019
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J' ai vu "Roma" le film de Cuaron un film noir-blanc sa grande qualite avec des plans interieurs et exterieurs tres bien mais pour moi un film super-estime.
Un film que j' ai vu et on l' a decerne la palmares d' or au Festival des Cannes l' annee derniere c' etait"The Shoplifters"de Hirokazu Koreeda et je l' ai bien aime.
Un film que j' ai vu et on l' a decerne la palmares d' or au Festival des Cannes l' annee derniere c' etait"The Shoplifters"de Hirokazu Koreeda et je l' ai bien aime.
Avec Laetitia Casta et Jacques Gamblin.
Retrace l'histoire du Facteur Cheval et des 33 années qu'il a passé à construire son "Palais Idéal" à Hauterives dans la Drôme.
Ce palais appartient aujourd'hui à la commune et est visitable.
Oui oui j'ai vu la bande annonce et j'attends qu'il passe chez nous
+ 1
Avec Laetitia Casta et Jacques Gamblin.
Retrace l'histoire du Facteur Cheval et des 33 années qu'il a passé à construire son "Palais Idéal" à Hauterives dans la Drôme.
Ce palais appartient aujourd'hui à la commune et est visitable.
Oui oui j'ai vu la bande annonce et j'attends qu'il passe chez nous
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Me too.
Superbement fait.
Le film raconte l'écriture et le montage de "Cyrano", en décembre 1897.
Hyper-rythmé, acteurs impeccables, et Michalik le réalisateur a eu le bon goût de s'effacer devant le texte de Rostand en n'usant que de phrases courtes, sujet-verbe-complément, qui du coup donnent leur pleine puissance aux alexandrins.
J'ai pleuré tout le temps.
Le film raconte l'écriture et le montage de "Cyrano", en décembre 1897.
Hyper-rythmé, acteurs impeccables, et Michalik le réalisateur a eu le bon goût de s'effacer devant le texte de Rostand en n'usant que de phrases courtes, sujet-verbe-complément, qui du coup donnent leur pleine puissance aux alexandrins.
J'ai pleuré tout le temps.
https://www.american-cosmograph.fr/new-york-1997.html
Définitivement mon Carpenter préféré. J'en sors tout juste, c'était dans le cadre mensuel de La Dernière Zéance à l'American Cosmograph à Toulouse. Le mois prochain (17 février), fin du cycle Carpenter avec "They live" (Invasion Los Angeles).
Définitivement mon Carpenter préféré. J'en sors tout juste, c'était dans le cadre mensuel de La Dernière Zéance à l'American Cosmograph à Toulouse. Le mois prochain (17 février), fin du cycle Carpenter avec "They live" (Invasion Los Angeles).
Hier soir je suis allee au cinema pour voir un film iranien"Un honne integre" de Mohammed Rasoulof.Je n' avais vu aucun film de lui jusqu' hier et c' etait un film pas mal du tout pas comme les autres films iraniens vus jusqu' a present.Celui-ci parlait de la corruption qui existe dans ce pays.
Vous pouvez le voir ici , en direct :
https://www.voirfilms.pw/un-homme-integre.htm
Autriche, 2016, 1h34.
Présentation du programme :
Une école, un hôpital, une salle de spectacle, une prison… Ces bâtiments construits par les Homo sapiens ont été désertés et la nature y a repris ses droits. Ils accueillent désormais les vents, les pluies, la faune et la flore sans résistance. À travers une série de plans fixes, Nikolaus Geyrhalter tend ces paysages vers le spectateur comme des miroirs. Libre à celui-ci d'y projeter ses fantasmes, d'imaginer le scénario qui a donné lieu à l'éclipse de ses semblables.
Un jeune couple est parti au tiers de la séance, qui ne comprend ni musique ni son humain.
Présentation du programme :
Une école, un hôpital, une salle de spectacle, une prison… Ces bâtiments construits par les Homo sapiens ont été désertés et la nature y a repris ses droits. Ils accueillent désormais les vents, les pluies, la faune et la flore sans résistance. À travers une série de plans fixes, Nikolaus Geyrhalter tend ces paysages vers le spectateur comme des miroirs. Libre à celui-ci d'y projeter ses fantasmes, d'imaginer le scénario qui a donné lieu à l'éclipse de ses semblables.
