ouragan
10 journalers for this copy...
4ème de couverture:
A La Nouvelle-Orléans, alors qu’une terrible tempête est annoncée, la plupart des habitants fuient la ville. Ceux qui n’ont pu partir devront subir la fureur du ciel. Rendue à sa violence primordiale, la nature se déchaîne et confronte chacun à sa vérité intime : que reste-t-il en effet d’un homme au milieu du chaos, quand tout repère social ou moral s’est dissous dans la peur ?
Seul dans sa voiture, Keanu fonce vers les quartiers dévastés, au coeur de la tourmente, en quête de Rose, qu’il a laissée derrière lui six ans plus tôt et qu’il doit retrouver pour, peut-être, donner un sens à son existence…
Dans un saisissant décor d’apocalypse, Laurent Gaudé met en scène une dizaine de personnages qui se croisent ou se rencontrent. Leurs voix montent collectivement en un ample choral qui résonne comme le cri de la ville abandonnée à son sort. Roman ambitieux à l’écriture empathique et incantatoire, Ouragan mêle la gravité de la tragédie à la douceur bienfaisante de la fable pour exalter la fidélité, la fraternité, et l’émouvante beauté de ceux qui restent debout.
A La Nouvelle-Orléans, alors qu’une terrible tempête est annoncée, la plupart des habitants fuient la ville. Ceux qui n’ont pu partir devront subir la fureur du ciel. Rendue à sa violence primordiale, la nature se déchaîne et confronte chacun à sa vérité intime : que reste-t-il en effet d’un homme au milieu du chaos, quand tout repère social ou moral s’est dissous dans la peur ?
Seul dans sa voiture, Keanu fonce vers les quartiers dévastés, au coeur de la tourmente, en quête de Rose, qu’il a laissée derrière lui six ans plus tôt et qu’il doit retrouver pour, peut-être, donner un sens à son existence…
Dans un saisissant décor d’apocalypse, Laurent Gaudé met en scène une dizaine de personnages qui se croisent ou se rencontrent. Leurs voix montent collectivement en un ample choral qui résonne comme le cri de la ville abandonnée à son sort. Roman ambitieux à l’écriture empathique et incantatoire, Ouragan mêle la gravité de la tragédie à la douceur bienfaisante de la fable pour exalter la fidélité, la fraternité, et l’émouvante beauté de ceux qui restent debout.
Un très beau livre, comme nous l'a habitué Laurent Gaudé, toujours empreint de poésie et ceci malgré la tragédie du passage de l'ouragan!
Le destin croisé de plusieurs personnages dans un décor de fin du monde. Superbe!
[ring]
1. danlm (Thônex, Genève Switzerland)
2. améthyste (Rémelfing, Lorraine France)
3. tobealivre (Toulouse, Midi-Pyrénées France)
4. VIV-VIVENEF (Ceyrat, Auvergne France)
5. Mariesg (Vitry-sur-Seine, Ile-de-France France)
6. Croquignolle (Sierre, Valais / Wallis Switzerland)
7. Ticianounette (La Grave, Provence-Alpes-Côte d'Azur France)
8. Lubiette (Kallithea, Attica Greece)
9. milkaolait (Strasbourg, Alsace France)
10. nadlm (Thônex, Genève Switzerland)
11. Wilena (Villaines-les-Rochers, Centre France)
12. danlm's friend (Thônex, Genève Switzerland)<------------------------il est là
13. ---
Lien sur le forum.
Le destin croisé de plusieurs personnages dans un décor de fin du monde. Superbe!
[ring]
1. danlm (Thônex, Genève Switzerland)
2. améthyste (Rémelfing, Lorraine France)
3. tobealivre (Toulouse, Midi-Pyrénées France)
4. VIV-VIVENEF (Ceyrat, Auvergne France)
5. Mariesg (Vitry-sur-Seine, Ile-de-France France)
6. Croquignolle (Sierre, Valais / Wallis Switzerland)
7. Ticianounette (La Grave, Provence-Alpes-Côte d'Azur France)
8. Lubiette (Kallithea, Attica Greece)
9. milkaolait (Strasbourg, Alsace France)
10. nadlm (Thônex, Genève Switzerland)
11. Wilena (Villaines-les-Rochers, Centre France)
12. danlm's friend (Thônex, Genève Switzerland)<------------------------il est là
13. ---
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Envoyé à améthyste par la poste française en "ecopli" en ce début d'après-midi.
