Soufi mon amour

by Elif Shafak | Religion & Spirituality |
ISBN: 2264054069 Global Overview for this book
Registered by rainetterieuse of Plancoët, Bretagne France on 4/11/2011
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Journal Entry 1 by rainetterieuse from Plancoët, Bretagne France on Monday, January 9, 2012
"Après quarante ans d'une vie confortable, Ella n'imaginait pas un jour changer sa destinée. Engagée comme lectrice, elle découvre un manuscrit retraçant la rencontre au XIIè siècle du poète Rûmi avec le plus célèbre derviche du monde musulman. C'est la révélation. transcendée par cette histoire, elle s'initie au soufisme et à la splendeur de l'amour......"
Isabelle Vramian

un livre coup de coeur, ce roman de la rencontre du poëte Rumi avec le derviche errant Shams de Tabriz, je l'ai littéralement dévoré..... une belle découverte

Journal Entry 2 by rainetterieuse at Larissa / Λάρισα, Larisa Greece on Sunday, January 13, 2013

Released 11 yrs ago (1/14/2013 UTC) at Larissa / Λάρισα, Larisa Greece

CONTROLLED RELEASE NOTES:

Livre souhaité par Glaros !
J'espère que tu ne seras pas déçue. Bonne lecture !

Participants au ring :
1. Glaros
2. Katalobonga
3. Hamnessa
4. jemlire
5 . Neige78
6 .retour chez rainetterieuse



Journal Entry 3 by GLAROS at Larissa / Λάρισα, Larisa Greece on Monday, January 21, 2013
Le facteur me l'a apporte ce matin avec le beau marque-page .
Merci Rainetterieuse d'avoir satisfait mon desir :-)
J'avais une grande envie et curiosite de le lire !

Journal Entry 4 by GLAROS at Larissa / Λάρισα, Larisa Greece on Wednesday, May 29, 2013
Ella atteint la quarantaine lorsqu’un événement apparemment anodin va radicalement bouleverser le lac sans ride de sa vie. On peut dire de la vie d’Ella qu’elle est une véritable vitrine où l’on peut admirer la vie de la parfaite épouse et mère au foyer : Aisance matérielle, famille unie, stabilité conjugale, considération sociale, rien ne manque au tableau de l’existence d’Ella. Rien, si ce n’est ce qui donne à tout cela sens et valeur : l’amour. Car cette vie, Ella ne la vit pas, elle la regarde, elle aussi, de l’extérieur. Ce qui lui permettra de briser la vitre qui la tient à distance de sa vie lui advient par l’entremise d’une proposition de travail en tant que lectrice pour une agence littéraire de Boston. Son premier contrat consiste à fournir un rapport détaillé à propos d’un livre écrit par un romancier inconnu dont le sujet touche la figure historique du très grand poète persan Djelal Al-dîn Rûmi et de l’amour sans égal qui le lia à Shams de Tabriz. A la lecture de ce roman Ella apprendra l’amour, et mieux encore, le rencontrera « en chair et en os ». Mais cette métamorphose, cette naissance à l’amour, comme toute naissance digne de ce nom, ne doit-elle pas payer son tribut de douleur ?

Que l’amour métamorphose notre existence en faisant éclore, de la chrysalide que nous sommes, le papillon que nous avons à être, telle est la leçon que Elif Shafak, l’auteure de « Soufi, mon amour », veut nous faire partager à travers l’expérience de son héroïne Ella qui, au beau milieu de son chemin de vie, trouvera le moyen de recentrer son existence en ordonnant désormais la boussole de son cœur à l’orient magnétique de l’amour. « Rien de nouveau sous le soleil » nous dira-t-on ! La singularité de ce roman tient d’une part à sa construction, dans la mesure où l’histoire réelle ne nous apparaît que sous la figure du roman alors que ce qui est romancé nous est donné comme réel, par où l’on voit que l’amour brouille les frontières entre le rêve et la réalité en donnant à l’un le visage de l’autre, et d’autre part à son message fondamental, à savoir la redéfinition de l’amour dispensée par le soufisme.
On le sait depuis Platon, les livres n’ont pas de destinataire déterminé. Il arrive pourtant que des livres vous choisissent et que leurs lettres vous soient envoyées en plein cœur comme les flèches du carquois de Cupidon. C’est ce qui arriva à Ella, l’héroïne du roman de « Soufi, mon amour », qui, en lisant ce roman dans le roman que constitue « Doux blasphème », s’est sentie visée. Elif Shafak démontre ainsi que seul l’amour peut percer à la fois le tunnel de la fiction, de l’espace et du temps pour ressortir intact à l’autre bout de l’histoire où patiente notre âme. Notre existence, à l’instar de celle d’Ella, stationne jusqu’à ce que l’emporte le courant de l’amour. Car « l’amour est l’eau de la vie ».

