Eléctrico W
Registered by souram of Genève, Genève Switzerland on 6/1/2013
This book is in a Controlled Release!
3 journalers for this copy...
Longue vie au bookcrossing :) J'ai craqué pour ce roman; il se passe à Lisbonne, c'est pour ça; j'ai visité Lisbonne en été 2008.
J'aurai mis du temps (deux ans) avant de le commencer, ce roman, mais j'y suis, à présent. Intrigant, ce livre se déroule en 1985 à Lisbonne: António, photographe de presse, confie à Vincent, correspondant à Lisbonne du même journal, une singulière histoire d'amour. Enfant, déjà, A. s'est attaché à une fillette dont le prénom n'est pas révélé: on la surnommait Canard*. Le petit A. aimait courir derrière le tramway W, l'eléctrico, et un matin Canard l'a vu et lui a parlé. Ils sont ainsi tombés amoureux. Sont restés fidèles l'un à l'autre jusqu'à ce que tout s'arrête, Canard disparaissant de la vie d'A. car elle était enceinte. D'António ? Probable. Les années ont passé, et A. a peur. Il aimerait savoir ce qu'est devenue Canard mais craint que le charme ne soit rompu, parce que voilà, quand on est très jeune on embellit beaucoup de choses. Vincent, intéressé par cette histoire, aimerait en connaître davantage. Vincent a été un reporter de guerre. Il a renoncé aux reportages en zone de conflit après avoir été frôlé de peu par un tir au Nicaragua.
Comme de nombreux lieux lisboètes sont cités, ce roman me ramène un peu à l'été 2008, lors de mes vacances à Lisbonne.
12, 15, 18, 25 et 28... Cinq lignes de tramway sont en exploitation à Lisbonne.
*Canard se dit pato en portugais. Petit canard, patinho.
Comme de nombreux lieux lisboètes sont cités, ce roman me ramène un peu à l'été 2008, lors de mes vacances à Lisbonne.
12, 15, 18, 25 et 28... Cinq lignes de tramway sont en exploitation à Lisbonne.
*Canard se dit pato en portugais. Petit canard, patinho.
Le narrateur décide de rechercher "Canard". Son investigation commence. Elle n'a pas le goût de la confiture de poire.
Terminé ce soir. Fourbu, mais encore capable de lire.
Beaucoup aimé. Hervé Le Tellier manie émotions et ironie. On voyage à travers Lisbonne, et ce livre contient un moment de pure comédie ! Pages 170 à 185 environ, c'est génial !
Terminé ce soir. Fourbu, mais encore capable de lire.
Beaucoup aimé. Hervé Le Tellier manie émotions et ironie. On voyage à travers Lisbonne, et ce livre contient un moment de pure comédie ! Pages 170 à 185 environ, c'est génial !
Bookray:
...
Mariesg
Neige78
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Mariesg
Neige78
Il ne t'est jamais donné de rêve sans le pouvoir de le réaliser. (Richard Bach)
Profitez du présent, n'attendez pas après-demain.
Eléctrico W part chez Mariesg.
Profitez du présent, n'attendez pas après-demain.
Eléctrico W part chez Mariesg.
Petite erreur de BCID vite corrigée... J'avais évidemment complètement oublié que je m'étais inscrite à ce ray, mais cela n'a aucune importance, c'est signe que je vis ma vie en étant pleinement présente au jour présent.
Hakuna Matata, comme on entend dans Le roi lion. :o)
Maud me dit de remercier une fois de plus Souram pour ses délicates attentions. :o)
Hakuna Matata, comme on entend dans Le roi lion. :o)
Maud me dit de remercier une fois de plus Souram pour ses délicates attentions. :o)
Comment être à la fois touchée et déçue par un livre...
J'ai adoré ce livre, vraiment. Dévoré. Il m'a permis de retrouver le plaisir de lire, que j'avais un peu perdu ces derniers temps. Et puis je trouvais tous les personnages attachants (sauf Irène, détestable), de Manuela au rire léger à Antonio le godelureau, en passant évidemment par la mystérieuse Canard et la magnifique Aurora.
Je me suis laissée envoûter par le rythme de narration, les allers-retours dans le temps, les émotions des personnages, cette sorte de nostalgie douce qui m'a prise aux tripes.
