Hôtel Iris [Bookring]
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Le style inimitable de Yôko Ogawa: évanescent, toujours entre rêve et réalité.
Le sujet traduit à mes yeux merveilleusement bien la conception japonaise de l'amour, qui se différencie radicalement de la concetption judéo-chrétienne. Cet amour extrème (frôlant la pédophilie), cruel et macabre fascine et effraie à la fois.
Ce roman est un de mes favoris de l'auteur (avec L'Annulaire).
BOOKRING:
TofLaBeuze
Darwinara
Secotyne
Dooimy
Le sujet traduit à mes yeux merveilleusement bien la conception japonaise de l'amour, qui se différencie radicalement de la concetption judéo-chrétienne. Cet amour extrème (frôlant la pédophilie), cruel et macabre fascine et effraie à la fois.
Ce roman est un de mes favoris de l'auteur (avec L'Annulaire).
BOOKRING:
TofLaBeuze
Darwinara
Secotyne
Dooimy
Je le dépose au PC ce soir à 19h pour Tof!
Ca y est, enfin récupéré cet "hotel Ibis"... Iris... j'ai éclaté de rire en lisant ton petit mot "garanti 100% sans hermaphrodite" ! Merci Goth-Soph :-)
Je l'ai dévoré de début jusqu'à la fin, et effectivement, comme tu me l'avais promis, Gothvamp, pas trace du moindre hermaphrodite... quoique, je soupçonne quand même la mère de Mari ;-)
J'ai bien aimé l'histoire, mais surtout apprécié le style d'écriture, très détaillé mais léger, pour bien nous installer dans l'atmosphère de chaque lieu. A part cela, je pense que Mari voir l'image de son père dans l'autorité du traducteur, mais lui, pourquoi lui inflige t-il ça ? ça ne me parait pas une façon d'expier ?
J'ai bien aimé l'histoire, mais surtout apprécié le style d'écriture, très détaillé mais léger, pour bien nous installer dans l'atmosphère de chaque lieu. A part cela, je pense que Mari voir l'image de son père dans l'autorité du traducteur, mais lui, pourquoi lui inflige t-il ça ? ça ne me parait pas une façon d'expier ?
Donné à Tit-Vinz au meetup de février pour Darwi.
Bon bon bon, peut-etre que ce n'est pas une lecture qui colle avec la méteo du moment ou ma météo d'humeur actuelle, parce que je n'ai pas vraiment accroché à l'histoire de la petite Mari. Tous les personnages m'ont semblé caricaturaux, et les rapports entre les protagonistes pas toujours crédibles...
L'ecriture est agréable, mais le livre est trop court pour qu'on puisse s'y immerger.
Je suis un peu déçue.
L'ecriture est agréable, mais le livre est trop court pour qu'on puisse s'y immerger.
Je suis un peu déçue.
Pas pu poser le livre avant la fin. L'ambiguïté de la relation, qui ne devient sadique que liée au sexe, sadisme justifié par la petite Mari qui pense que son insignifiance mérite ce traitement, était bien développée. C'est vrai que le poids de l'image japonaise de l'individu qui doit s'effacer face à l'autre et face à la collectivité transparaît dans tout l'ouvrage.
Un regret, peut-être du à la traduction (?), quant au style de l'écriture qui m'a empêché de rentrer totalement dans l'histoire.
Merci Gothvamp pour le ring, je contacte Dooimy dès que possible.
Un regret, peut-être du à la traduction (?), quant au style de l'écriture qui m'a empêché de rentrer totalement dans l'histoire.
Merci Gothvamp pour le ring, je contacte Dooimy dès que possible.
Bien reçu! Premier ring qui rentre au bercail!