Livre bien arrivé ce matin, merci beaucoup Danlm ! Et une jolie carte de ta ville préférée...GENEVE, ville magique :), très jolie effectivement !
Quel talent Laurent Gaudé ! Très belle écriture et personnages attachant, qui livrent bataille contre l'ouragan. Et en même temps, chacun et chacune est en quête de quelque chose .... ou quelqu'un...
Je conseille vivement ce livre !
J'attends les coordonnées de Tobealivre :)
Je conseille vivement ce livre !
J'attends les coordonnées de Tobealivre :)
Bien arrivé à la maison.
Il rejoint ma pàl pour le moment, mais ne devrait pas y séjourner trop longtemps, affaire à suivre ;-))
Il rejoint ma pàl pour le moment, mais ne devrait pas y séjourner trop longtemps, affaire à suivre ;-))
Une écriture superbe, un roman oppressant et pourtant empreint d'une douce poésie, comme un pied de nez à la vie.
Et hop, dans la petite boite jaune, direction l'auvergne.
Bonne lecture aux suivants.
Bonne lecture aux suivants.
bien reçu!
merci pour la chouette carte et le commentaire qui donne envie de lire sans attendre!
merci pour la chouette carte et le commentaire qui donne envie de lire sans attendre!
à la fois belle découverte et livre difficile que j'ai souvent reposé au profit d'un autre moins perturbant
Je n'ai pas du tout aimé le pasteur fou
Je n'ai pas du tout aimé le pasteur fou
Journal Entry 11 by 
VIV-VIVENEF
at Vitry-sur-Seine, Ile-de-France France on Friday, December 20, 2013
VIV-VIVENEF at Vitry-sur-Seine, Ile-de-France France on Friday, December 20, 2013
Released 10 yrs ago (12/23/2013 UTC) at Vitry-sur-Seine, Ile-de-France France
CONTROLLED RELEASE NOTES:
en route vers Mariesg, notre ambarique animatrice de JE en folie!
Bien reçu en même temps que deux autres rings.
Ça y est, je suis dans la période enquiquinante où tous les rings et rays se présentent au même moment...
Merci, Viv.
Ça y est, je suis dans la période enquiquinante où tous les rings et rays se présentent au même moment...
Merci, Viv.
J'ai énormément aimé ce livre de Laurent Gaudé (comme tous les livres de lui que j'ai lus) et je pense qu'il s'agit là de mon premier coup de coeur de l'année 2014. Ouf, il était temps ! Mon coeur commençait à flétrir dans ma poitrine...
J'ai aimé ces histoires qui se croisent et s'entrecroisent, le pouvoir incantatoire des mots, la beauté de la fin (que je ne révèle pas), et tous ces destins désespérés.
J'ai eu mal avec ces pauvres gens qu'on abandonne derrière soi - que des noirs, que des pauvres. La honte soit sur nous.
J'ai aimé que chaque personnage ait son style, sa force et ses faiblesses. Je n'ai pas aimé non plus le pasteur fou, mais j'ai aimé la négresse révoltée, l'enfant, le prisonnier, l'homme de la plate-forme et tant d'autres...
Et puis ces mots de Laurent Gaudé, toujours si poignants et si justes.
Page 96 :
Je me sens poisseux et c'est une façon de n'être pas encore tout à fait libre.
Pages 45-46 :
Elle ne veut pas qu'il vienne. [...] Elle cherche un moyen de lui échapper. Elle ne veut pas le voir. L'idée qu'il soit là, devant elle, qu'il la regarde, qu'il voie ce qu'elle est devenue, une femme fatiguée dans une maison pauvre avec cet enfant derrière elle, cette idée la met en souffrance. Elle est prise de frayeur. [...] Alors, elle s'assoit dans la cuisine et elle se met à pleurer. Elle pleure d'attendre, elle pleure de solitude et parce qu'elle est laide et vaincue. C'est ainsi qu'elle se sent : une jeune femme de trente ans, à terre, qui ne se relèvera pas, ou petitement, qui vivra désormais chichement, comme une pauvre chose, asphyxiée par mille forces qui l'oppressent, entravée par la vie elle-même qui ne lui offre rien. Et pourtant, ils avaient été beaux et glorieux, animés par cette lumière que donne la jeunesse. Elle avait eu [...] une nonchalance, une irrévérence qui faisaient se retourner jusqu'aux vieilles dames sur les trottoirs. Elle était belle. Elle le sentait, elle le voyait aux regards de ceux qu'elle croisait, et elle pouvait s'offrir le luxe de ne pas y prêter attention, de passer son chemin sans même se sentir flattée. Elle était belle, c'était ainsi, cela durerait toujours. [...] Ils avaient été glorieux, oui, mais le souvenir de ces jours de lumière qui précédaient son départ à lui, ce souvenir était plus douloureux que tout. Elle pleure à la table de la cuisine parce que quelqu'un va venir et la voir dans sa laideur et ce regard fera naître la honte. [...] Elle pleure d'avoir à connaître la honte en plus du reste [...] mais elle ne veut pas, c'est au-dessus de ses forces, elle voudrait se cacher, se terrer, disparaître, qu'on l'oublie, que le monde entier l'oublie et qu'il ne reste rien d'elle.