Un jeune couple est parti au tiers de la séance, qui ne comprend ni musique ni son humain.
de Night Shyamalan (6ème sens, Incassable). Je pourrais plaider l’erreur de salle (« il faisait sombre, j’ai pas bien vu »), ou un conseil malavisé, ou le résultat d’un pari stupide : non non, j’ai sciemment choisi d’aller voir ce navet. Soyez digne : n’y allez pas.
https://youtu.be/0zTG7uR2FYM
https://youtu.be/0zTG7uR2FYM
de Night Shyamalan (6ème sens, Incassable). Je pourrais plaider l’erreur de salle (« il faisait sombre, j’ai pas bien vu »), ou un conseil malavisé, ou le résultat d’un pari stupide : non non, j’ai sciemment choisi d’aller voir ce navet. Soyez digne : n’y allez pas.
https://youtu.be/0zTG7uR2FYM
J'avais beaucoup aimé Split.
d’Olivier Assayas. Vous aimez France Culture ? Vous adorerez. Tant que vous y êtes, n’hésitez pas à fermer les yeux : les images n’ont aucun intérêt. Il s’agit d’une aimable diatribe sur le livre, la lecture, l’édition, le livre numérique et les nouveaux modes de consommation. Ça parle, ça parle, ça parle. Ça s’écoute, aussi, beaucoup. Pendant ce temps, sur l'écran, des bribes de vie quotidienne : je remplis un lave-vaisselle ; j’ouvre un frigo ; je m’asseois sur un fauteuil -et puis non, tiens, sur un autre. Et je parle. Je déjeune dans un bistro bondé. Je parle. Je prends une chambre dans un hôtel, je dîne chez des amis, je prépare un thé, etc.
Creux, poseur, sentencieux. De l’anti-cinéma.
https://youtu.be/exi2xNmP2So
Creux, poseur, sentencieux. De l’anti-cinéma.
https://youtu.be/exi2xNmP2So
d’Olivier Assayas. Vous aimez France Culture ? Vous adorerez. Tant que vous y êtes, n’hésitez pas à fermer les yeux : les images n’ont aucun intérêt. Il s’agit d’une aimable diatribe sur le livre, la lecture, l’édition, le livre numérique et les nouveaux modes de consommation. Ça parle, ça parle, ça parle. Ça s’écoute, aussi, beaucoup. Pendant ce temps, sur l'écran, des bribes de vie quotidienne : je remplis un lave-vaisselle ; j’ouvre un frigo ; je m’asseois sur un fauteuil -et puis non, tiens, sur un autre. Et je parle. Je déjeune dans un bistro bondé. Je parle. Je prends une chambre dans un hôtel, je dîne chez des amis, je prépare un thé, etc.
Creux, poseur, sentencieux. De l’anti-cinéma.
https://youtu.be/exi2xNmP2So
J'adore ton commentaire, surtout la première ligne. :))
d’Olivier Assayas. Vous aimez France Culture ? Vous adorerez. Tant que vous y êtes, n’hésitez pas à fermer les yeux : les images n’ont aucun intérêt. Il s’agit d’une aimable diatribe sur le livre, la lecture, l’édition, le livre numérique et les nouveaux modes de consommation. Ça parle, ça parle, ça parle. Ça s’écoute, aussi, beaucoup. Pendant ce temps, sur l'écran, des bribes de vie quotidienne : je remplis un lave-vaisselle ; j’ouvre un frigo ; je m’asseois sur un fauteuil -et puis non, tiens, sur un autre. Et je parle. Je déjeune dans un bistro bondé. Je parle. Je prends une chambre dans un hôtel, je dîne chez des amis, je prépare un thé, etc.
Creux, poseur, sentencieux. De l’anti-cinéma.
https://youtu.be/exi2xNmP2So
J'adore ton commentaire, surtout la première ligne. :))
Moi aussi.
