Le baraquement américain
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"La revue de presse de Radio France
Il s'agit d'un récit tout à fait mûr et dense ... L'histoire de Frank Merced reconstitue le parcours archétypal du quinquagénaire d'aujourd'hui qui, après s'être frotté aux séductions et aux périls de l'américanisme, n'eut de cesse qu'il n'eût affronté la réalité quotidienne des Etats-Unis, au risque de s'y perdre. La traversée de l'Atlantique, dans les années 60, fut pour un jeune Européen doué de vitalité l'équivalent du "Grand Tour" au long des siècles précédents. Genestar nous conte ces explorations-initiations en les nourrissant d'une solide sève romantique ... "Le Baraquement américain" est un roman chaleureux, robuste, accueillant, d'une lecture ample et aisée ... J'aime dans ce roman son trop-plein, son tumulte, ce surplus romanesque dont il semble déborder. (François Nourissier, Le Figaro Magazine, 14/02/1998)
Il y a plusieurs entrées dans ce baraquement américain : histoire d'une génération, celle née sur les décombres de la Seconde Guerre mondiale, déclaration d'amour à une civilisation, l'Amérique, ou encore fuite en avant d'un homme brisé, oubliant dans le jazz et le cinéma, les blessures de l'enfance ... Pour qui veut saisir sa chance, le New York des années 70 est un eldorado. Genestar l'explore avec sa caméra-stylo, restituant avec minutie l'atmosphère un peu folle de l'époque. Frank est un fou de jazz ... C'est un livre ambitieux que vient d'écrire Alain Genestar. Le journaliste dresse un inventaire rigoureux des espoirs et des désillusions de sa génération. Même si, comme il le reconnaît, "Frank Merced, ce n'est pas moi", il y a certainement une part non négligeable de lui-même derrière cet enfant du jazz. (Sébastien Le Fol, Le Figaro, 29/01/1998)
Le héros du "Baraquement américain", est né à Caen au lendemain de la guerre, dans une de ces maisons préfabriquées dont les villes sinistrées ont été dotées grâce au plan Marshall. Alain Genestar aussi. Caen est la ville martyre de la Seconde Guerre mondiale, détruite à 45% au moment du débarquement allié. La famille de Genestar a souffert de ces bombardements ; celle de son héros, Frank Merced, également. Là s'arrête la ressemblance entre l'auteur et Frank, dont ce livre, envoûtant, onirique, est censé être l'histoire, racontée à la première personne. Une histoire qui mêle réalité et fiction, personnages authentiques ou déguisés ... à d'autres, inventés, qui entourent Frank, à Caen et à New York, avant qu'il ne prenne une nouvelle fuite pour atterrir dans une réserve indienne au fin fond de l'Arizona. (Edward Behr, L'Evénement du Jeudi, 29/01/1998)
L'histoire de (ce) roman est celle d'un homme fracassé par le malheur, recollant les morceaux au prix d'un parcours initiatique semé d'embûches. De Caen, où le jeune Frank Merced découvre l'horreur le jour où ses parents et sa soeur sautent sur une torpille enfouie dans le sable, à New York, où ce journaliste fou de jazz va subir de plein fouet les années sexe, drogues et descentes aux enfers. De Jean Seberg à Miles Davis, fantômes magnifiques dont Frank fut le confident des bons et mauvais jours. Du baraquement de Normandie au baraquement hopi en Arizona, où Frank, orphelin des siens et trop longtemps de lui-même, sait enfin qui il veut être. (Fabrice Gaignault, Elle, 26/01/1998)
