Frère Cadfael 5/21
Série policière au moyen-age, autour d'une abbaye bénédictine.

Les lépreux ont fort peu de distractions. Alors quand toute une troupe de noble passe sur la route devant la maladrerie pour célébrer un mariage, ils assistent au spectacle.

L'un d'eux, nouveau venu, a toutefois l'air étrange.

Récupéré en mains propres de la part de NoxIn.

Fidèle au poste, Frère Cadfael se retrouve une fois de plus à enquêter sur un crime dont le coupable n’est pas aussi évident que la plupart des protagonistes semblent le penser. Ellis Peters sait diffuser subtilement l’ensemble des indices qui permettront au lecteur de diriger se soupçon dans la bonne direction à condition d’y être très attentif. Car si les éléments ont été révélés, l’écriture est suffisamment fluide et élégante pour ne pas y voir objet/événement amené dans le but évident de l’utiliser plus tard dans l’histoire (il y a un terme pour ça mais je l’ai oublié). J’admets avoir été surpris par une partie du dénouement et avoir été déçu par le comportement, à titre personnel, de l’un des personnages (mais il est certain que si tous les personnages de fiction pensaient à ma manière, les romans seraient nettement moins captivants ^__^).

Synopsis : « Tout comme Umberto Eco a su recréer l’univers d’un monastère de bénédictins dans l’Italie du Nord au milieu du XIV^e siècle, Ellis Petters peint à merveille, dans la série des aventures du frère Cadfael, la vie l’un monastère anglais deux siècle plus tôt.
Après avoir lu ces romans, on a le sentiment de tout savoir sur la religion, l’histoire, la structure sociale, la politique et les modes de vie de l’Angleterre du XII^e siècle. Et pour l’habileté des intrigues, seule P. D. James, à mon avis, rivalise avec elle. »

The Armchair Detective