Page 87 :
Il reste là, laissant les mots qu'elle a prononcés résonner dans sa tête. Elle est belle, infiniment belle de ses rides naissant au coin des yeux, du combat que se livrent sur son visage la jeunesse et l'usure. Elle est belle, pleine de force et lézardée de doutes. [...] Alors il se lève, la rejoint et approche doucement les mains de son visage. Elle se laisse faire. Il ne dit pas un mot. Il prend le temps de la regarder et ce regard n'est pas dur à soutenir comme tous ceux dont elle a l'habitude, ce regard est un abri qui l'enveloppe.
Page 113 :
Je vois défiler la ville. Ce n'est que misère. On dirait une vieille dame saccagée par le vent, l'oeil hagard, les montures de lunettes abimées, la mise en plis de travers, une vieille dame qui vacille et boite sur un talon cassé.
J'aime cette écriture. Elle me chavire.
Croquignolle, tu es la prochaine sur la liste. Je vais essayer de ne pas tarder à t'envoyer ce livre pour que tu chavires à ton tour...
Merci pour ce partage, danlm.
J'ai aimé ces histoires qui se croisent et s'entrecroisent, le pouvoir incantatoire des mots, la beauté de la fin (que je ne révèle pas), et tous ces destins désespérés.
J'ai eu mal avec ces pauvres gens qu'on abandonne derrière soi - que des noirs, que des pauvres. La honte soit sur nous.
J'ai aimé que chaque personnage ait son style, sa force et ses faiblesses. Je n'ai pas aimé non plus le pasteur fou, mais j'ai aimé la négresse révoltée, l'enfant, le prisonnier, l'homme de la plate-forme et tant d'autres...
Et puis ces mots de Laurent Gaudé, toujours si poignants et si justes.
Page 96 :
Je me sens poisseux et c'est une façon de n'être pas encore tout à fait libre.
Pages 45-46 :
Elle ne veut pas qu'il vienne. [...] Elle cherche un moyen de lui échapper. Elle ne veut pas le voir. L'idée qu'il soit là, devant elle, qu'il la regarde, qu'il voie ce qu'elle est devenue, une femme fatiguée dans une maison pauvre avec cet enfant derrière elle, cette idée la met en souffrance. Elle est prise de frayeur. [...] Alors, elle s'assoit dans la cuisine et elle se met à pleurer. Elle pleure d'attendre, elle pleure de solitude et parce qu'elle est laide et vaincue. C'est ainsi qu'elle se sent : une jeune femme de trente ans, à terre, qui ne se relèvera pas, ou petitement, qui vivra désormais chichement, comme une pauvre chose, asphyxiée par mille forces qui l'oppressent, entravée par la vie elle-même qui ne lui offre rien. Et pourtant, ils avaient été beaux et glorieux, animés par cette lumière que donne la jeunesse. Elle avait eu [...] une nonchalance, une irrévérence qui faisaient se retourner jusqu'aux vieilles dames sur les trottoirs. Elle était belle. Elle le sentait, elle le voyait aux regards de ceux qu'elle croisait, et elle pouvait s'offrir le luxe de ne pas y prêter attention, de passer son chemin sans même se sentir flattée. Elle était belle, c'était ainsi, cela durerait toujours. [...] Ils avaient été glorieux, oui, mais le souvenir de ces jours de lumière qui précédaient son départ à lui, ce souvenir était plus douloureux que tout. Elle pleure à la table de la cuisine parce que quelqu'un va venir et la voir dans sa laideur et ce regard fera naître la honte. [...] Elle pleure d'avoir à connaître la honte en plus du reste [...] mais elle ne veut pas, c'est au-dessus de ses forces, elle voudrait se cacher, se terrer, disparaître, qu'on l'oublie, que le monde entier l'oublie et qu'il ne reste rien d'elle.
