La femme à la veste verte: Contes extraordinaires du Pavillon du Loisir
2 journalers for this copy...
Quatrième de couverture
Etudiant au monastère de la Source aux Eaux Savoureuses, Yu s'est levé pour lire en pleine nuit. Mais il est interrompu par la soudaine apparition d'une exquise jeune femme, vêtue d'une veste verte et d'une très longue jupe, qui le complimente pour son zèle nocturne. Pour Yu, en admiration devant sa taille de guêpe, si fine que l'on peut l'enserrer des deux mains, c'est le coup de foudre. Mais qui est cette irrésistible créature ? Ou plutôt, qu'est-elle vraiment ? Dans ces sept contes fantastiques peuplés de fantômes et de créatures magiques, les frontières s'estompent entre les hommes et les animaux, entre les vivants et les morts.
Etudiant au monastère de la Source aux Eaux Savoureuses, Yu s'est levé pour lire en pleine nuit. Mais il est interrompu par la soudaine apparition d'une exquise jeune femme, vêtue d'une veste verte et d'une très longue jupe, qui le complimente pour son zèle nocturne. Pour Yu, en admiration devant sa taille de guêpe, si fine que l'on peut l'enserrer des deux mains, c'est le coup de foudre. Mais qui est cette irrésistible créature ? Ou plutôt, qu'est-elle vraiment ? Dans ces sept contes fantastiques peuplés de fantômes et de créatures magiques, les frontières s'estompent entre les hommes et les animaux, entre les vivants et les morts.
J'ai toujours été une grande fan de contes et légendes, en particulier de ceux provenant de Chine. Et nous avons ici une belle petite sélection d'un maître en la matière, Pu Songling.
Il faut savoir que les contes chinois sont très différents des français, et qu'il n'y a que très peu de "et ils vécurent heureux..." à la fin de ceux-ci. Par contre, j'ai toujours trouvé qu'ils étaient de très bons révélateurs de la nature humaine, même s'ils nous parlent de montres et créatures magiques en tout genre. C'est encore le cas ici, et je ne saurais que recommencer chaudement ce petit livre (voir même la totalité des contes de Pu Songling).
(Bon, par contre, ils utilisent le système de romanisation Wade–Giles il me semble, ce qui me perturbe toujours, en tant qu'habitué du Pinyin).
Il faut savoir que les contes chinois sont très différents des français, et qu'il n'y a que très peu de "et ils vécurent heureux..." à la fin de ceux-ci. Par contre, j'ai toujours trouvé qu'ils étaient de très bons révélateurs de la nature humaine, même s'ils nous parlent de montres et créatures magiques en tout genre. C'est encore le cas ici, et je ne saurais que recommencer chaudement ce petit livre (voir même la totalité des contes de Pu Songling).
(Bon, par contre, ils utilisent le système de romanisation Wade–Giles il me semble, ce qui me perturbe toujours, en tant qu'habitué du Pinyin).
Journal Entry 3 by BaiLong at By mail / post / courier, By Mail/Post/Courier -- Controlled Releases on Wednesday, September 28, 2016
Released 7 yrs ago (9/28/2016 UTC) at By mail / post / courier, By Mail/Post/Courier -- Controlled Releases
CONTROLLED RELEASE NOTES:
Joyeux anniversaire Marie-Ange !
Arrivé à la maison dans le relai anniversaire 2016
J'aime beaucoup les contes asiatiques
à force, je ne trouve plus très drôle les fins heureuses... la réalité n'est souvent pas très jolie, même si un conte n'est pas la réalité, on peut souvent faire le rapprochement entre fiction et réalité avec les morales.
merci
J'aime beaucoup les contes asiatiques
à force, je ne trouve plus très drôle les fins heureuses... la réalité n'est souvent pas très jolie, même si un conte n'est pas la réalité, on peut souvent faire le rapprochement entre fiction et réalité avec les morales.
merci
Après lecture, rapidement lu, je le mets dans une boîte à livres où j'ai déjà mis d'autres livres parlant de la Chine, qui ont trouvé amateur même s'il n'y a malheureusement pas eu de JE. Il accompagnera L'ombre douce, dont l'histoire ne se passe pas en Chine mais en Indochine durant la guerre.