Les magiciens de Badagor
by Abdoulaye Elimane Kane | Literature & Fiction | This book has not been rated.
ISBN: 2907888919 Global Overview for this book
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Ma "parenthèse sénégalaise" se concrétisera t-elle ?
C'est tout ce que je souhaite pour le moment...
n°5 :
M'étant vu tout récemment proposer de travailler quelques temps à Dakar, j'enregistre quelques livres d'auteurs sénégalais, que j'espère découvrir et savourer, ici ou là-bas.
Je m'aperçois que les auteurs africains sont très peu lus (si tant est que le BookCrossing soit représentatif de l'ensemble des lecteurs, ce qui n'est certainement pas encore le cas).
Sur ce site, à l'heure actuelle, les rares livres enregistrés le sont le plus souvent dans leur version anglaise, allemande ou hollandaise... Cela donne à réfléchir. Y aurait-il un "tabou" africain ? Ou est-ce encore l'ère coloniale qui nous poursuit ? Ou ne sommes-nous tout simplement pas suffisamment ouverts ?
N'ayant moi-même qu'une connaissance extrêmement réduite de cette littérature (à travers L'enfant noir, de Camara Laye, qui n'est pas vraiment contemporain, Allah n'est pas obligé d'Ahmadou Kourouma, ainsi que trois autres livres écrits par des Blancs : Madame Bâ (Orsenna), The n°1 Detective agency (Alexander McCall Smith) et Un dimanche à la piscine à Kigali de Gil Courtemanche), je vous laisse vous faire votre propre opinion...
* * * Par un professeur de philosophie à l'Université de Dakar, aussi auteur de contes pour enfants. Un second roman qui mêle l'Afrique des traditions, des ethnies et des magiciens, à celle du modernisme (l'ordinateur) et dont le héros devient amnésique. -- Services Documentaires Multimédia
C'est tout ce que je souhaite pour le moment...
n°5 :
M'étant vu tout récemment proposer de travailler quelques temps à Dakar, j'enregistre quelques livres d'auteurs sénégalais, que j'espère découvrir et savourer, ici ou là-bas.
Je m'aperçois que les auteurs africains sont très peu lus (si tant est que le BookCrossing soit représentatif de l'ensemble des lecteurs, ce qui n'est certainement pas encore le cas).
Sur ce site, à l'heure actuelle, les rares livres enregistrés le sont le plus souvent dans leur version anglaise, allemande ou hollandaise... Cela donne à réfléchir. Y aurait-il un "tabou" africain ? Ou est-ce encore l'ère coloniale qui nous poursuit ? Ou ne sommes-nous tout simplement pas suffisamment ouverts ?
N'ayant moi-même qu'une connaissance extrêmement réduite de cette littérature (à travers L'enfant noir, de Camara Laye, qui n'est pas vraiment contemporain, Allah n'est pas obligé d'Ahmadou Kourouma, ainsi que trois autres livres écrits par des Blancs : Madame Bâ (Orsenna), The n°1 Detective agency (Alexander McCall Smith) et Un dimanche à la piscine à Kigali de Gil Courtemanche), je vous laisse vous faire votre propre opinion...
Un drôle de livre, où l'ordinateur est dépeint de manière un peu fantastique.
Je ne sais pas trop quoi en penser.
Ce qui est amusant ou étonnant - pour moi - c'est 1/ que j'arrive à une étape de ma vie où justement l'ordinateur (Internet) bouffe mon existence - et 2/ que je vais peut-être cotoyer des architectes sénégalais dans les prochaines semaines...
Je ne sais pas trop quoi en penser.
Ce qui est amusant ou étonnant - pour moi - c'est 1/ que j'arrive à une étape de ma vie où justement l'ordinateur (Internet) bouffe mon existence - et 2/ que je vais peut-être cotoyer des architectes sénégalais dans les prochaines semaines...
Récupéré au meet-up du 12 décembre 2006
Je dois avouer que ce roman ne m'a pas enchanté.
Je le ramène au prochain meet-up du 9 janvier 2007, espérons qu'il trouvera un lecteur plus enthousiaste et plus loquace que moi.
Je dois avouer que ce roman ne m'a pas enchanté.
Je le ramène au prochain meet-up du 9 janvier 2007, espérons qu'il trouvera un lecteur plus enthousiaste et plus loquace que moi.
Récupéré au meet-up hier soir. Merci e-marmotte et manon-nanie !