Page 87 :
Il reste là, laissant les mots qu'elle a prononcés résonner dans sa tête. Elle est belle, infiniment belle de ses rides naissant au coin des yeux, du combat que se livrent sur son visage la jeunesse et l'usure. Elle est belle, pleine de force et lézardée de doutes. [...] Alors il se lève, la rejoint et approche doucement les mains de son visage. Elle se laisse faire. Il ne dit pas un mot. Il prend le temps de la regarder et ce regard n'est pas dur à soutenir comme tous ceux dont elle a l'habitude, ce regard est un abri qui l'enveloppe.
Page 113 :
Je vois défiler la ville. Ce n'est que misère. On dirait une vieille dame saccagée par le vent, l'oeil hagard, les montures de lunettes abimées, la mise en plis de travers, une vieille dame qui vacille et boite sur un talon cassé.
J'aime cette écriture. Elle me chavire.
Croquignolle, tu es la prochaine sur la liste. Je vais essayer de ne pas tarder à t'envoyer ce livre pour que tu chavires à ton tour...
Merci pour ce partage, danlm.
Released 10 yrs ago (3/15/2014 UTC) at Vitry-sur-Seine, Ile-de-France France
CONTROLLED RELEASE NOTES:
En route pour la Suisse, où le livre va retrouver la plus gaie des bookcorsaires de ma connaissance. Hihihihi ! :o)
Bonne réception et belle lecture, Croquignolle. Je pense que tu aimeras ce livre.
Bonne réception et belle lecture, Croquignolle. Je pense que tu aimeras ce livre.
Ohhh ! Un livre dans ma boîte aux lettres ce soir ! Quelle joie !!! Merci Mariesg pour ton adorable petit mot, pour le magnifique marque-page et pour le livre. J'ai hâte de m'y plonger. Je termine mon livre en cours et j'attaque celui-ci qui me servira pour "le phénomène météo" du défi paresseux 2014 :-)
Et merci à Danlm de nous partager son amour de Laurent Gaudé !
Et merci à Danlm de nous partager son amour de Laurent Gaudé !
J'aime quand un livre me transporte. Ouragan m'a appelée, interpellée, convoquée dans des paysages de dévastation au coeur d'un monde qui délaisse les plus pauvres, les plus noirs, les plus âgés, les plus assoiffés de tendresse. J'ai été submergée d'émotion devant l'injustice, le manque d'amour et de sourires. Mais une fois de plus, Gaudé, par ses mots, sait saisir la lumière. Elle ressort, forte, transcendante, réchauffante. Et elle fait oublier le reste.
p. 71 : "La vieille Joséphine, négresse par principe depuis presque cent ans, flottera dans les mêmes eaux que son homme et une chose, au moins, ici-bas, sera à sa place."
p. 92 : " Je l'ai vu, moi Joséphine Linc. Steelson. Mes yeux ne me trompent pas. Un petit négrillon, pas plus haut qu'une chèvre, un petit négrillon qui marchait d'un pas décidé. Je sais reconnaître ce qui est normal et ce qui ne l'est pas. Je me suis dressée sur mes vieilles cannes de mule et je l'ai hélé. "Petit négrillon !... Petit négrillon !..." Il s'est arrêté, le petit homme. Il m'a regardée. Il a pris tout son temps. J'ai tout de suite compris à sa mine que c'était un cas, celui-là, un cas comme je les aime, le genre à ne rien écouter que sa tête butée. Cinq ans, six peut-être, mais déjà envie de défier la terre entière."
Et puis, il y a le chant...
p. 182 : "Moi, Josephine Linc. Steelson, vieille négresse à la voix voilée par toute une vie de combats, je chante. C'est ma façon à moi de caresser le visage de tous ceux que j'ai devant les yeux. C'est ma façon à moi de sécher les rues de La Nouvelle-Orléans et de redresser les arbres couchés des marécages. C'est ma façon à moi de souffler plus fort que le vent."
Ce livre est une perle d'humanité et d'espérance où l'homme debout fait oublier la folie de celui qui s'égare et s'éloigne de cette humanité .
