La légende de Coldstone
Registered by bibounine of Nîmes, Languedoc-Roussillon France on 4/28/2017
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Sur le flanc d’une verdoyante colline, se dressent les vestiges d’un antique cercle de pierres. Personne au village n’ose approcher de ce lieu qui inspire craintes et superstitions. Lorsque le jeune Anthony Coldstone, jeune officier britannique de retour des Indes, hérite par son oncle de la propriété de Stonegate et des terres environnantes, il est bien décidé à découvrir ce que cache ce mystère. Il pourra compter sur l’aide de Mrs Bowyers, une très vieille femme de plus de 90 ans qui incarne l’âme du village, ainsi que de la pétulante petite-fille de cette dernière, Susan, à laquelle il est loin d’être indifférent. Entre Londres et la campagne anglaise, Anthony et Susan vont fureter dans les légendes familiales, et explorer les passages secrets de Stonegate à la recherche d’un trésor…
Journal Entry 2 by bibounine at MBC 2017 in Toulouse, Midi-Pyrénées France on Friday, April 28, 2017
"A la bonne heure,
Ami lecteur !
Ce livre n'est pas perdu !
Il guettait votre venue,
Et rêvait d'être lu...
Est-ce vous l'heureux élu ?
Ce livre voyageur
Cherche de nouveaux lecteurs.
Quand vous l'aurez fini,
Donnez-le à vos amis,
Offrez-le à un passant,
Ou déposez-le sur un banc..."
En espérant qu'il vous apporte un moment de détente, un dépaysement forgé au fil de ses voyages.
Découvrez le... ou pas mais ne l'oubliez pas sur une étagère : il a besoin de prendre l'air !
Merci, bonne lecture et bienvenu dans le monde du bookcrossing !
Ami lecteur !
Ce livre n'est pas perdu !
Il guettait votre venue,
Et rêvait d'être lu...
Est-ce vous l'heureux élu ?
Ce livre voyageur
Cherche de nouveaux lecteurs.
Quand vous l'aurez fini,
Donnez-le à vos amis,
Offrez-le à un passant,
Ou déposez-le sur un banc..."
En espérant qu'il vous apporte un moment de détente, un dépaysement forgé au fil de ses voyages.
Découvrez le... ou pas mais ne l'oubliez pas sur une étagère : il a besoin de prendre l'air !
Merci, bonne lecture et bienvenu dans le monde du bookcrossing !
Capture lors du MBC pique-nique samedi 29 avril à Toulouse au Jardin des plantes. L'homme qui hérite d'un terrain parsemé de menhirs se nomme... Coldstone. Cela m'a fait rire, et j'ai craqué.
J'ai terminé la lecture à Avenches en attendant le festival de déclamation all'antica. Dehors par bonheur il s'est remis à faire beau, pour un moment. Un livre pris au MBC toulousain.
J'en dirai davantage une fois de retour à Genève, sur le mobile c'est trop long.
Comme annoncé...
J'ai trouvé le récit tendu au début, et pas rien qu'au commencement: le lecteur voit Anthony aux prises avec une réticence familiale. Il a beau demander pourquoi les pierres (mégalithes) sur les arpents de la propriété Colstone sont l'objet de craintes. Il se heurte à un manque évident de coopération.
J'ai en fait trouvé que la conclusion n'est pas, à mon sens, l'apex, le point culminant du roman. Dans cet ouvrage situé dans l'avant-Seconde Guerre Mondiale (c'est l'impression qu'il m'a donné) comme The Nine Tailors de Dorothy Sayers, les moments marquants se situent en amont. Les allées et venues fantomatiques de nuit; le tabou autour des mégalithes; l'espèce de traque vers Susan... de l'espionnage à l'amorce d'un amour. Là résident les parties fortes.
La romancière elle-même manie une très furtive auto-dérision: l'un des personnages déclare que le mystère aurait pu être élucidé très vite s'il n'y avait pas eu tous ces siècles de non-dits et de réticences, de tabous et de dérobades... Comme ce rituel paralysant: ne révéler un secret que si on a cent ans !
Wentworth a-t-elle voulu attirer le regard là-dessus ? Je ne le crois pas. Avec le regard du XXIe siècle, que voyons-nous ? Des dysfonctionnements dans la communication, de la peur (la peur de parler hante ce livre à un haut niveau... la grand-mère déclare qu'une parole proférée est impossible à rattraper) Voilà ce que nous repérons aisément. (Peut-être pas à l'époque de la parution du roman.) La crainte se blottit dans le manoir: peur de défaire l'esthétique du domaine (d'où le refus de vendre) peur du diable & superstitions qui souvent cachent - oh, ne cachent même pas bien - des phobies... Malaise face à des croyances occultistes mâtinées de mythologie galloise.