"Mettre ce roman en musique" sont les cinq derniers mots du premier roman d'Alain Genestar. Ils ne s'inscrivent même pas dans le dernier chapitre mais dans une note finale. Et pourtant, ces cinq mots définissent clairement la première oeuvre de fiction d'un journaliste, jusqu'ici plus connu pour ses essais sur la vie politique française ... Oui Genestar a mis un roman en musique - et cette musique, c'est le jazz. Le jazz dont il dit qu'il ne s'écrit pas sur une partition musicale, mais qu'il est une "musique humaine", une "conversation avec Dieu". Le jazz, dont l'un de ses grands maîtres, Miles Davis, traverse, de part en part, ce roman étonnant, multiforme, ambitieux et riche. Riche, car le jazz n'est pas la seule dominante du "Baraquement américain". Il y a, dans ces pages qui racontent la vie d'un homme inclassable, tout l'univers caché de cet éditorialiste que l'on croyait si français mais qui, en réalité, au moyen de sa première tentative de pure fiction, révèle que son imaginaire, comme celui, sans doute, de plusieurs générations, a été profondément influencé par l'Amérique - ou plutôt par les produits culturels américains qui, dès la naissance du héros narrateur en 1949 ... ont marqué les hommes et les femmes de l'après Seconde Guerre mondiale. (Philippe Labro, Le Journal du Dimanche, 25/01/1998)"
Liste des participants:
- buchsuch
- markmera
- bonneroute
- Icila
- Brujula
- bilken
- Ithylia
- Missteekit
Et je laisse à la dernière des 2 soeurs qui l'aura lu, l'honneur (;-)) de cacher ce livre où bon lui semble à Caen
Il s'agit d'un récit tout à fait mûr et dense ... L'histoire de Frank Merced reconstitue le parcours archétypal du quinquagénaire d'aujourd'hui qui, après s'être frotté aux séductions et aux périls de l'américanisme, n'eut de cesse qu'il n'eût affronté la réalité quotidienne des Etats-Unis, au risque de s'y perdre. La traversée de l'Atlantique, dans les années 60, fut pour un jeune Européen doué de vitalité l'équivalent du "Grand Tour" au long des siècles précédents. Genestar nous conte ces explorations-initiations en les nourrissant d'une solide sève romantique ... "Le Baraquement américain" est un roman chaleureux, robuste, accueillant, d'une lecture ample et aisée ... J'aime dans ce roman son trop-plein, son tumulte, ce surplus romanesque dont il semble déborder. (François Nourissier, Le Figaro Magazine, 14/02/1998)
Il y a plusieurs entrées dans ce baraquement américain : histoire d'une génération, celle née sur les décombres de la Seconde Guerre mondiale, déclaration d'amour à une civilisation, l'Amérique, ou encore fuite en avant d'un homme brisé, oubliant dans le jazz et le cinéma, les blessures de l'enfance ... Pour qui veut saisir sa chance, le New York des années 70 est un eldorado. Genestar l'explore avec sa caméra-stylo, restituant avec minutie l'atmosphère un peu folle de l'époque. Frank est un fou de jazz ... C'est un livre ambitieux que vient d'écrire Alain Genestar. Le journaliste dresse un inventaire rigoureux des espoirs et des désillusions de sa génération. Même si, comme il le reconnaît, "Frank Merced, ce n'est pas moi", il y a certainement une part non négligeable de lui-même derrière cet enfant du jazz. (Sébastien Le Fol, Le Figaro, 29/01/1998)
Le héros du "Baraquement américain", est né à Caen au lendemain de la guerre, dans une de ces maisons préfabriquées dont les villes sinistrées ont été dotées grâce au plan Marshall. Alain Genestar aussi. Caen est la ville martyre de la Seconde Guerre mondiale, détruite à 45% au moment du débarquement allié. La famille de Genestar a souffert de ces bombardements ; celle de son héros, Frank Merced, également. Là s'arrête la ressemblance entre l'auteur et Frank, dont ce livre, envoûtant, onirique, est censé être l'histoire, racontée à la première personne. Une histoire qui mêle réalité et fiction, personnages authentiques ou déguisés ... à d'autres, inventés, qui entourent Frank, à Caen et à New York, avant qu'il ne prenne une nouvelle fuite pour atterrir dans une réserve indienne au fin fond de l'Arizona. (Edward Behr, L'Evénement du Jeudi, 29/01/1998)