Mon deuxième Gaudé ("Le Soleil des Scorta" fut le premier) m'a emballée. Un vrai coup de coeur. Merci Danlm pour le partage !
p. 71 : "La vieille Joséphine, négresse par principe depuis presque cent ans, flottera dans les mêmes eaux que son homme et une chose, au moins, ici-bas, sera à sa place."
p. 92 : " Je l'ai vu, moi Joséphine Linc. Steelson. Mes yeux ne me trompent pas. Un petit négrillon, pas plus haut qu'une chèvre, un petit négrillon qui marchait d'un pas décidé. Je sais reconnaître ce qui est normal et ce qui ne l'est pas. Je me suis dressée sur mes vieilles cannes de mule et je l'ai hélé. "Petit négrillon !... Petit négrillon !..." Il s'est arrêté, le petit homme. Il m'a regardée. Il a pris tout son temps. J'ai tout de suite compris à sa mine que c'était un cas, celui-là, un cas comme je les aime, le genre à ne rien écouter que sa tête butée. Cinq ans, six peut-être, mais déjà envie de défier la terre entière."
Et puis, il y a le chant...
p. 182 : "Moi, Josephine Linc. Steelson, vieille négresse à la voix voilée par toute une vie de combats, je chante. C'est ma façon à moi de caresser le visage de tous ceux que j'ai devant les yeux. C'est ma façon à moi de sécher les rues de La Nouvelle-Orléans et de redresser les arbres couchés des marécages. C'est ma façon à moi de souffler plus fort que le vent."
Ce livre est une perle d'humanité et d'espérance où l'homme debout fait oublier la folie de celui qui s'égare et s'éloigne de cette humanité .
Mon deuxième Gaudé ("Le Soleil des Scorta" fut le premier) m'a emballée. Un vrai coup de coeur. Merci Danlm pour le partage !
Le livre prend sa route vers Ticianounette. Bonne lecture !
Journal Entry 18 by Ticianounette at La Grave, Provence-Alpes-Côte d'Azur France on Monday, April 21, 2014
Bien arrivé dans la semaine chez moi! Merci Croquignolle pour l'envoi! Je le met en 1ere place sur ma pàl danlm pour le lire au p^lus vite promis!
Journal Entry 19 by Ticianounette at La Grave, Provence-Alpes-Côte d'Azur France on Wednesday, May 7, 2014
Entamé il y a seulement quelques heures...et déjà finit! Je l'ai tout simplement dévoré. Un premier Gaudé pour moi, une très belle surprise, merci danlm!
Une écriture poétique, fluide, belle, dure, vraie, intense.
Des personnages variés, attachants pour la plupart, détestable pour d'autres. Un sens de la vie omniprésent pour chacun, même si cela n'apparait pas toujours comme évident. Différentes péripéties qui s'organisent autour de cet "Ouragan", ce qui ne laissent pas le temps à nos personnages de mener une vie de patachon!
Les mots de Laurent Gaudé m'ont touchés. Cependant, et oui je justifie mon 9/10, j'ai trouvé très durs certains passages. À la limite de la suffocation en temps que lecteur...l'atmosphère est devenue autant oppressante pour moi que pour les personnages qui vivent ces péripéties. Mais ça, c'est peut être aussi parce que je suis à fleur de peau en ce moment...
En tout cas ce fut une magnifique découverte! Merci danlm!
Une écriture poétique, fluide, belle, dure, vraie, intense.
Des personnages variés, attachants pour la plupart, détestable pour d'autres. Un sens de la vie omniprésent pour chacun, même si cela n'apparait pas toujours comme évident. Différentes péripéties qui s'organisent autour de cet "Ouragan", ce qui ne laissent pas le temps à nos personnages de mener une vie de patachon!
Les mots de Laurent Gaudé m'ont touchés. Cependant, et oui je justifie mon 9/10, j'ai trouvé très durs certains passages. À la limite de la suffocation en temps que lecteur...l'atmosphère est devenue autant oppressante pour moi que pour les personnages qui vivent ces péripéties. Mais ça, c'est peut être aussi parce que je suis à fleur de peau en ce moment...
En tout cas ce fut une magnifique découverte! Merci danlm!
Journal Entry 20 by Ticianounette at Bookring, -- By post or by hand/ in person -- France on Wednesday, May 7, 2014
Released 9 yrs ago (5/7/2014 UTC) at Bookring, -- By post or by hand/ in person -- France
CONTROLLED RELEASE NOTES:
Parti finir son périple de livre voyageur chez Lubiette en grêce! Très bonne lecture Lubiette et merci encore à toi danlm!
Ce livre est un livre voyageur. Qui l'a lut? D'où vient-il? Qu'elle sera sa prochaine destination?
Le principe du bookcrossing est simple: lire un livre et ensuite le relâcher en vue de lui permettre une vie voyageuse la plus longue possible, et ainsi de suite!