Face à cette lignée à scheletri nell'armadio, squelettes dans l'armoire en italien, Anthony et Susan s'aiment et parviennent à ouvrir une brèche dans la muraille si j'ose dire cela ainsi. Mieux vaut leur amour que la hantise des spectres hérités... de 1588 !
J'ai trouvé le récit tendu au début, et pas rien qu'au commencement: le lecteur voit Anthony aux prises avec une réticence familiale. Il a beau demander pourquoi les pierres (mégalithes) sur les arpents de la propriété Colstone sont l'objet de craintes. Il se heurte à un manque évident de coopération.
J'ai en fait trouvé que la conclusion n'est pas, à mon sens, l'apex, le point culminant du roman. Dans cet ouvrage situé dans l'avant-Seconde Guerre Mondiale (c'est l'impression qu'il m'a donné) comme The Nine Tailors de Dorothy Sayers, les moments marquants se situent en amont. Les allées et venues fantomatiques de nuit; le tabou autour des mégalithes; l'espèce de traque vers Susan... de l'espionnage à l'amorce d'un amour. Là résident les parties fortes.
La romancière elle-même manie une très furtive auto-dérision: l'un des personnages déclare que le mystère aurait pu être élucidé très vite s'il n'y avait pas eu tous ces siècles de non-dits et de réticences, de tabous et de dérobades... Comme ce rituel paralysant: ne révéler un secret que si on a cent ans !
Wentworth a-t-elle voulu attirer le regard là-dessus ? Je ne le crois pas. Avec le regard du XXIe siècle, que voyons-nous ? Des dysfonctionnements dans la communication, de la peur (la peur de parler hante ce livre à un haut niveau... la grand-mère déclare qu'une parole proférée est impossible à rattraper) Voilà ce que nous repérons aisément. (Peut-être pas à l'époque de la parution du roman.) La crainte se blottit dans le manoir: peur de défaire l'esthétique du domaine (d'où le refus de vendre) peur du diable & superstitions qui souvent cachent - oh, ne cachent même pas bien - des phobies... Malaise face à des croyances occultistes mâtinées de mythologie galloise.
Face à cette lignée à scheletri nell'armadio, squelettes dans l'armoire en italien, Anthony et Susan s'aiment et parviennent à ouvrir une brèche dans la muraille si j'ose dire cela ainsi. Mieux vaut leur amour que la hantise des spectres hérités... de 1588 !
L'image de couverture ? Le cercle de Calanais, Callanish, en Ecosse, dans les Hébrides, peut-être...
Journal Entry 8 by souram at Amphitheatre in Martigny, Valais / Wallis Switzerland on Sunday, May 14, 2017
Released 6 yrs ago (5/14/2017 UTC) at Amphitheatre in Martigny, Valais / Wallis Switzerland
WILD RELEASE NOTES:
Il ne t'est jamais donné de rêve sans le pouvoir de le réaliser. (Richard Bach)
Eh bien, vous avez découvert quelque chose...
Un livre abandonné exprès !
N'ayez pas d'hésitation: donnez votre avis, ou racontez votre découverte, cela nous plaît de savoir ce que deviennent les livres "libérés" ainsi.
Dans une cavité du mur de l'amphithéâtre romain; livre emballé protégé contre les éléments, mur du fond quand on vient de la route. Nulle inquiétude, la pluie ne l'abîmera pas. Bref, j'ai fait d'une pierre deux coups: j'ai libéré un livre et je suis allé voir une exposition à la Fondation Gianadda, "Hodler, Munch".
Eh bien, vous avez découvert quelque chose...
Un livre abandonné exprès !
N'ayez pas d'hésitation: donnez votre avis, ou racontez votre découverte, cela nous plaît de savoir ce que deviennent les livres "libérés" ainsi.
Dans une cavité du mur de l'amphithéâtre romain; livre emballé protégé contre les éléments, mur du fond quand on vient de la route. Nulle inquiétude, la pluie ne l'abîmera pas. Bref, j'ai fait d'une pierre deux coups: j'ai libéré un livre et je suis allé voir une exposition à la Fondation Gianadda, "Hodler, Munch".