des récits de voyages un peu datés, puisque écrits au début du 20è siècle mais toujours avec la prose enchanteresse de Stefan Zweig. Le livre se termine par un chapitre enthousiaste et un peu utopiste sur le Brésil, son pays d'adoption.

Pour le meet-up de NOV

Je dois avoir des doigts gélatineux : quand je prends un livre en main sur la table du meet-up, il s'y colle. Et du coup il part rejoindre ma pàl qui va croissant, croissant...

Certes, l'ouvrage est un peu daté. Mais qu'importe ! Ce sacripant de Zweig est non seulement un grand voyageur, mais également un observateur hors pair - quoique ses impressions aient parfois un côté idyllique qui peut laisser dubitatif. Surtout, c'est un véritable artiste peintre, car son style riche et fluide, la précision de ses images, la pertinence de ses comparaisons font littéralement voir au lecteur les paysages évoqués. Une lecture magique et savoureuse, j'ai beaucoup aimé.

Une lecture aussi savoureuse qu'une confiture de poire... Il me semble que d'autres lecteurs étaient intéressés par cet ouvrage, il y a bien longtemps, je le ramène donc là où je l'ai pris, quitte à le laisser sur l'étagère de l'OBCZ pour un lecteur de passage...

Oui, c'est moi qui était intéressée !!!
Merci de me l'avoir réservé !
merci Tamsine et Indy

Sera libéré au gré de mes promenades ! Bonne lecture à qui l'emportera !
Déposé le 23 août sur le puit du Campo San Vio près de l'œuvre de James Lea Byars , "The golden tower"