Crimes
by Ferdinand von Schirach | Literature & Fiction | This book has not been rated.
ISBN: 2070448002 Global Overview for this book
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Registered by Victor-Schmara of Lille, Nord-Pas-de-Calais France on 9/22/2012
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Journal Entry 1 by Victor-Schmara from Lille, Nord-Pas-de-Calais France on Saturday, September 22, 2012
C'est le nom qui m'a interpelé.
Il y a un Von Schirach célèbre dans l'Histoire : le chef des Jeunesses Hitlériennes. On le retrouve un peu partout, dans les manuels, les articles historiques, les essais, étonnamment pour un mot qu'on lui a largement attribué même s'il n'est pas de lui :
« Quand j'entends le mot "culture", je sors mon revolver ! ».
À première vue, son petit-fils semble plus fin.
Avocat en droit criminel, il propose ici onze nouvelles, plus ou moins inspirées de faits réels qu'il eut à connaître dans son métier.
C'est très bon, ça m'a beaucoup plu.
Simple, sans fioritures, dans un style factuel, avec ce qu'il faut de pathos pour que chaque histoire touche au coeur.
En gros, certes on a onze coupables, onze criminels, mais tant de circonstances atténuantes. On serait un de leurs jurés d'assises, à moins que l'avocat de la défense soit en-dessous de tout on les acquitterait d'office. Dans certains cas ici, c'est même l'avocat général qui requiert l'amnistie.
"Crimes" oui, "criminels", pas vraiment. Le paradoxe est bien exposé, et par un homme de l'art.
Une phrase plaisante et mystérieuse (toujours pas comprise) :
"Le renard sait beaucoup de choses, mais le hérisson sait quelque chose d’important."
Gallimard 2011, 215 p.
Il y a un Von Schirach célèbre dans l'Histoire : le chef des Jeunesses Hitlériennes. On le retrouve un peu partout, dans les manuels, les articles historiques, les essais, étonnamment pour un mot qu'on lui a largement attribué même s'il n'est pas de lui :
« Quand j'entends le mot "culture", je sors mon revolver ! ».
À première vue, son petit-fils semble plus fin.
Avocat en droit criminel, il propose ici onze nouvelles, plus ou moins inspirées de faits réels qu'il eut à connaître dans son métier.
C'est très bon, ça m'a beaucoup plu.
Simple, sans fioritures, dans un style factuel, avec ce qu'il faut de pathos pour que chaque histoire touche au coeur.
En gros, certes on a onze coupables, onze criminels, mais tant de circonstances atténuantes. On serait un de leurs jurés d'assises, à moins que l'avocat de la défense soit en-dessous de tout on les acquitterait d'office. Dans certains cas ici, c'est même l'avocat général qui requiert l'amnistie.
"Crimes" oui, "criminels", pas vraiment. Le paradoxe est bien exposé, et par un homme de l'art.
Une phrase plaisante et mystérieuse (toujours pas comprise) :
"Le renard sait beaucoup de choses, mais le hérisson sait quelque chose d’important."
Gallimard 2011, 215 p.
Journal Entry 2 by Victor-Schmara at Canal Saint-Martin in -Paris 10e, Ile-de-France France on Tuesday, November 20, 2012