Biopic partiel sur l’auteure des « Claudine ». Le film la saisit au tournant de 1900, lorsqu’elle épouse « Willy », personnage charismatique et mondain, qui s’attribuera ses textes. Le film, un peu propre, à l’américaine, vaut pour la reconstitution de la vie parisienne : appartements, rues, bals, fiacres, théâtres, cabarets -et les costumes !
https://youtu.be/Mqdyyk-iOvY
https://youtu.be/Mqdyyk-iOvY
Biopic partiel sur l’auteure des « Claudine ». Le film la saisit au tournant de 1900, lorsqu’elle épouse « Willy », personnage charismatique et mondain, qui s’attribuera ses textes. Le film, un peu propre, à l’américaine, vaut pour la reconstitution de la vie parisienne : appartements, rues, bals, fiacres, théâtres, cabarets -et les costumes !
https://youtu.be/Mqdyyk-iOvY
Tu as aimé, donc ?
J'étais un peu perplexe.
Afrooz est la capitaine de l’équipe féminine de futsal en Iran. Après 11 ans de travail acharné, son rêve devient réalité : l’Iran est en finale de la Coupe d’Asie des nations.
Mais au moment d’embarquer pour la Malaisie, elle apprend que son mari lui interdit de sortir du territoire. En Iran, une femme doit obtenir l’autorisation de son mari pour pouvoir voyager.
Afrooz doit alors réussir à convaincre son mari de la laisser partir, par tous les moyens…
C'est un film très prenant, qui fait un peu penser au " Procès de Viviane Amsalem". En sortant, sous le choc, on se dit qu'on a de la chance d'être en France!
Pas très facile, mais vaut vraiment le coup.
Mais au moment d’embarquer pour la Malaisie, elle apprend que son mari lui interdit de sortir du territoire. En Iran, une femme doit obtenir l’autorisation de son mari pour pouvoir voyager.
Afrooz doit alors réussir à convaincre son mari de la laisser partir, par tous les moyens…
C'est un film très prenant, qui fait un peu penser au " Procès de Viviane Amsalem". En sortant, sous le choc, on se dit qu'on a de la chance d'être en France!
Pas très facile, mais vaut vraiment le coup.
Vu en V.O. (Das schweigende Klassenzimmer), sous-titré en français.
Présentation du programme :
Allemagne de l'Est, 1956. Kurt, Theo et Lena ont 18 ans et s'apprêtent à passer le bac. Avec leurs camarades, ils décident de faire une minute de silence en classe, en hommage aux révolutionnaires hongrois durement réprimés par l'armée soviétique. Cette minute de silence devient une affaire d'État. Elle fera basculer leurs vies. Face à un gouvernement est-allemand déterminé à identifier et punir les responsables, les 19 élèves de Stalinstadt devront affronter toutes les menaces et rester solidaires.
Mes impressions :
D'autant plus émouvant que cette histoire est basée sur des faits réels.
Présentation du programme :
Allemagne de l'Est, 1956. Kurt, Theo et Lena ont 18 ans et s'apprêtent à passer le bac. Avec leurs camarades, ils décident de faire une minute de silence en classe, en hommage aux révolutionnaires hongrois durement réprimés par l'armée soviétique. Cette minute de silence devient une affaire d'État. Elle fera basculer leurs vies. Face à un gouvernement est-allemand déterminé à identifier et punir les responsables, les 19 élèves de Stalinstadt devront affronter toutes les menaces et rester solidaires.
Mes impressions :
D'autant plus émouvant que cette histoire est basée sur des faits réels.
C'est très beau! Jacques Gamblin est formidable dans ce rôle ainsi que laëtitia Casta!
Et évidemment j'ai bien envie de retourner voir cette oeuvre de toute une vie après avoir vue ce film !!
J'y vais voir le film demain
Moi aussi je pense que j'aurai envie de retourner la voir
On rechante cette année "Cheval " de Michèle Bernard
C'est très beau! Jacques Gamblin est formidable dans ce rôle ainsi que laëtitia Casta!
Et évidemment j'ai bien envie de retourner voir cette oeuvre de toute une vie après avoir vue ce film !!
J'y vais voir le film demain
Moi aussi je pense que j'aurai envie de retourner la voir
On rechante cette année "Cheval " de Michèle Bernard
Moi aussi je vais le voir demain.