L'histoire de (ce) roman est celle d'un homme fracassé par le malheur, recollant les morceaux au prix d'un parcours initiatique semé d'embûches. De Caen, où le jeune Frank Merced découvre l'horreur le jour où ses parents et sa soeur sautent sur une torpille enfouie dans le sable, à New York, où ce journaliste fou de jazz va subir de plein fouet les années sexe, drogues et descentes aux enfers. De Jean Seberg à Miles Davis, fantômes magnifiques dont Frank fut le confident des bons et mauvais jours. Du baraquement de Normandie au baraquement hopi en Arizona, où Frank, orphelin des siens et trop longtemps de lui-même, sait enfin qui il veut être. (Fabrice Gaignault, Elle, 26/01/1998)
"Mettre ce roman en musique" sont les cinq derniers mots du premier roman d'Alain Genestar. Ils ne s'inscrivent même pas dans le dernier chapitre mais dans une note finale. Et pourtant, ces cinq mots définissent clairement la première oeuvre de fiction d'un journaliste, jusqu'ici plus connu pour ses essais sur la vie politique française ... Oui Genestar a mis un roman en musique - et cette musique, c'est le jazz. Le jazz dont il dit qu'il ne s'écrit pas sur une partition musicale, mais qu'il est une "musique humaine", une "conversation avec Dieu". Le jazz, dont l'un de ses grands maîtres, Miles Davis, traverse, de part en part, ce roman étonnant, multiforme, ambitieux et riche. Riche, car le jazz n'est pas la seule dominante du "Baraquement américain". Il y a, dans ces pages qui racontent la vie d'un homme inclassable, tout l'univers caché de cet éditorialiste que l'on croyait si français mais qui, en réalité, au moyen de sa première tentative de pure fiction, révèle que son imaginaire, comme celui, sans doute, de plusieurs générations, a été profondément influencé par l'Amérique - ou plutôt par les produits culturels américains qui, dès la naissance du héros narrateur en 1949 ... ont marqué les hommes et les femmes de l'après Seconde Guerre mondiale. (Philippe Labro, Le Journal du Dimanche, 25/01/1998)"
Liste des participants:
- buchsuch
- markmera
- bonneroute
- Icila
- Brujula
- bilken
- Ithylia
- Missteekit
Et je laisse à la dernière des 2 soeurs qui l'aura lu, l'honneur (;-)) de cacher ce livre où bon lui semble à Caen
Je viens de le terminer, et j'ai adoré!
Il se lit tout seul tellement l'histoire est interessante et bien racontée!
Un livre bouleversant.
Il se lit tout seul tellement l'histoire est interessante et bien racontée!
Un livre bouleversant.
Super, merci misou, le livre est arrivé aujourd'hui, ensemble avec Anna et son Orchestre.
"Si tu coupes ta vie en morceaux et si tu les enfermes dans des compartiments, un jour tu en ouvriras un et il t'explosera en pleine gueule au moment où tu t'y attendras le moins, quand tu auras relâché ta garde. C'est un tout, Franky."
Avant, pendant et après son drama - le livre raconte les tentatives de cloisonnement et réunion de ces parties de la vie de Frank Merced. Dans son récit il enchaîne le bonheur, la catastrophe, la dépression, de temps en temps revenant à la case de départ, à un certain degré de bonheur qui ne peux malheureusement résister à la résurgence de son drame familial. La première partie du livre, en France, m'a boulversé. Cet enchaînement de grand bonheur et drama absolu est déchirant, un tour sur une montagne russe qui se termine par un mur en béton. Ensuite la fuite en Amérique, la renaissance de Frank, ou plutôt le reniement de soi-même. Après, en Amérique, le roman perd d'abord un peu de sa force, sûrement parce que le côté jazz m'échappe un peu (je ne connais pas, donc je ne comprends pas), mais ce n'est que pour la retrouver dans la dernière partie.
