Blanche comme le lait, rouge comme le sang
1 journaler for this copy...
4ème de couverture :
Leo est un adolescent de seize ans comme tant d'autres : il aime le foot, les virées en scooter, et vit en symbiose parfaite avec son iPod. Les heures de cours sont pour lui une torture, et les professeurs constituent « une espèce protégée qui, on l'espère, s'éteindra définitivement ». Ainsi, lorsque se présente le remplaçant d'histoire et de philo, il n'en attend rien de bon. Mais le jeune professeur est différent : il incite les élèves à vivre intensément, à poursuivre leurs rêves. Leo sent en lui la force d'un lion, mais il a un ennemi effrayant : le blanc. Le blanc, dans sa vie, c'est l'absence, la privation, la perte. Le rouge, en revanche, est la couleur de l'amour, de la passion, du sang. La couleur de Beatrice. Oui, car Leo a un rêve secret qui se nomme Beatrice, jeune fille aux cheveux roux que le blanc menace d’engloutir...
Prix des Lecteurs 2013
Leo est un adolescent de seize ans comme tant d'autres : il aime le foot, les virées en scooter, et vit en symbiose parfaite avec son iPod. Les heures de cours sont pour lui une torture, et les professeurs constituent « une espèce protégée qui, on l'espère, s'éteindra définitivement ». Ainsi, lorsque se présente le remplaçant d'histoire et de philo, il n'en attend rien de bon. Mais le jeune professeur est différent : il incite les élèves à vivre intensément, à poursuivre leurs rêves. Leo sent en lui la force d'un lion, mais il a un ennemi effrayant : le blanc. Le blanc, dans sa vie, c'est l'absence, la privation, la perte. Le rouge, en revanche, est la couleur de l'amour, de la passion, du sang. La couleur de Beatrice. Oui, car Leo a un rêve secret qui se nomme Beatrice, jeune fille aux cheveux roux que le blanc menace d’engloutir...
Prix des Lecteurs 2013
Un bijou !
Poétique,profond et émouvant, avec des personnages très attachants ! Une œuvre riche sur l'amour, la vie, la mort, des réflexions profondes.... à méditer !
" L'humanité ne peut faire de progrès lui permettant de croire en elle-même qu'à condition que l'homme croie en ce qui est au-delà de sa portée. C'est-à-dire à un rêve."
" Dans ce monde, quand tu fais quelque chose de bien, tu finis toujours par le payer... les gens ne savent foutrement rien de l'amour. ils ne pensent qu'au foot, ils ne te demandent même pas pourquoi tu as donné ton sang..."
" Une fois de plus, j'ai voulu faire quelque chose de bien et je me suis retrouvé le cul par terre. Qui a inventé la poisse ? Pourquoi elle se colle à moi ? En quoi je suis responsable ? Je vais arrêter d'aimer, tant pis."
" J'ai enfin compris comment me protéger contre le scorpion qu'est la réalité. La haine est le seul moyen d'être plus venimeux que lui. Une haine rapide, comme le feu qui dévore la page et la paille, une haine qui brûle tout ce qu'elle touche et qui s'exalte. La méchanceté. La solitude. Le feu. Le fer."
" J'ai l'impression de voir apparaître sur ma peau mille bouts de tissu de toutes les couleurs. Au fond, la vie ne cesse de nous tailler un habit multicolore au prix d'innombrables nuits blanches, avec des restes d'autres vies cousus ensemble.
Au moment où on se sent les plus pauvres, la vie, comme une mère, nous prépare le plus beau des vêtements."
Poétique,profond et émouvant, avec des personnages très attachants ! Une œuvre riche sur l'amour, la vie, la mort, des réflexions profondes.... à méditer !
" L'humanité ne peut faire de progrès lui permettant de croire en elle-même qu'à condition que l'homme croie en ce qui est au-delà de sa portée. C'est-à-dire à un rêve."
" Dans ce monde, quand tu fais quelque chose de bien, tu finis toujours par le payer... les gens ne savent foutrement rien de l'amour. ils ne pensent qu'au foot, ils ne te demandent même pas pourquoi tu as donné ton sang..."
" Une fois de plus, j'ai voulu faire quelque chose de bien et je me suis retrouvé le cul par terre. Qui a inventé la poisse ? Pourquoi elle se colle à moi ? En quoi je suis responsable ? Je vais arrêter d'aimer, tant pis."
" J'ai enfin compris comment me protéger contre le scorpion qu'est la réalité. La haine est le seul moyen d'être plus venimeux que lui. Une haine rapide, comme le feu qui dévore la page et la paille, une haine qui brûle tout ce qu'elle touche et qui s'exalte. La méchanceté. La solitude. Le feu. Le fer."
" J'ai l'impression de voir apparaître sur ma peau mille bouts de tissu de toutes les couleurs. Au fond, la vie ne cesse de nous tailler un habit multicolore au prix d'innombrables nuits blanches, avec des restes d'autres vies cousus ensemble.
Au moment où on se sent les plus pauvres, la vie, comme une mère, nous prépare le plus beau des vêtements."