Je l'ai vu cette semaine (notre cinéma est associatif du coup on n'a pas toujours les films en prime). Un film magnifique, des paysages époustouflants de beauté sans parler du jeu des acteurs. J'en ai eu les larmes aux yeux (très rare chez moi). Un bouleversant moment de cinéma.
Prochainement j'irai voir La favorite et Greenbook.
Prochainement j'irai voir La favorite et Greenbook.
Avec Vigo Morgeinstein. Très beau film : en 1962, un americano-italien devient le chauffeur d'un pianiste noir qu'il va accompagner pendant deux mois à travers les Etats du Sud des Etats-Unis ségrégationnistes.
Un film lumineux, souriant, plein d'humanité, de belle musique, de beaux paysages, de prises de vue sympas et de dialogues décalés. Les acteurs sont excellents !
Seul bémol... Il aurait fallu le voir en V.O.
Le doublage des dialogues américano-franco-italien n'est pas très crédible.
Avec Vigo Morgeinstein. Très beau film : en 1962, un americano-italien devient le chauffeur d'un pianiste noir qu'il va accompagner pendant deux mois à travers les Etats du Sud des Etats-Unis ségrégationnistes.
Un film lumineux, souriant, plein d'humanité, de belle musique, de beaux paysages, de prises de vue sympas et de dialogues décalés. Les acteurs sont excellents !
Seul bémol... Il aurait fallu le voir en V.O.
Le doublage des dialogues américano-franco-italien n'est pas très crédible.
En Grèce tous les films étrangers passent en VO avec des sous-titres en grec. Ainsi on
peut aussi entendre les voix des acteurs.
Avec Vigo Morgeinstein. Très beau film : en 1962, un americano-italien devient le chauffeur d'un pianiste noir qu'il va accompagner pendant deux mois à travers les Etats du Sud des Etats-Unis ségrégationnistes.
Un film lumineux, souriant, plein d'humanité, de belle musique, de beaux paysages, de prises de vue sympas et de dialogues décalés. Les acteurs sont excellents !
Seul bémol... Il aurait fallu le voir en V.O.
Le doublage des dialogues américano-franco-italien n'est pas très crédible.
En Grèce tous les films étrangers passent en VO avec des sous-titres en grec. Aisi onpeut aussi entendre les voix des acteurs.
C'est très avantageux pour apprendre les langues étrangères. En France le lobby des doubleurs s'y oppose.
C'est très avantageux pour apprendre les langues étrangères. En France le lobby des doubleurs s'y oppose.
Je m'en réjouis car je ne vais jamais voir un film en VO. Il est vrai que je ne vais pas souvent au cinéma, mais je ne supporte pas les sous-titres : en VO je ne lis que les sous-titres et ne vois pas les images (même pour un film en français sous-titré en français pour les sourds). Et je vous assure qu'il est de plus en plus difficile de trouver un film étranger en version française. Il faudrait se rabattre sur les films pour enfant.
Avec Vigo Morgeinstein. Très beau film : en 1962, un americano-italien devient le chauffeur d'un pianiste noir qu'il va accompagner pendant deux mois à travers les Etats du Sud des Etats-Unis ségrégationnistes.
Un film lumineux, souriant, plein d'humanité, de belle musique, de beaux paysages, de prises de vue sympas et de dialogues décalés. Les acteurs sont excellents !
Seul bémol... Il aurait fallu le voir en V.O.
Le doublage des dialogues américano-franco-italien n'est pas très crédible.
Après avoir lu ton commentaire je me suis précipitée au cinéma et j ai incité ma fille à venir avec moi
On a adoré
Avec Vigo Morgeinstein. Très beau film : en 1962, un americano-italien devient le chauffeur d'un pianiste noir qu'il va accompagner pendant deux mois à travers les Etats du Sud des Etats-Unis ségrégationnistes.
Un film lumineux, souriant, plein d'humanité, de belle musique, de beaux paysages, de prises de vue sympas et de dialogues décalés. Les acteurs sont excellents !
Seul bémol... Il aurait fallu le voir en V.O.
Le doublage des dialogues américano-franco-italien n'est pas très crédible.