Vous qui êtes ici, laissez un commentaire, même anonyme, afin que ceux qui aurons contribuer au début de sa vie de voyageur puisse suivre ses péripéties!
Et si vous souhaitez en savoir plus sur le Bookcrossing, n'hésitez pas à vous rendre sur le forum en cliquant ici: Bienvenue à tous les nouveaux!!!
Et n'oubliez pas de le libérez une fois ou non lu!
Merci, bonne lecture et bienvenu dans le monde du bookcrossing!
Ce livre est un livre voyageur. Qui l'a lut? D'où vient-il? Qu'elle sera sa prochaine destination?
Le principe du bookcrossing est simple: lire un livre et ensuite le relâcher en vue de lui permettre une vie voyageuse la plus longue possible, et ainsi de suite!
Vous qui êtes ici, laissez un commentaire, même anonyme, afin que ceux qui aurons contribuer au début de sa vie de voyageur puisse suivre ses péripéties!
Et si vous souhaitez en savoir plus sur le Bookcrossing, n'hésitez pas à vous rendre sur le forum en cliquant ici: Bienvenue à tous les nouveaux!!!
Et n'oubliez pas de le libérez une fois ou non lu!
Merci, bonne lecture et bienvenu dans le monde du bookcrossing!
Il vient d'arriver, merci Ticianounette !
Un récit poignant écrit avec tout le talent de conteur de Gaudé dont j'avais déjà eu le plaisir de découvrir l'écriture tourmentée avec La mort du roi Tsangor et Le soleil des Scorta. Ce roman est court, on le lit d'une traite en se laissant envouter par le sort des personnages aux prises de l'ouragan.
A la poste pour milkaolait, bonne lecture !
A la poste pour milkaolait, bonne lecture !
Arrivé à Strasbourg avec des beaux timbres et un belle carte, merci
Deuxième livre que je lis de cet auteur, très différent. On se retrouve plongé dans la tempête et on partage pleinement la vie de ces gens. (En plus la météo alsacienne était aussi pluvieuse). Belle écriture, livre court et très prenant.
Prêt a être posté!
Prêt a être posté!
Bien arrivé!! Merci.
Il est dans les mains de nadlm...
Juste avant de passer par celles de Eva (danlm's friend).
Il est dans les mains de nadlm...
Juste avant de passer par celles de Eva (danlm's friend).
Parti en "ecopli" pour rejoindre Wilena
Journal Entry 27 by Wilena at Bookring, -- By post or by hand/ in person -- France on Monday, September 1, 2014
Très beau livre reçu dans le cadre du ring par Danlm, j'ai beaucoup aimé le style, l'histoire est poignante et vibrante malgré la noirceur du racisme américain ambiant qu'elle décrit et qui prend une dimension particulière en lisant le livre aujourd'hui aux vues de ce qui se passe à Fergusson...
Cela m'a permis d'apprendre pas mal de chose sur l'ouragan Katerina auquel fait référence le livre et sur sa gestion par les autorités américaines...
Merci pour ce partage !
Cela m'a permis d'apprendre pas mal de chose sur l'ouragan Katerina auquel fait référence le livre et sur sa gestion par les autorités américaines...
Merci pour ce partage !
De retour à la maison (arrivé hier) où il va être lu par quelques amis...
Merci Wilena pour ce rapide allé/retour aux environs de Tours!
Et aussi pour le sympathique petit supplément d'anniversaire...
Cette fois-ci il devrait passer dans les mains de Eva (danlm's friend).
Merci Wilena pour ce rapide allé/retour aux environs de Tours!
Et aussi pour le sympathique petit supplément d'anniversaire...
Cette fois-ci il devrait passer dans les mains de Eva (danlm's friend).
Il va faire une petit tour chez Nadia qui m'a promis de le lire avant la mi-octobre...
Car à cette date, il doit aller chez Eva.
Bonne lecture Nadia.
Car à cette date, il doit aller chez Eva.
Bonne lecture Nadia.
Voilà... Enfin chez Eva.
J'ai déposé le livre dans sa boîte aux lettres ce soir.
Bonne lecture Eva et Joyeux Noël!
J'ai déposé le livre dans sa boîte aux lettres ce soir.
Bonne lecture Eva et Joyeux Noël!
Commentaire d'Eva:
C'est un livre très prenant, très bien écrit, par contre il faut s'en remettre !
Maintenant, il est parti chez Yvette...
Bonne lecture
C'est un livre très prenant, très bien écrit, par contre il faut s'en remettre !
Maintenant, il est parti chez Yvette...
Bonne lecture
