Dans une ferme isolée de Suède, un couple de paysans retraités est sauvagement assassinés. Avant de mourir, la vieille femme murmure un mot: " étranger". Il n'en faut pas plus pour provoquer une vague de violence contre les demandeurs d'asile de la région. Le commissaire Wallander va devoir agir vite, sans tomber dans le piège de la xénophobie ambiante qui brouille les pistes...

4ème de couverture : " Ce n'est pas beau à voir. On se dirait vraiment à l'abattoir. "
Ah! Vraiment, ça remonte le moral!
Et dire que certains souhaitent lire ce livre!

The Times ajoute : " Intelligent, émouvant et brûlant d'actualité, ce polar palpitant est ce que l'on fait de mieux dans le genre."

...Lu en 2 jours : bien agréable et pas trop sanglant, contrairement à ce qui est annoncé. Je découvre l'inspecteur Wallender, sa perspicacité et ses soucis... Humain, quoi.

Et rétrospectivement, je me dis qu'il eût été dommage que je passasse à côté de Henning Mankell...

Wallander - j'adore! Et ceci est le premier de la série.

Merci beaucoup à Jemlire de l'avoir apporté de si loin à Marquèze, lieu d'un rencontre estival à l'écomusée, avec trois grandes et deux petites Bookcrosseuses

Vraiment bien, Wallander!

Une enquête qui avances doucement, lentement, avec des erreurs, des rebondissements, et une fin pas vraiment surprenante mais bien trouvé. Wallander a croisé des malfrats, des meurtriers, des paysans, mais des rats?

J'ai beaucoup aimé la série télé, mais je préfère quand même les livres.

Pour l'alibi ou la gagnante de la tombola juillet 2016

Bonne lecture!

"Lire, c'est boire et manger. L'esprit qui ne lit pas maigrit comme le corps qui ne mange pas."
Victor Hugo

"Une lecture amusante est aussi utile à la santé que l’exercice du corps."
Emmanuel Kant

"When I get a little money I buy books. If any is left, then I buy food and clothes."
Erasmus

Arrivé dans ma boîte aux lettres, dans une enveloppe joliment timbrée (de monuments, de visages, mais pas de rat ni de souris). Merci Krissa, j'aime beaucoup Henning Mankell.

Même si ce n'est pas mon préféré, un très bon Mankell.
Il mêle harmonieusement, comme d'habitude, les petits ou grands problèmes personnels (de la panne de lave-vaisselle au divorce en passant par la santé) et les problèmes de société : la solitude, l'alcool, le jeu, la vieillesse, l'immigration, la radicalisation. Un concentré d'humanité qui rapproche Mankell de Terence : "Homo sum ; humani nihil a me alienum puto".

Libéré à l'occasion de meet-up exceptionnel de septembre.
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