Après avoir lu ton commentaire je me suis précipitée au cinéma et j ai incité ma fille à venir avec moi
On a adoré
Quelle bonne nouvelle !!!
Je commence à faire concurrence à Victor-Schmara pour les avis cinématographiques hihihi
Joe Castleman, auteur émérite, apprend qu'il est le récipiendaire du prix Nobel de littérature. Lui, sa femme Joan et son fils David doivent se rendre à Stockholm où auront lieu les festivités et la remise du prix. Durant ce voyage, Joan, qui a toujours soutenu son époux et été fière de lui, se plonge dans ses souvenirs. Elle se rappelle son désir de devenir elle-même une écrivaine et à quel point son rêve et son talent ont été étouffés par son rôle d'épouse et le succès de son mari. Un soir, elle fait la connaissance d'un biographe qui désire la questionner sur la réussite de Joe. Celui-ci soupçonne que Joan n'est pas étrangère à cette réussite...
De Björn Runge
Avec Glenn Close, Christian Slater, Jonathan Pryce .
Adapté du roman de Meg Wolitzer, « The Wife »
De Björn Runge
Avec Glenn Close, Christian Slater, Jonathan Pryce .
Adapté du roman de Meg Wolitzer, « The Wife »
Magnifique ! Jacques Gambelin et Laetitia Casta jouent très bien. Maintenant je n'ai qu'une envie : aller dans la Drôme voir ce palais ! Dommage que cela soit si loin...
On devrait faire un convoi groupé..ça me rappelle qu on n est jamais allées à Vienne !
Je vous conseille de joindre votre visite au Facteur-Cheval au Festival "Jazz à Vienne". Les concerts dans les arènes y sont de qualité exceptionnelle... Et l'ambiance de la ville est à la fête. C'est en juin, je crois.
Tiens, ça me donne envie d'y retourner !!!
Magnifique ! Jacques Gambelin et Laetitia Casta jouent très bien. Maintenant je n'ai qu'une envie : aller dans la Drôme voir ce palais ! Dommage que cela soit si loin...
On devrait faire un convoi groupé..ça me rappelle qu on n est jamais allées à Vienne !
Je vous conseille de joindre votre visite au Facteur-Cheval au Festival "Jazz à Vienne". Les concerts dans les arènes y sont de qualité exceptionnelle... Et l'ambiance de la ville est à la fête. C'est en juin, je crois.
Tiens, ça me donne envie d'y retourner !!!
Sauf que c'est Vienne en Autriche, où nous aimerions aller....
Merci pour l'information Croquignolle !
ça me rappelle qu on n est jamais allées à Vienne !
Je vous conseille de joindre votre visite au Facteur-Cheval au Festival "Jazz à Vienne". Les concerts dans les arènes y sont de qualité exceptionnelle... Et l'ambiance de la ville est à la fête. C'est en juin, je crois.
Tiens, ça me donne envie d'y retourner !!!
Sauf que c'est Vienne en Autriche, où nous aimerions aller....
Merci pour l'information Croquignolle !
Vienne la nuit, sonne l'heure
Les jours s'en vont, je demeure.
(Apollinaire)
un documentaire sur Eric Clapton. Sans fard. On y parle de son rejet par sa mère, ses addictions ( drogue, alcool), de la mort de son fils... Quelques séquences un peu longuettes, notamment celles montrant les séances d'enregistrement ou son amour obsessionnel pour la femme de George Harrison , mais l'ensemble est passionnant. J'ai appris plein de choses que j'ignorais, notamment qu'il avait joué avec les Beatles .
Gentillet, mais pas désopilant. Le message du film, résumé au milieu en une phrase par Chantal Lauby qui joue la mère de famille, sonne comme un message en ces temps de gilets jaunes : "Comme le dit l'écrivain Sylvain Tesson, La France est un paradis peuplé de gens qui se croient en enfer."
https://twitter.com/---/862923566454648832
https://twitter.com/---/862923566454648832
Gentillet, mais pas désopilant. Le message du film, résumé au milieu en une phrase par Chantal Lauby qui joue la mère de famille, sonne comme un message en ces temps de gilets jaunes : "Comme le dit l'écrivain Sylvain Tesson, La France est un paradis peuplé de gens qui se croient en enfer."
https://twitter.com/---/862923566454648832
Oui je suis d'accord ! C'est bien mais j'ai préféré le premier.