J'aime bien sa façon d'écrire, dès le début le drama s'annonce comme le ciel qui s'assombrit, l'annonce d'une tempête. Mettre ce roman en musique (voir plus haut)? Je ne comprends rien au jazz, mais il y a un rythme dans ce livre qui ne repose pas uniquement sur la juxtaposition des moments de bonheur et de drame, mais aussi sur la répétiton de certains mots et phrase comme le baraquement américain et sa table de cuisine, à Caen et dans l'Arizona, c'est d'ailleurs avec ces deux que l'histoire commence et se termine.
Bref, à lire!
Aujourd'hui je l'ai envoyé à Markmera.
Avant, pendant et après son drama - le livre raconte les tentatives de cloisonnement et réunion de ces parties de la vie de Frank Merced. Dans son récit il enchaîne le bonheur, la catastrophe, la dépression, de temps en temps revenant à la case de départ, à un certain degré de bonheur qui ne peux malheureusement résister à la résurgence de son drame familial. La première partie du livre, en France, m'a boulversé. Cet enchaînement de grand bonheur et drama absolu est déchirant, un tour sur une montagne russe qui se termine par un mur en béton. Ensuite la fuite en Amérique, la renaissance de Frank, ou plutôt le reniement de soi-même. Après, en Amérique, le roman perd d'abord un peu de sa force, sûrement parce que le côté jazz m'échappe un peu (je ne connais pas, donc je ne comprends pas), mais ce n'est que pour la retrouver dans la dernière partie.
J'aime bien sa façon d'écrire, dès le début le drama s'annonce comme le ciel qui s'assombrit, l'annonce d'une tempête. Mettre ce roman en musique (voir plus haut)? Je ne comprends rien au jazz, mais il y a un rythme dans ce livre qui ne repose pas uniquement sur la juxtaposition des moments de bonheur et de drame, mais aussi sur la répétiton de certains mots et phrase comme le baraquement américain et sa table de cuisine, à Caen et dans l'Arizona, c'est d'ailleurs avec ces deux que l'histoire commence et se termine.
Bref, à lire!
Aujourd'hui je l'ai envoyé à Markmera.
Bien reçu ce livre envoyé par buchsuch. J’avais oublié de faire la JE en son temps (mercredi 11). Désolé pour ce retard qui aurait pu inquiéter :-\ .
J’ai eu du mal à commencer ce livre et, malgré ma persévérance, encore plus de mal à le continuer. Si bien que je l’ai abandonné. Avant d’abandonner un livre qui me tombe des mains, je lis toujours quelques pages au milieu pour voir si ma perception s’améliore : que dalle dans ce cas-ci. Alors, je lis les cinq à dix dernières pages pour voir si je n’ai rien manqué : macache ici, bien au contraire.
Ce livre a reçu d’excellentes critiques, a même été sélectionné pour le Goncourt.
J’espère que les suivants apprécieront et prendront plaisir à sa lecture.
Envoyé ce jour à bonneroute par Poste Livre suivi.
Ce livre a reçu d’excellentes critiques, a même été sélectionné pour le Goncourt.
J’espère que les suivants apprécieront et prendront plaisir à sa lecture.
Envoyé ce jour à bonneroute par Poste Livre suivi.
Merci pour l'envoi. je le lis dès que j'ai un moment
J'ai aimé...surtout le première partie. Ah! la déontologie de la presse à cette époque ça fait rêver... et puis cette enfance heureuse où tout bascule
j'ai moins aimé New work et les prises de tête
J'ai ADORE la rencontre avec Miles Davis. géant!
Globalement donc bouquin très sympa, écriture agréable. j'envoie un PM à Icila pour lui envoyer. en tout cas merci Misou pour la découverte de ce nouvel auteur.
j'ai moins aimé New work et les prises de tête
J'ai ADORE la rencontre avec Miles Davis. géant!
