Nouvelles traduites du vietnamien par Le Van Lap et Georges Boudarel.

Quatrième de couverture :
" Il jurait tout en marchant. C'était toujours la même chose: chaque fois qu'il avait bu, il se mettait à jurer. Il s'en prit d'abord au ciel. Qu'il le fasse! Le ciel n'appartient à personne. Il s'en prit alors à la vie. La chose ne tirait pas non plus à conséquence. La vie, c'est tout le monde et ce n'est personne en particulier. " Chi Phèo, paria casse-cou, orphelin et misérable, se débat dans une société totalement hiérarchisée et trouvera sa force dans le rejet pur et simple de ses voisins, paysans et notables de son village. Il tombe amoureux par hasard, dessaoule le temps d'une journée, mais le bonheur n'est vraiment pas fait pour lui... Textes du quotidien où se mêlent histoires de moisson, d'argent, d'amour et de guerre; tels sont les thèmes qui forgent ce Viêt-nam, si pauvre dans sa vie et si fort de son humour comme de son courage. Textes de passion qui donnent un formidable appétit de vivre!

Nam Cao (1917-1957) débute comme écrivain en 1940, au début d'une guerre qui, pour les Vietnamiens, ne s'achèvera que trente ans après. Longtemps interdit de publication, Nam Cao a aujourd'hui rejoint les auteurs classiques de son pays.

Quelques nouvelles en milieu rural, auprès de pauvres hères ou "lettrés" qui tirent le diable par la queue. Quelques autres au ton différent, sur la guerre (notamment un carnet de route).

Petit livre accompagnant un livre-surprise...

Merci, ma pile n'est pas si importante. Et puis j'adore avoir une haute PAL.

j'ai beaucoup aimé ces nouvelles, comme j'ai aimé les romans de Dương Thu Hương qui ont été ecrits plus tard. mais on y retrouve la même ambiance. Une bonne description de la vie sociale faite avec beaocoup d'humour.

WILD RELEASE NOTES:

Bonne lecture