Et puis tout à coup, la chute. Brutale et sèche. Les discours moralisateurs et à but pédagogique d'Antonio et de Manuela, dans les trente dernières pages, m'ont douchée. Et gâché cette lecture que je savourais jusque là avec sensualité.
Heureusement, la dernière phrase sauve ces pages froides.
Je la trouve magnifique et je vous la donne car elle ne spoile rien mais prend tout son sens quand on a lu ce roman :
"Et chaque jour, je regarde la carte du delta de l'Okavango, ce fleuve qui ne sait pas trouver le chemin de la mer."
J'ai adoré ce livre, vraiment. Dévoré. Il m'a permis de retrouver le plaisir de lire, que j'avais un peu perdu ces derniers temps. Et puis je trouvais tous les personnages attachants (sauf Irène, détestable), de Manuela au rire léger à Antonio le godelureau, en passant évidemment par la mystérieuse Canard et la magnifique Aurora.
Je me suis laissée envoûter par le rythme de narration, les allers-retours dans le temps, les émotions des personnages, cette sorte de nostalgie douce qui m'a prise aux tripes.
Et puis tout à coup, la chute. Brutale et sèche. Les discours moralisateurs et à but pédagogique d'Antonio et de Manuela, dans les trente dernières pages, m'ont douchée. Et gâché cette lecture que je savourais jusque là avec sensualité.
Heureusement, la dernière phrase sauve ces pages froides.
Je la trouve magnifique et je vous la donne car elle ne spoile rien mais prend tout son sens quand on a lu ce roman :
"Et chaque jour, je regarde la carte du delta de l'Okavango, ce fleuve qui ne sait pas trouver le chemin de la mer."
Journal Entry 8 by Mariesg at Bookring, -- By post or by hand/ in person -- France on Tuesday, March 22, 2016
Released 8 yrs ago (3/22/2016 UTC) at Bookring, -- By post or by hand/ in person -- France
CONTROLLED RELEASE NOTES:
Jules Ferry a-t-il connu une belle histoire d'amour comme celle de Canard ? Je ne pense pas que l'Histoire le dise et cela ne présente à vrai dire pas grand intérêt. Alors que ce roman vaut le détour.
Bonne lecture ! :o)
Bonne lecture ! :o)
Bien reçu! Merci beaucoup, Mariesg !!!
Journal Entry 10 by neige78 at Saint-Germain-en-Laye, Ile-de-France France on Sunday, March 27, 2016
Ce roman m'a envoûté par les atmosphères, les ambiances qu'il distille sur Lisbonne : les tramways, le jazz, les bars d'hôtel...Il est plein de sensualité...Je ne l'ai pas lâché pour savoir si le héros allait finir par se lier à une femme ou si, comme l'Okavongo, défait par le désert du Kalahari, sa relation avec les femmes allait connaître l'inachèvement, l'adversité, le but inaccessible. Comme le dit le livre, "Cette vieille carte du bassin de l'Okavango était la métaphore de l'inachèvement, l'adversité, le but inaccessible".
C'est une belle découverte. Merci beaucoup, Souram, pour le partage!
C'est une belle découverte. Merci beaucoup, Souram, pour le partage!
Le livre revient au bercail. merci, Souram, pour cette très belle découverte!
Eléctrico W. est de retour, merci, Neige78.
Lisbonne... J'avais beaucoup aimé cette ville en été 2008.
Lisbonne... J'avais beaucoup aimé cette ville en été 2008.
Journal Entry 13 by souram at Controlled Release, A Bookcrossing member -- Controlled Releases on Tuesday, December 27, 2016
Released 7 yrs ago (12/27/2016 UTC) at Controlled Release, A Bookcrossing member -- Controlled Releases
CONTROLLED RELEASE NOTES:
Il ne t'est jamais donné de rêve sans le pouvoir de le réaliser. (Richard Bach)
Profitez du présent, n'attendez pas après-demain.
Ce livre a été envoyé dans le contexte d'un échange culturel centré sur l'amour des livres.
Profitez du présent, n'attendez pas après-demain.
Ce livre a été envoyé dans le contexte d'un échange culturel centré sur l'amour des livres.