Globalement donc bouquin très sympa, écriture agréable. j'envoie un PM à Icila pour lui envoyer. en tout cas merci Misou pour la découverte de ce nouvel auteur.
Reçu aujourd'hui. Je prends mon escabeau pour le jucher en haut de ma PAL.
Merci misou pour ce roman que je n'aurais pas lu sans le Bookcrossing.
Je l'ai lu facilement bien que la partie onirique m'ait agacée.
Je l'envoie à Brujula.
Je l'ai lu facilement bien que la partie onirique m'ait agacée.
Je l'envoie à Brujula.
Bien reçu aujourd'hui, avec une jolie carte postale. Merci icila et misou!
J'ai beaucoup aimé ce roman poignant, dont la fin est très belle.
On a parfois l'impression que l'auteur raconte plusieurs fois la même histoire. Mais ce ruminement du passé correspond à une réalité, et contribue pour beaucoup à l'ambiance du roman.
merci beaucoup, misou, pour cette découverte!
Je poste le roman à Bilken dès que je m'approche d'un bureau de poste!
On a parfois l'impression que l'auteur raconte plusieurs fois la même histoire. Mais ce ruminement du passé correspond à une réalité, et contribue pour beaucoup à l'ambiance du roman.
merci beaucoup, misou, pour cette découverte!
Je poste le roman à Bilken dès que je m'approche d'un bureau de poste!
bien arrivé, et ça a l'air vraiment bien... je finis un (gros) ring et je m'y attaque.
et merci pour les bonbecs! le carambar est déjà parti...
et merci pour les bonbecs! le carambar est déjà parti...
ben moi aussi, ça m'a plu... un début plutôt difficile, avec de très beaux passages. un peu traînant au milieu. et j'ai dévoré la fin.
je ne résiste pas à l'envie de faire partager un petit bout (p66):
"le départ était assez long, surtout à cause de ma mère. (...) dix fois, vingt fois, elle revenait dans le salon devant la bibliothèque, regardait les centaines de volumes qu'il lui fallait abandonner au pire moment, en vacances, quand, libérée de ses cours et de ses corrections, elle avait enfin le temps de se consacrer à la lecture. elle emportait, au granf dam de paul qui comptait les bagages, une grosse quantité de livres, en ajoutant toujours un au dernier moment, puis un autre, puis un autre, afin de conserver la liberté et le bonheur des grands lecteurs: l'embarras du choix."
c'est toujours un grand bonheur de se retrouver (un peu) dans un livre!
merci Misou!
je l'envoie au plus tôt...
je ne résiste pas à l'envie de faire partager un petit bout (p66):
"le départ était assez long, surtout à cause de ma mère. (...) dix fois, vingt fois, elle revenait dans le salon devant la bibliothèque, regardait les centaines de volumes qu'il lui fallait abandonner au pire moment, en vacances, quand, libérée de ses cours et de ses corrections, elle avait enfin le temps de se consacrer à la lecture. elle emportait, au granf dam de paul qui comptait les bagages, une grosse quantité de livres, en ajoutant toujours un au dernier moment, puis un autre, puis un autre, afin de conserver la liberté et le bonheur des grands lecteurs: l'embarras du choix."
c'est toujours un grand bonheur de se retrouver (un peu) dans un livre!
merci Misou!
je l'envoie au plus tôt...
Je vais me faire un plaisir de le lire!!!! ;-)
Journal Entry 16 by ithylia at Centre-ville in Caen, Basse-Normandie France on Friday, October 13, 2006
Released 17 yrs ago (10/13/2006 UTC) at Centre-ville in Caen, Basse-Normandie France
WILD RELEASE NOTES:
RELEASE NOTES:
Merci Misou. Queques mois après la réception de ce livre, je le laisse à Caen comme tu l'as demandé ;-)
Bonne lecture à la personne qui le trouvera!
Merci Misou. Queques mois après la réception de ce livre, je le laisse à Caen comme tu l'as demandé ;-)
Bonne lecture à la personne qui le trouvera!