Magnifique ! Surtout, laissez vous emporter sur les rivages du Nil ...

Tombé dans mon sac au meet-up de janvier, je sais plus comment?(Avec toutes ces galettes!)Et...oublié sur son étagère depuis!Mais bien à côté du premier tome 1!Je les lirai où les relâcherai ensemble!
Joint au relais d'été, pour M-H...parce qu'en Egypte, il fait chaud!

Un livre ensoleillé pour le Relais d'été ... Merci cassiopée (eh, ça rime !)

J'ai toujours un doute quand il s'agit de romans historiques.
Ici, ce doute a été balayé dès les premiers chapitres : certes Sinouhé a une conscience assez contemporaine, mais il reste crédible compte-tenu du fond sur lequel se déroule l'histoire (trop souvent, je trouve, les héros de romans historiques ont des réactions typiquement modernes que je trouve complètement anachroniques et ridicules quand il s'agit, par exemple, du Moyen-Âge ou de l'Antiquité).
Quant à l'histoire, il suffit de dire que je ne l'ai plus lâché après avoir commencé, et que j'ai engouffré les deux tomes en deux jours. Je n'avais jamais lu de description aussi vivante de l'Egypte antique et de cette période si particulière qu'est le règne d'Akhenaton.

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Je l'apporterai, avec son jumeau, au prochain meet-up toulousain.

je repasse par ici sur la pointe des pieds pour vous dire que je suis très contente d'avoir des nouvelles des jumeaux !!! Merci à tous de ne JAAAAAAAAAMAIS les séparer ! ;-)

... Sauf que personne n'en a voulu au meet-up, donc il est toujours disponible. Promis je ne les sépare pas !

Envoyé à DonaJuana !

Bien reçu ! Je suis toute ravie, ils sont beaux non pas à croquer, mais à dévorer. Merci à mirajeu de les avoir enregistrés et à Mostly-Harmless de les avoir proposés. Je lirai et ferai suivre dès que possible.

Voilà, il ne fallait pas désespérer, j'ai fini par lire les deux tomes, avant de leur trouver d'autres lecteurs. ;o)

Un deuxième tome plus sombre que le premier : Sinouhé voit s'écrouler le règne du pharaon Akhénaton dont il n'a jamais pu totalement penser que la théologie était hérétique. Sur Thèbes s'abattent les ambitions, la corruption, la violence. Les peintures de la guerre, civile et extérieure, sont tellement sanguinolentes que j'ai parfois pu me croire à nouveau dans Doron le Calvite, le burlesque en moins ! ;) Ces peintures frôlent souvent la complaisance, dans leur répétition, et c'est paradoxalement l'origine des quelques longueurs à déplorer.
J'ai souvent été captivée par le récit, parfois émue. Bien entendu, je suis allée vérifier souvent certaines choses qui me surprenaient et que j'ignorais.