Gentillet, mais pas désopilant. Le message du film, résumé au milieu en une phrase par Chantal Lauby qui joue la mère de famille, sonne comme un message en ces temps de gilets jaunes : "Comme le dit l'écrivain Sylvain Tesson, La France est un paradis peuplé de gens qui se croient en enfer."
https://twitter.com/---/862923566454648832
Oui je suis d'accord ! C'est bien mais j'ai préféré le premier.
J'en sors et je suis d'accord aussi. Je n'en n'attendais pas plus que de passer un bon moment.
Version française d'un film suédois de 1989 (Undergångens arkitektur).
Présentation du programme :
Ce documentaire expose avec beaucoup de force et une rare intelligence les conceptions esthétiques du nazisme en s'appuyant sur des documents d'archives souvent peu connus. La vision haineuse et morbide d'Hitler et de ses acolytes est ainsi démontrée. Ce film est indispensable pour dénoncer la barbarie nazie mais aussi rester vigilant et pouvoir lutter contre toutes les tentatives fondées sur la haine raciste et la démagogie discriminatoire de ressusciter un néonazisme réactualisé. À voir absolument.
Commentaire : un éclairage original, mais qui ne suffit nullement pour comprendre (partant, pour lutter efficacement contre) la montée d'une idéologie mortifère. Il s'agit donc d'un plus qui doit s'ajouter à une analyse de fond.
La prononciation des noms allemands par Jeanne Moreau (la voix féminine dans la version française) est malheureusement problématique.
Présentation du programme :
Ce documentaire expose avec beaucoup de force et une rare intelligence les conceptions esthétiques du nazisme en s'appuyant sur des documents d'archives souvent peu connus. La vision haineuse et morbide d'Hitler et de ses acolytes est ainsi démontrée. Ce film est indispensable pour dénoncer la barbarie nazie mais aussi rester vigilant et pouvoir lutter contre toutes les tentatives fondées sur la haine raciste et la démagogie discriminatoire de ressusciter un néonazisme réactualisé. À voir absolument.
Commentaire : un éclairage original, mais qui ne suffit nullement pour comprendre (partant, pour lutter efficacement contre) la montée d'une idéologie mortifère. Il s'agit donc d'un plus qui doit s'ajouter à une analyse de fond.
La prononciation des noms allemands par Jeanne Moreau (la voix féminine dans la version française) est malheureusement problématique.
Sur l'affaire Viguier -un professeur de droit de Toulouse accusé du meurtre de sa femme Suzanne, et acquitté en premier instance, en l'absence de corps, de preuves, d'aveux.
C'est le premier film d'un jeune réalisateur, Antoine Raimbault, et il se tient.
Marina Foïs y campe un personnage inventé, qui interpelle puis recrute un ténor du barreau pour la défense au deuxième procès (le parquet avait fait appel) : Dupont-Moretti, magistralement incarné par Olivier Gourmet, décidément un acteur puissant (Coquelin/Cyrano dans le récent "Edmond").
https://youtu.be/BBEcRlDn1Co
C'est le premier film d'un jeune réalisateur, Antoine Raimbault, et il se tient.
Marina Foïs y campe un personnage inventé, qui interpelle puis recrute un ténor du barreau pour la défense au deuxième procès (le parquet avait fait appel) : Dupont-Moretti, magistralement incarné par Olivier Gourmet, décidément un acteur puissant (Coquelin/Cyrano dans le récent "Edmond").
https://youtu.be/BBEcRlDn1Co
Une curiosité projetée dans le cadre du festival Extrême Cinéma à la Cinémathèque de Toulouse, où Al Pacino exorcise avec des difficultés croissantes les pulsions qui montent sans merci dans ce thriller gay SM new-yorkais, dernier arrêt avant les années sida et chaînon manquant entre "Psychose" et "L'inconnu du lac" !
