@ La ceinture
6 journalers for this copy...
"Nous sommes, à ma connaissance, la seule tribu qui descende du ciel. Nous vivons dans une région montagneuse, et le ciel fait partie des montagnes. Chez nous, la pluie ne tombe pas, elle monte."
Un petit livre plein de poésie, de sagesse, d'humour et de personnages haut en couleur.
Un petit livre plein de poésie, de sagesse, d'humour et de personnages haut en couleur.
Ring
* Romi59 (Valenciennes)
* Magmot (Paris)
* m-a-x (Languedoc-Roussillon)
* jazzsamba (Midi-Pyrénées)
* -TheDude- (Alsace) ici!
* Romi59 (Valenciennes)
* Magmot (Paris)
* m-a-x (Languedoc-Roussillon)
* jazzsamba (Midi-Pyrénées)
* -TheDude- (Alsace) ici!
Bien reçu ^^ Merci eilime :)
Me reste 3 petits chapitres du "Guide galactique" et je commence cet après-midi celui-là ^^
Me reste 3 petits chapitres du "Guide galactique" et je commence cet après-midi celui-là ^^
J'ai beaucoup aimé ce livre : une plume empreinte de poésie, beaucoup de couleurs et de parfums au fil des pages...
Merci eilime pour ce ring ^^
Je le renvoie dès que j'ai l'adresse de Magmot... (je devrais envoyer un MP dès que je reçois le livre, je lis trooooop vite :p)
EDIT 28/07 16h30 : c'est envoyé, c'est parti ^^
Merci eilime pour ce ring ^^
Je le renvoie dès que j'ai l'adresse de Magmot... (je devrais envoyer un MP dès que je reçois le livre, je lis trooooop vite :p)
EDIT 28/07 16h30 : c'est envoyé, c'est parti ^^
Bien reçu à domicile, avec une jolie carte florentine en prime...
Merci Romi59!
Merci Romi59!
L'histoire se passe en Arabie saoudite. Non non, pas celle des hommes d'affaire du pétrole façon "Tintin au pays de l'or noir" mais celle des villages qui commencent tout juste à être touchés par la "civilisation" et qui vivent autour de la culture de la terre et des traditions, comme dans un rêve.
Le livre est touchant parce qu'on sent tout ce que son auteur, exilé à Paris, a voulu faire passer sur son enfance et son village. Il manque néanmoins un petit qq chose pour que le livre s'envole vraiment, la poésie s'arrête trop tôt.
Et hop, il reprend son chemin vers d'autres cieux
Le livre est touchant parce qu'on sent tout ce que son auteur, exilé à Paris, a voulu faire passer sur son enfance et son village. Il manque néanmoins un petit qq chose pour que le livre s'envole vraiment, la poésie s'arrête trop tôt.
Et hop, il reprend son chemin vers d'autres cieux
Bien reçu aujourd'hui... Merci eilime pour le ring et merci Magmot pour le jolie carte "vaches", j'adôôôre !
Edit du 07/11/2006 :
Dans ce premier roman, autobiographique, Ahmed Abodehman décrit le tiraillement entre la tradition et l’attachement à ses racines et son intégration à d’autres cultures. Mais surtout l’auteur-poète nous livre un long et émouvant poème d’amour au monde qui l'a construit, celui de son village natal où les enfants naissent imprégnés de musique et de poésie. Il nous livre ce témoignage dans une langue où se mêle la fantaisie et les rêveries de l'enfance, une langue toute empreinte de fraîcheur, de tendresse et d'humour qui restitue la lente prise de conscience du narrateur de son identité et de sa personnalité dans un monde aux traditions millénaires qui se trouve confronté à l’irruption de la modernité par la construction, sur ordre du gouvernement, d'une école primaire. Face à ce défi lancé à sa tribu et plus largement au monde arabe, Ahmed Abodehman restitue la dimension poétique, culturelle et identitaire de son pays.
«Mais je suis là, parmi vous, à Paris, à l’aube de l’an 2000 ! Qu’elle aventure pour moi qui ne connais pas même ma date de naissance ! Sans doute ne me voyez-vous pas, car je m’efforce d’être comme vous, gris, indifférent, pourtant je porte en moi mon village comme un feu inépuisable.»
Un joli récit auquel, toutefois, je trouve, comme Magmot, qu'il manque un petit quelque chose difficile à définir pour qu’il prenne réellement son envol... - le cri du lézard -
Edit du 07/11/2006 :
Dans ce premier roman, autobiographique, Ahmed Abodehman décrit le tiraillement entre la tradition et l’attachement à ses racines et son intégration à d’autres cultures. Mais surtout l’auteur-poète nous livre un long et émouvant poème d’amour au monde qui l'a construit, celui de son village natal où les enfants naissent imprégnés de musique et de poésie. Il nous livre ce témoignage dans une langue où se mêle la fantaisie et les rêveries de l'enfance, une langue toute empreinte de fraîcheur, de tendresse et d'humour qui restitue la lente prise de conscience du narrateur de son identité et de sa personnalité dans un monde aux traditions millénaires qui se trouve confronté à l’irruption de la modernité par la construction, sur ordre du gouvernement, d'une école primaire. Face à ce défi lancé à sa tribu et plus largement au monde arabe, Ahmed Abodehman restitue la dimension poétique, culturelle et identitaire de son pays.
«Mais je suis là, parmi vous, à Paris, à l’aube de l’an 2000 ! Qu’elle aventure pour moi qui ne connais pas même ma date de naissance ! Sans doute ne me voyez-vous pas, car je m’efforce d’être comme vous, gris, indifférent, pourtant je porte en moi mon village comme un feu inépuisable.»
Un joli récit auquel, toutefois, je trouve, comme Magmot, qu'il manque un petit quelque chose difficile à définir pour qu’il prenne réellement son envol... - le cri du lézard -
Ce récit plein de poésie et d'humanité autour de gens simples dans un petit village est une belle approche de la culture arabe.
Je reste sur ma fin toutefois, même j'ai pris beaucoup de plaisir à sa lecture.
Je l'envoie à TheDude dès que j'ai son adresse.
Je reste sur ma fin toutefois, même j'ai pris beaucoup de plaisir à sa lecture.
Je l'envoie à TheDude dès que j'ai son adresse.
Reçu aujourd'hui par la poste!
Merci Jazz pour le petit cadeau, c'est sympa!! et merci Eilime pour le ring!
Merci Jazz pour le petit cadeau, c'est sympa!! et merci Eilime pour le ring!