Par delà l’astucieuse présentation du soufisme à travers les quarante règles de sagesse égrenées au fil du roman « doux blasphème », ce roman dans le roman, loin d’être un enfoncement dans les replis sans fin de la fiction, narre l’histoire réelle de l’amour de Djelal Al-dîn Rûmi pour Shams de Tabriz et montre à quel point l’amour, se jouant des époques et des codes, n’a ni âge ni raison. Mais pourquoi l’emboîtement d’un roman dans un roman ? Tout se passe comme si la présentation et la contemplation de l’amour requerrait le voile doublé de la fiction. Comme si, plus exactement, l’histoire authentique ne se révélait à nous, lecteurs réels, qu’après avoir traversé l’univers fantasmatique du récit romanesque. La raison de tout cela, est que l’amour est la plus grande force qui soit dans l’univers et, de même qu’il est nécessaire pour pouvoir contempler le soleil de ne le voir qu’indirectement à la faveur de son reflet dans l’eau, il convient, pour contempler l’amour, de l’admirer à la faveur de son reflet dans l’eau lustrale de la légende. Car l’amour c’est aussi le feu. Et si « l’amour est l’eau de la vie », « un être aimé est une âme de feu ». C’est pourquoi seul celui qui aime, c’est-à-dire qui ne se contente pas de contempler l’amour mais le vit, peut accomplir le miracle qui fait « différemment tourner l’univers » lorsque « le feu aime l’eau ». Elif Shafak signe là un très beau roman qui nous rappelle que l’amour exige un intermédiaire, un mortel, et que l’idéalisation de l’aimé, ce doux blasphème, est le signe de l’infinie bonté divine en même temps que de notre finitude.

Hervé Bonnet.

Grand merci Rainetterieuse pour ce plaisir immense que ton livre m'a apporte !!!!!
Je ne voulais pas le terminer , je lisais et relisais certaines pages ...... mais il est temps de l'envoyer a Katalobonga !!!!!
C'est le troisieme livre d'Elif Shafak que je lis , je l'admire vraiment beaucoup :-)

Journal Entry 5 by GLAROS at La Garenne-Colombes, Ile-de-France France on Wednesday, June 5, 2013

Released 10 yrs ago (6/3/2013 UTC) at La Garenne-Colombes, Ile-de-France France

CONTROLLED RELEASE NOTES:

Envoye par la Poste a Katalobonga avec mes amities !

Journal Entry 6 by katalobonga at La Garenne-Colombes, Ile-de-France France on Friday, June 7, 2013
Bien reçu, avec :
- de beaux timbres postes qui rejoindront ma collection
- un beau sac plastique plein de petits coeurs de toutes les couleurs pour protéger le livre
- un jolie carte postale et un mot gentil
- un "gard'ta page" écrit en grèc
Merci

Journal Entry 7 by katalobonga at Bookring, -- By post or by hand/ in person -- France on Thursday, June 20, 2013

Released 10 yrs ago (6/20/2013 UTC) at Bookring, -- By post or by hand/ in person -- France

CONTROLLED RELEASE NOTES:

J'ai eu du mal à accrocher ; mais peut être est ce parce que je commence sérieusement à avoir besoin de vacances !

Le paquet est parti abimé par le postier qui a voulu me rendre service et qui a abimé l'enveloppe. Bon, il connaissait le principe du bookcrossing et ira jeter un oeil sur le site, car, lorsqu'il habitait Paname, il avait vu des gens faire des échanges de livres sur les reborts des fenêtres.

Bonne lecture !

Journal Entry 8 by hamnessa at Montluçon, Auvergne France on Saturday, June 22, 2013
Bien reçu merci beaucoup ^^

Journal Entry 9 by wingjemlirewing at Pau, Aquitaine France on Friday, April 11, 2014
Bien reçu ce ring que j'avais oublié. Je me réjouis de le lire.

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