Présentation du programme :
Dans la Pologne d'après-guerre, le célèbre peintre Władysław Strzemiński, figure majeure de l'avant-garde, enseigne à l'École Nationale des Beaux-Arts de Łódź. Il est considéré par ses étudiants comme le grand maître de la peinture moderne mais les autorités communistes ne partagent pas cet avis. Car, contrairement aux autres artistes, Strzemiński ne veut pas se conformer aux exigences du Parti et notamment à l'esthétique du "réalisme socialiste". Expulsé de l'université, rayé du syndicat des artistes, il subit, malgré le soutien de ses étudiants, l'acharnement des autorités qui veulent le faire disparaître et détruire toutes ses oeuvres.
Commentaire :
Un film très réussi. Les années 1950-1952 (celles dépeintes dans le film) figurent parmi les plus noires du stalinisme en Pologne.
Pour en savoir plus :
https://www.avoir-alire.com/les-fleurs-bleues-afterimage-la-critique-du-film
Dans la Pologne d'après-guerre, le célèbre peintre Władysław Strzemiński, figure majeure de l'avant-garde, enseigne à l'École Nationale des Beaux-Arts de Łódź. Il est considéré par ses étudiants comme le grand maître de la peinture moderne mais les autorités communistes ne partagent pas cet avis. Car, contrairement aux autres artistes, Strzemiński ne veut pas se conformer aux exigences du Parti et notamment à l'esthétique du "réalisme socialiste". Expulsé de l'université, rayé du syndicat des artistes, il subit, malgré le soutien de ses étudiants, l'acharnement des autorités qui veulent le faire disparaître et détruire toutes ses oeuvres.
Commentaire :
Un film très réussi. Les années 1950-1952 (celles dépeintes dans le film) figurent parmi les plus noires du stalinisme en Pologne.
Pour en savoir plus :
https://www.avoir-alire.com/les-fleurs-bleues-afterimage-la-critique-du-film
Présentation du programme :
Un journaliste new-yorkais reçoit chaque jour de façon inexplicable le journal du lendemain. Il profite de la situation et coiffe sur le poteau des scoops de tous ses confrères. Jusqu'au jour où il découvre son nom dans la rubrique nécrologique.
Commentaire :
Vous êtes certainement nombreuses et nombreux à avoir vu ce vieux film en noir et blanc sorti en 1944. Mais mieux vaut tard que jamais, et avec cette sortie cinéma, j'ai passé un après-midi très agréable.
Un journaliste new-yorkais reçoit chaque jour de façon inexplicable le journal du lendemain. Il profite de la situation et coiffe sur le poteau des scoops de tous ses confrères. Jusqu'au jour où il découvre son nom dans la rubrique nécrologique.
Commentaire :
Vous êtes certainement nombreuses et nombreux à avoir vu ce vieux film en noir et blanc sorti en 1944. Mais mieux vaut tard que jamais, et avec cette sortie cinéma, j'ai passé un après-midi très agréable.
Pas top : suite du premier ou l'héroïne etudiante, rejoue toujours sa journée d'anniversaire et se fait tuer à la fin par un prisonnier qui s' est échappé de l'hôpital. Dans le 2, rebelote, avec une histoire de faille temporaire qui fait que sa mère, décédée quand elle avait 12 ans est bien réelle dans cette dimension.
Ou le biopic de Dick Cheney, vice-président des États-Unis de 2000 à 2008.
Époustouflant. Par la performance de l'acteur principal, Christian Bale, totalement habité par le personnage -l'allure, la démarche, le regard, les intonations, tout (un Oscar, vite !!)-, comme par la mise en scène et la réalisation, débordantes d'inventivité et d'habileté. Neuf plans sur dix sont somptueux de finesse, et le propos est parfaitement maîtrisé. Une leçon de cinéma.
https://youtu.be/TKUjiqqPkjU
Époustouflant. Par la performance de l'acteur principal, Christian Bale, totalement habité par le personnage -l'allure, la démarche, le regard, les intonations, tout (un Oscar, vite !!)-, comme par la mise en scène et la réalisation, débordantes d'inventivité et d'habileté. Neuf plans sur dix sont somptueux de finesse, et le propos est parfaitement maîtrisé. Une leçon de cinéma.
https://youtu.be/TKUjiqqPkjU